Critique : Jauja (Cannes 2014)
Un jour, peut-être, verra-t-on un film du réalisateur argentin Lisandro Alonso franchir la porte prestigieuse de la compétition officielle du Festival de Cannes, celle qui permet de rêver à la Palme d'or. En tout cas, le quadragénaire Lisandro Alonso peut d'ores et déjà être considéré comme un abonné du plus grand Festival du monde, ses 5 longs métrages ayant tous été retenus dans l'une ou l'autre des sélections parallèles. En 2014, son dernier film, "Jauja", était présenté dans le cadre de la sélection Un Certain Regard.
Critique : Les Deux cavaliers
Au début des années 1960, alors qu'il avait atteint l'âge de partir sereinement à la retraite, on aurait pu croire que John Ford ne réalise plus que des films doucement crépusculaires. Or, juste après Les Deux cavaliers, il allait créer son dernier chef-d'œuvre absolu, L'Homme qui tua Liberty Valance.
Test Blu-ray : La caravane de feu
La caravane de feu marque la troisième – et dernière – collaboration entre John Wayne et Kirk Douglas, en 1967, devant la caméra de Burt Kennedy.
Critique : Hostiles
Les amateurs de véritables westerns ne pourront qu'être aux anges de se retrouver face à un film débarrassé de toutes les scories que le western italien avait fini par imposer dans ce genre si important du cinéma.
Test Blu-ray : Calamity – Une enfance de Martha Jane Cannary
Avec Calamity - Une enfance de Martha Jane Cannary, Rémi Chayé semble bien déterminé à faire oublier au spectateur la Calamity Jane issue des cases de Lucky Luke.
Test Blu-ray : Le relais de l’or maudit
Loué soit donc Sidonis Calysta, qui nous permet aujourd’hui de (re)découvrir Le relais de l’or maudit en Blu-ray et DVD, et ainsi de constater que Randolph Scott a aussi tourné un grand western sous la direction de Roy Huggins, un scénariste / réalisateur ô combien talentueux
Critique : Buck et son complice
D'abord, dans les années 1950 et '60, l'acteur Sidney Poitier s'était façonné l'image mondialement connue du noble noir. Ainsi, il était devenu le moteur incontestable, quoique aseptisé, de l'avancement des droits civiques aux États-Unis. Dans des films réalisés sans exception par des hommes blancs, de renom, certes, tels que Joseph L. Mankiewicz, Richard Brooks, Stanley Kramer et Norman Jewison, il endossait la plupart du temps le rôle du jeune homme exemplaire, mis en difficulté dans sa vie quotidienne par le simple fait d'être afro-américain.
Test Blu-ray : L’étreinte du destin
En 1955, avec L’étreinte du destin, George Sherman est au sommet de son Art, prenant à bras le corps cette histoire aux nombreux niveaux de lecture suivant un personnage tentant désespérément de repartir à zéro dans un endroit où personne ne veut de lui. Extrêmement fine, l’intrigue du film nous propose de découvrir des personnages à la psychologie riche...
Vu sur OCS : Compañeros (Sergio Corbucci)
Une coproduction entre l'Italie, l'Espagne et l'Allemagne sur les tribulations d'un vendeur d'armes suédois en pleine guerre civile au Mexique : ce western spaghetti a tout ce qu'il faut pour faire honneur à son genre, un véritable bouillon d'influences du côté du cinéma transalpin au cours des années 1960 et '70.
Critique : Django Unchained
Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de Django, un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle, les meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui rendre sa liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou vifs.
À (re)voir sur Netflix : Lucky Luke / Dujardin au Far West
Ouest sauvage, 1844. Dans une modeste exploitation fermière, la famille Luke prend du bon temps, le petit John, 9 ans, s’amusant tranquillement, déguisé en sioux. Une bande de desperados arrive à l’horizon. L’affrontement inévitable laissera les parents sur le carreau et John orphelin, transi de froid, écrasé de douleur, avec le surnom de « Lucky Luke ».
Test Blu-ray : Scalps
Scalps est un western spaghetti sorti sur les écrans français à l’automne 1987. A l’époque, le western italien a rendu les armes depuis très longtemps – cela fait au bas mot cinq à six ans que plus aucun représentant du genre ne s’est plus aventuré dans les salles en France.



















