Jérémie Duvall en Interview

Interview Jérémie Duvall

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Il n’a pas 20 ans, déjà deux courts métrages à son actif en tant qu’auteur et réalisateur. Devant la caméra, on l’a vu à deux reprises en 2011 : dans « Mon fils à Jo » aux côtés de Gérard Lanvin et partenaire de François Cluzet dans « Mon père est femme de ménage ». Deux films qui ont totalisé de beaux scores au box-office. La conversation, après avoir fait un tour vers le foot, arrive sur Fabrice Luchini et le « Molière » de Laurent Tirard… Rencontre avec un jeune artiste bien dans son époque qui sait se servir de twitter bien mieux que Nadine Morano et qui promène sa cinéphilie de « Star Wars » à Kubrick…

Entretien avec José Mota (Abracadabra)

J’ai grandi avec les sketchs de José Mota à la télévision. Je me retrouve aujourd’hui l'heureux invité d'un cocktail à l’Ambassade d’Espagne à Paris...

Le festival télé de Monte-Carlo, 1er jour, interview de Sarah Shahi

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Quand on est une fan inconditionnelle de séries télé, se retrouver au Festival Télé de Monte-Carlo, c’est comme ouvrir ses cadeaux le matin de...

Entretien avec Tobe Hooper (septembre 2014)

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Lors de la septième édition du Festival de Strasbourg, Tobe Hooper était invité à présider le jury à l'occasion de la ressortie en salles,...

Interview Lucky McKee (All cheerleaders die)

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Save the cheerleader, save the world. On se souvient de la phrase emblématique de la série Heroes, où du sort d'une pom-pom girl dépendait...

A Girl walks home alone at night : entretien avec Ana Lily Amirpour

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Entretien avec Ana Lily Armirpour, la réalisatrice de A Girl walks home alone at night sorti en salles le 14 janvier et en DVD...

Quinzaine 50 : entretien avec Edouard Waintrop

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À l'occasion de l'anniversaire de la Quinzaine des Réalisateurs, rencontre avec son délégué général, Edouard Waintrop, qui quittera ses fonctions après sa septième édition en tant que sélectionneur. Merci à lui pour cet entretien. Quelle image aviez-vous de la Quinzaine avant d'en devenir le sélectionneur ? Avant tout celle des premières années. Je me suis intéressé au cinéma à l'adolescence alors que la Quinzaine naissait. Du coup j'ai découvert La Première charge à la machette de Manuel Octavio Gomez, le film d'ouverture de cette

Quinzaine 50 : entretien avec Pierre-Henri Deleau – épisode 7 : la salle de...

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La quinzaine a mis du temps à trouver son lieu de prédilection ? La première année, on a retenu 65 films, présentés chacun une seule fois dans l'un des deux cinémas aujourd'hui disparus : le Rex (une salle de quartier dégueulasse) et l'Olympia. L'année d'après j'ai choisi la meilleure salle de la rue d'Antibes possible. Au fil des ans, on a changé plusieurs fois. Il y a eu le Français, le Star puis l'ancien palais dont j'ai hérité lorsque la sélection officielle s'est installée dans le bunker actuel. Cette salle était magnifique. J'avais supplié Jack Lang [alors ministre de la Culture] de le classer mais il m'a dit qu'Anne Marie Dupuy [alors maire de Cannes] était couverte de dettes avec la construction du nouveau palais et donc devait vendre le bâtiment. Ça a été un bonheur, pendant cinq ou six ans. Une salle de 1200 places, pas une seule mauvaise, même au balcon ou sur les côtés. Et vous sortiez sur la mer tout d'un coup !

Félix et Meira : entretien avec Maxime Giroux

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Mercredi prochain, les salles françaises projetteront Félix et Meira, qui a remporté face à Mommy de Xavier Dolan le prix du meilleur film au Festival International du Film de Toronto 2014. Le réalisateur Maxime Giroux a bien voulu nous accorder un entretien très éclairant sur cette histoire d'un amour impossible entre un Montréalais francophone (Martin Dubreuil) et une mère de famille juive hassidique (Hadas Yaron), à une heure où les questions sur les « communautés » sont particulièrement brûlantes.
préparation du Festival de Cannes 2012, Yes we Cannes !

Yes we Cannes ! En direct du Festival de Cannes 2012

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Bon, tentons de rester professionnels et dignes mais tout de même : obtenir une (même 2) accréditation presse pour le Festival français du cinéma le plus attendu, c’est la super classe et ça mérite de danser sur les tables ! Mais une fois passée l’explosion de joie, on laisse la place aux grandes questions existentielles : où va-t-on dormir, comment allons-nous manger et avec quel argent, on y va en train, en voiture ou à dos de chameau…bref, la galère commence.

Entretien avec Bill Nighy pour le film Golem

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  L'acteur reconnu notamment pour les films Love Actually ou Pride (parmi bien d'autres) était présent pour la première fois au Festival du Film Britannique...

Entretien avec l’acteur Thomas Brodie Sangster 3/3 (Death of a superhero)

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Troisième et dernière partie de l'entretien avec l'acteur Thomas Brodie Sangster, réalisé en 2011 au Festival des Arcs à l'occasion de la présentation de...

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La déception que l'on ressent à la vision du film est à la hauteur des espoirs qu'on avait pu y placer au vu de la distribution.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : South Park, le film

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N’en déplaise à ses détracteurs, South Park, le film est aussi la preuve que l’irrévérence peut être un Art, et que le mauvais goût, quand il est bien dosé, peut devenir une arme de critique massive.

Test Blu-ray : Double Dragon

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Sorti en 1994 aux États-Unis, Double Dragon s’inscrivait dans une vague Hollywoodienne de tentatives afin de de transposer les références du jeu vidéo sur grand écran. Et dans son créneau, le film assume son délire de série B avec une candeur presque touchante...

Critique : L’Étranger (François Ozon)

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« L’Étranger » d’Albert Camus compte parmi ces chefs-d’œuvre de la littérature qu’il aurait peut-être mieux valu ne jamais porter à l’écran. Puisque c’est chose faite depuis près de soixante ans à travers la version de Luchino Visconti avec Marcello Mastroianni, on ne va pas non plus reprocher à François Ozon d’avoir également tenté sa chance. Et d’avoir échoué … ?

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Chair pour Frankenstein

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Derrière sa façade de série Z portée sur la tripaille et ses dialogues qui sentent le latex, Chair pour Frankenstein cache un vrai film. Un film qui, mine de rien, théorise sur le pouvoir, sur le désir, sur l’obsession de pureté, et sur le fait que vouloir créer la vie, c’est souvent finir avec les mains dans le cambouis et les pieds dans le caca.