Critique : Les Choses qu’on dit les choses qu’on fait
L'amour, l'amour, l'amour toujours. Aucun autre sujet ne paraît préoccuper le cinéma français davantage que les éternels tourments du cœur, accompagnés d'une dose adéquate de battements de la libido, s'il vous plaît.
Critique : Entre les roseaux
Face à un scénario qui donne une impression de déjà vu, mais avec des éléments "tout neufs" et fort intéressants, on ne peut que regretter la mollesse de la réalisation et le côté complaisant de certaines scènes.
Critique : L’envol
Film féministe, film féminin sur l'émancipation d'une jeune femme, L'envol présente deux volets très différents l'un de l'autre.
Critique : Nos plus belles années
Filer un parfait amour sur la durée n'est pas la seule chose impossible dans Nos plus belles années, considéré plutôt à juste titre comme un grand classique du cinéma romantique des années 1970. Car le septième long-métrage de Sydney Pollack nous paraît faire figure d'exemple – à dessein ou involontairement, peu importe – de la frilosité des films hollywoodiens à l'égard de quelque prise de position politique que ce soit.
Critique : Jours de France
Malgré ses défauts, il parait évident que "Jours de France" n'est pas un film qui s'oublie rapidement et facilement.
Critique : L’Amour ouf
L'Amour ouf, film très ambitieux, s'affiche fièrement, sans hésitation, dans deux registres très différents : la comédie romantique et le thriller par moment particulièrement violent.
Critique : Seule la terre
Dans "Seule la terre", Francis Lee mélange avec justesse deux volets différents : la description particulièrement bien rendue du travail quotidien dans une ferme du Yorkshire et celle d'une relation homosexuelle qui s'établit entre deux jeunes hommes, représentant une forme de rédemption pour au moins l'un d'entre eux.
Critique : Quand passent les cigognes
Le cinéma russe de l'époque de l'Union soviétique n'a pas vraiment bonne réputation en France et ailleurs en Europe de l'Ouest. A l'exception de quelques rares maîtres célébrés – en fait, il n'y en a qu'un seul avec lequel la communauté des cinéphiles occidentaux continue, voire rafraîchit périodiquement son histoire d'amour : Andreï Tarkovski – , l'essentiel de la production cinématographique de ces cinquante années passées derrière le rideau de fer ne paraît être guère plus qu'un instrument parmi d'autres de la propagande communiste.
Critique Express : Stars at noon
Une grande différence entre les 2 derniers films de Claire Denis : "Avec amour et acharnement" est médiocre, "Stars at noon" est carrément mauvais !
Critique : Technoboss
celles et ceux qui aiment le cinéma décalé, les situations loufoques, le mariage des genres, trouveront dans "Technoboss" non seulement de quoi se réjouir, mais également matière à réfléchir.
Critique : Asako I&II
Asako I&II
Japon : 2018
Titre original : Netemo Sametemo
Réalisation : Ryusuke Hamaguchi
Scénario : Ryusuke Hamaguchi, Sachiko Tanaka d'après le roman "Nete mo samete mo" de...
Critique : Girls will be girls
"Girls will be girls" est le premier long métrage de Shuchi Talati, une jeune réalisatrice indienne dont les deux court-métrages qu'elle avait déjà réalisés auparavant montraient déjà son intérêt pour la remise en question des idées préconçues sur le genre, la sexualité et l'identité de son pays.



















