Critique : Black Swan
Black Swan est un thriller sorti en 2011. Le film a été réalisé par Darren Aronofsky a qui l'on doit Requiem for a Dream ou encore The Wrestler. C'est la belle Nathalie Portman qui y tient le rôle principal pour lequel elle a remporté le Golden Globes de la meilleure actrice. Elle qui petite était danseuse classique a enfin pu accomplir son rêve : jouer une ballerine au cinéma.
Critique : Get Out
Premier long métrage de Jordan Peele, Get Out, porté par Daniel Kaluuya, qui s’est illustré dans le dernier épisode de la première saison de Black Miror, raconte l’histoire d’un homme afro-américain qui rencontre la famille blanche de sa copine. Une rencontre sous pression qui va partir dans les tours.
Le Rite
Le Rite est un film d'horreur réalisé par Mikaël Hafstrom à qui l'on doit Chambre 1408, Dérapage et The Drowning Ghost. Rien de très palpitant. Il était difficile de s'attaquer à un film sur l'exorcisme, d'autant plus que beaucoup se sont cassé les dents face au cultissime Exorciste de William Friedkin (1973).
Critique : Jusqu’à la garde
Un film d'une force exceptionnelle, un film qui coupe le souffle, qu'on reçoit comme un coup de poing.
Revu sur OCS : Monsieur Klein
Impossible de se soustraire au mystère que dégage Monsieur Klein, sans aucun doute l'un des films les plus énigmatiques et les plus magistraux tournés jusqu'à ce jour sur la déportation des juifs au temps de la Deuxième Guerre mondiale. Car ce lauréat du César du Meilleur Film en 1977, qui disparaîtra d'ici ce soir du service replay d'OCS, mais qu'on vous conseille chaudement de découvrir ou de revoir par d'autres moyens, se garde soigneusement de pratiquer le chantage sentimental sous quelque forme que ce soit, afin de produire un impact encore plus froidement viscéral.
Critique : Source Code
Source Code est le deuxième film de Duncan Jones après Moon. Un film de science fiction sur la réalité parallèle et le retour dans le passé, bref un mélange d'Un Jour sans fin et de L'Effet Papillon mené par Jake Gyllenhaal, M. Donnie Darko.
Critique : Le traître
Un film passionnant, haletant, un film qui a su utiliser à bon escient les moyens importants dont il a manifestement disposé, une interprétation remarquable, tout particulièrement celle de Pierfrancesco Favino dans le rôle principal, que des bonnes raisons pour aller voir "Le traitre".
La Vérité nue
La Vérité nue est un thriller à l'ancienne réalisé par Atom Egoyan en 2004. Il s'agit de l'adaptation du roman Somebody loves you du britannique Rupert Holmes. On y retrouve une pléiade de stars d'Hollywood comme Kevin Bacon, Colin Firth, Alison Lohman et Rachel Blanchard.
Critique : Conspiracy
Le hasard du calendrier n'a vraiment pas fait de cadeau à ce thriller américain. De sortie sur les écrans français à peine une semaine après l'attaque terroriste de Manchester, Conspiracy laissera sans doute un arrière-goût quelque peu amer aux spectateurs, même si le cycle inlassable de l'attention médiatique a déjà trouvé d'autres points d'intérêt depuis. Avec l'emploi du temps des projections encore moins en notre faveur, nous l'avions découvert au lendemain de l'attentat, c'est-à-dire dans un état d'esprit général qui nous a rendu le cœur lourd face à ce divertissement.
Albi 2021 : Madeleine Collins
Instaurer d'entrée de jeu le trouble ou la confusion, tels sont à la fois l'enjeu et le risque de chaque thriller qui vise à tenir le spectateur en haleine du début jusqu'à la fin. Dans le cas de Madeleine Collins, présenté en avant-première au Festival d'Albi, le démarrage de l'intrigue s'effectue plutôt laborieusement.
Collateral
Il s'agit de l’histoire d’un scénario qui, passé entre les mains de nombreux réalisateurs, va finalement atterrir entre celles du génial et brillantissime Michael Mann. Séduit par le cadre du film qu’il s’approprie, il va se servir de Collateral comme d’un essai, une expérience unique qui, sous son œil visionnaire, va s’avérer être un pur chef d’œuvre.
Berlinale 2018 : Paranoïa
Le cinéma commercial de ce siècle est dominé par les épopées de super-héros, les films d'horreur et autres thrillers, ainsi que dans une moindre mesure, puisque plus tributaires des spécificités locales, de comédies. En gros, pour faire fructifier au mieux l'argent investi dans la production cinématographique, il convient de se tourner vers ces genres désormais tellement balisés, que la probabilité de l'échec cuisant s'amenuise d'année en année.



















