(S)ex List
Grand spécialiste des séries, Mark Mylod revient avec un film extrêmement actuel avec l'habituée Anna Faris et le nouveau chouchou d'Hollywood Chris Evans.
Vu sur OCS : La Finale
Le rire est le meilleur remède, contre tout, même les choses qui ne se prêtent à première vue pas à l'humour. Alors qu'on attend avec impatience un peu plus de dérision dans ces temps de confinement à rallonge – de la vraie dérision, pas ces encouragements d'endurance et autres témoignages de solidarité en pleine crise – , on n'aurait pas vraiment misé sur le sujet délicat et même douloureux de la maladie d'Alzheimer pour nous remonter le moral.
Critique : 5 ans de Réflexion
De l’avis général, Tom et Violet sont faits l’un pour l’autre et pourraient constituer le couple marié idéal. Lui, star de la haute cuisine de San Francisco, est prêt à rejoindre le gotha de la gastronomie californienne.
Critique Express : Tout le monde aime Jeanne
Malgré les prestations plutôt convaincantes de Blanche Gardin dans le rôle de Jeanne et de Laurent Lafitte dans celui de Jean, malgré le plaisir qu'on a toujours à retrouver Marthe Keller, "Tout le monde aime Jeanne" entre dans la catégorie des films sympathiques, plutôt drôles, mais qui, malheureusement, ne décollent jamais vraiment.
Critique : Les Nuits d’été
Si être homosexuel n’a jamais été facile, en dépit d’une récente poussée de tolérance dans certains pays occidentaux, obtenue au bout de longues années de lutte, être un travesti signifie de faire partie d’une minorité au sein d’une autre minorité, tout en étant la cible de railleries de tous bords. Cette envie de faire siens les attributs extérieurs féminins tout en restant un homme renvoie à une iconographie du mépris et de l’exclusion, dont la figure de proue cinématographique reste hélas jusqu’à ce jour La Cage aux folles. Le premier film de Mario Fanfani a le bon goût de ne pas du tout s’engager sur cette voie d’une discrimination plus ou moins larvée. Il va même plus loin en esquissant délicatement une sorte d’état des lieux et des mœurs dans la France profonde de la fin des années ’50, où la guerre d’Algérie préoccupait l’opinion publique au point de mal la préparer au choc moral de ’68.
Critique : Atomik Circus, le retour de James Bataille
Skotlett City est toujours traumatisée par la catastrophique grande fête de la tarte à vache. James Bataille a d'ailleurs fini en prison et cette fois-ci il s'en échappe, bien décidé à retrouver Concia, sa fiancée qui veut devenir chanteuse de country. Mais malheureusement, tout ne se passe pas comme il l'aurait souhaité...
Critique : Indian Palace – Suite royale
La joyeuse troupe de nos retraités préférés est de retour au Marigold Hotel dans Indian Palace – Suite Royal. Etait-ce une bonne idée de faire une suite à leurs aventures ? Il semblerait bien que oui…
Flipped
Flipped est une comédie dramatique réalisée par Rob Reiner en 2010. Il s'agit de l'adaptation d'un roman de Wendelin Van Draanen publié en 2001. On a plaisir à retrouver Rob Reiner considéré comme un artisan du cinéma moderne et à qui l'on doit quelques perles comme Stand by Me ou Quand Harry rencontre Sally.
Critique : Frank
Trois ans après s’être dévoilé intégralement dans Shame de Steve McQueen, Michael Fassbender a osé le pari inverse à travers le rôle d’un musicien de génie, qui se cache en permanence derrière une tête démesurée. Sauf que son personnage énigmatique n’est guère au centre de ce film jubilatoire, qui porte pourtant son nom. Une fois n’est pas coutume, le dispositif du néophyte qui cherche à s’intégrer plus ou moins maladroitement dans l’univers sectaire de musiciens fonctionne à merveille dans Frank. L’aventure douce-amère d’un jeune compositeur en quête de reconnaissance artistique et publique confirme ainsi tout le bien que l’on pensait de son réalisateur Lenny Abrahamson, découvert il y a sept ans grâce à Garage.
Terri
Presque en habitué de Deauville, mais surtout en vrai curieux du cinéma, Azazel Jacobs venait présenter son nouveau film, Terri, trois ans après son Momma’s man. Accompagné par le scénariste et l’acteur en question, la joyeuse bande avait un sourire communicatif, tout comme le film.
Critique : Marie et les Naufragés
Après "Deux automnes, trois hivers", Sébastien Betbeder emploie à nouveau son parti-pris de mise en scène qui consiste à placer certains de ses personnages au centre de l'écran pour s'adresser au spectateur et présenter sa vie en version accélérée. Cela pourrait n'être qu'un artifice mais permet de faire avancer le récit de façon plus originale qu'un flash-back traditionnel et d'inscrire cette comédie poétique dans un registre particulier du cinéma français contemporain.
Critique : Technoboss
celles et ceux qui aiment le cinéma décalé, les situations loufoques, le mariage des genres, trouveront dans "Technoboss" non seulement de quoi se réjouir, mais également matière à réfléchir.


















