Cannes 2019 : Wounds (Quinzaine)
Adapté du livre The Visible Flith de Nathan Ballingrud, Wounds raconte l'histoire de Will, un type sympa et réglo incarné par la star montante Armie Hammer, qui se retrouve, du jour au lendemain, impliqué, à cause d'un portable, dans une étrange et maléfique machination lui faisant peu à peu perdre la notion de réalité et le mettant à l'épreuve de situations surnaturelles et cauchemardesques.
Critique : Santa Sangre
On peut dire que Alejandro Jodorowsky fait partie de l'actualité cinéphile : l'excellent Jodorowsky's Dune, narrant son titanesque et inabouti projet d'adaptation du roman de Frank Hebert, est sorti en avril et nous avons pu découvrir à Cannes son nouveau film, Poesia sin fin (critique) dans le cadre de la Quinzaine des Réalisateurs. Santa sangre n'est pas annoncé comme autobiographique, et n'est d'ailleurs pas écrit seulement par Jodorowsky.
Underworld : Nouvelle ère
Depuis des siècles Lycans et Vampires se livrent une bataille sans merci. Mais les deux races sont à l'aube d'une ère nouvelle car les humains, qui ont récemment découvert leur existence, décident de cesser leurs conflits internes pour s'engager ensemble dans la lutte contre ce qu'ils considèrent comme des fléaux.
Critique : Friend Request
Une rencontre peut changer votre vie à jamais pour le meilleur ou le pire. Il en va de même avec les réseaux sociaux. Une simple invitation reçue sur votre compte Facebook qui semble inoffensive d’un premier abord, peut avoir un impact inimaginable sur votre vie et celle de vos amis. Un seul et unique clic sur « Accepter » peut signer votre arrêt de mort ou celui de votre entourage et de passer d’une vie heureuse à un enfer démoniaque. Laura, jeune étudiante, en fait les frais dans Friend Request lorsqu’elle devient victime de son clic et de sa nouvelle « amie » Marina (pseudo : Mar Ina). Etes-vous prêt à devenir le témoin d’un moment d’épouvante sur les réseaux sociaux ? Alors, ouvrez votre application et surfez sur une histoire numérique aussi ingénieuse que terrifiante !
Critique : Le Secret de la momie
L'autre film de la séance cinéma bis du 17 avril 2015, Le Secret de la Momie (O Segredo da mumia), est le premier long-métrage de Ivan Cardoso, le réalisateur à l'honneur lors de cette nouvelle soirée déviante. Cette autre expérience de terrir (terreur + rire selon l'appellation de son auteur) se révèle encore moins convaincante que ses Sept Vampires, un chiffre trompeur au passage, un fait important non dénoncé dans ma critique à découvrir ici, si le cœur (saignant) vous en dit.
Critique : Evolution
Aucun lieu de tergiverser, Lucile Hadzihalilovic est présentement l'une des réalisatrices les plus intéressantes en France. Il suffit de se souvenir d’Innocence, son premier long-métrage, sorti en 2004, où l’on suivait un récit d’initiation se déroulant dans une école coupée du monde. Ce film attestait déjà à l’époque d’une maîtrise formelle poussée ainsi que d’un imaginaire hétéroclite puisant dans diverses influences telles le conte de fées, le manga ou encore le cinéma-bis transalpin. Film unique, à l’atmosphère intrigante, Innocence avait considérablement marqué les esprits. Ryan Gosling ne s’en est d’ailleurs toujours pas remis au point d’embaucher le chef-opérateur, Benoît Debie, pour son Lost River. Après un tel film, l’on aurait pu penser qu’un deuxième allait rapidement suivre. Cependant, au regard de la singularité du projet, allié à la frivolité des distributeurs actuels, la genèse d’Evolution fut, aux dires de quelques-uns, plus compliquée que prévue.
Maniac
Dans les rues qu'on croyait tranquilles, un tueur en série en quête de scalps se remet en chasse. Frank est le timide propriétaire d'une boutique de mannequins. Sa vie prend un nouveau tournant quand Anna, une jeune artiste, vient lui demander de l'aide pour sa nouvelle exposition. Alors que leurs liens se font plus forts, Frank commence à développer une véritable obsession pour la jeune fille. Au point de donner libre cours à une pulsion trop longtemps réfrénée - celle qui le pousse à traquer pour tuer.
Critique : The Green Inferno
Eli Roth n’est pas Quentin Tarantino, mais il connaît néanmoins bien les classiques du film de genre. Il nous en livre la preuve par le biais de cet hommage aux festins cinématographiques de cannibales, particulièrement féroces et populaires en Italie dans les années 1970 et ’80.
Kalevet
Avec des films comme Tu marcheras sur l'eau ou Frozen Days, le cinéma Israélien rayonne de plus en plus à l’international, proposant un cinéma différent mais toujours de qualité. Kalevet est la première tentative de slasher d'un cinéma encore timide, une petite révolution avec une œuvre qui se veut avant tout fun, le duo de réalisateurs avouant qu'il n'y a pas de message à faire passer, juste un film dans la plus pure tradition du cinéma de genre.
Test DVD : Fréquence Meurtre
Jeanne Quester est heureuse. Médecin dans un service d'urgences psychiatrique, elle anime tous les soirs une émission de radio. Son divorce est réussi, son émission marche, sa fille l'adore. On ne pourrait imaginer que vingt-cinq ans plus tôt elle a vecu un drame horrible. C'est alors qu'il appelle en direct à la radio. C'est Faber, le fou criminel qu'elle a rencontré autrefois, qui lui demande: "Vous croyez qu'il est malsain de laisser des choses inachevées ?"
Le Village des ombres
Le Village des ombres est le premier film de Fouad Benhammou. Un film d'horreur avec comme actrice principale Christa Theret, l'héroïne de LOL - Laughing Out Loud, dans un rôle diamétralement opposé à celui de la comédie à succès de 2009.
Critique : Silent Night | Festival de Gérardmer 2016
C’est la veille de Noël à Cryer, une petite ville du Wisconsin. La shérif adjointe Aubrey Bradimore apprend que son collègue a disparu et qu’elle va devoir le remplacer. La ville attend un nombre record de Pères Noël pour son grand défilé de Noël, et le shérif Cooper a besoin d’elle. Dans une maison non loin de là, un mystérieux Père Noël se lance dans une série de meurtres en s’attaquant aux habitants qu’il juge « mauvais »…