Seul contre tous, Gaspard Noé
Seul contre tous est le premier film de Gaspar Noé, sorti en salle en 1998. Un film coup de poing qui a énormément divisé la critique. A tel point que bon nombre de magazines tels que Première ou Studio ont publié l’opinion de 2 critiques afin d’être plus justes, un procédé extrêmement rare dans le monde des critiques de cinéma. Seul contre tous a reçu le prix de la semaine de la critique au festival de Cannes en 1998. Un film à part qui reste encore aujourd’hui une œuvre dérangeante et très sombre.
Critique : Plus jamais seul
Plus jamais seul n'est guère un film gay comme les autres. L'immense majorité des histoires homosexuelles sorties sur les écrans du monde entier depuis environ un quart de siècle a eu pour vocation de faire la promotion, doucement mais fermement, de cette orientation sexuelle très longtemps considérée comme infâme.
Critique : Dark river
"Dark river" permet de continuer à placer Clio Barnard parmi les espoirs du cinéma britannique
Cannes 2019 : Une fille facile (Quinzaine)
Autant le dire tout de suite, Une fille facile sent l'été à plein nez. Tourné en grande partie à Cannes, les scènes de plages ou de yachts, les bikinis et les chaudes nuits se finissant en boites de nuit donnent une odeur particulièrement estivale au film de la réalisatrice française de 39 ans.
Critique Express : Un beau matin
Ce nouveau film d'une réalisatrice qui prend une place de plus en plus importante dans le cinéma français faisait partie des meilleurs films présentés en mai dernier durant le Festival de Cannes où il apparaissait dans la sélection de la Quinzaine des Réalisateurs.
Gimme the loot
Malcom et Sofia sont de jeunes graffeurs qui arpentent les rues de New York pour couvrir de leurs noms les murs de la ville. Lorsque l’un de leurs tags disparaît sous un autre graffiti, les deux adolescents se lancent le défi de leur vie : tagguer la pomme géante du Shea Stadium. Pour cela, une seule contrainte et pas des moindres: trouver les 500 dollars nécessaires pour que le gardien de nuit les fasse entrer incognito… Entre rivalités de gangs et petites combines, parviendront-ils à prendre leur revanche ?
Critique : Sages-femmes
Une superbe réalisation et un ensemble d'interprètes particulièrement impliqué.e.s.
Critique : Les Damnés ne pleurent pas
Ce n'est pas uniquement le titre de ce film marocain qui dégage une poésie indéniable. Visiblement inspiré de l'esprit de Pasolini, le réalisateur Fyzal Boulifa y dresse le portrait jamais misérabiliste, toujours juste d'une mère et de son fils adolescent, évoluant en marge de la société.
Critique : Ana mon amour
La vie est dure en Roumanie. Le reflet qu'en donne la sélection de films qui arrivent jusque sur les écrans français laisse en effet supposer que tout n'est que misère affective et sociale dans ce pays d'Europe de l'Est. Car même si le cinéma roumain peut se réjouir ces dernières années d'une vitalité et d'une reconnaissance rarement atteintes auparavant, la somme de ces regards depuis l'intérieur sur une culture en fait peu connue en Occident a de quoi pousser à la dépression les spectateurs les plus fragiles.
Le cuirassé Potemkine
En janvier 1905, éclate la première révolution russe, suivie le 14 juin de la révolte des marins du "Potemkine". Ce qui au départ s'annonçait comme une petite protestation d'un équipage lassé et furieux de n'avoir à manger que de la viande pourrie a dégénéré en une véritable insurrection dans le port d'Odessa.
Berlinale 2023 : Le Proprietà dei metalli
Changement de section, de lieu de projection et de ton des films pour notre troisième journée de couverture de la 73ème édition du Festival de Berlin. Car même si la politique contraignante des embargos pourrait vous faire croire autre chose, nous avons bel et bien vu en début de festival Le Proprietà dei metalli, sélectionné à Generation Kplus.
Critique : Welcome in Vienna – Partie 1 : Dieu ne croit plus en...
Premier film de ce qui sera la trilogie « Welcome in Vienna » , « Dieu ne croit plus en nous » revient sur un des moments souvent ignorés par le cinéma: la fuite et la traque des juifs autrichiens et des allemands refusant le nazisme de 1938 au début de la guerre.