Critique : La belle époque

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Rares sont les comédies françaises aussi inventives, aussi rythmées, mélangeant avec autant de finesse cocasserie et émotion et bénéficiant en plus d'une telle distribution XXL.

Critique : Carmen & Lola

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Un film très juste et d'une grande sensibilité, un film très tonique et très coloré, magnifiquement interprété par deux comédiennes non professionnelles.

Critique : Les Olympiades

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Jacques Audiard propose une étude intéressante sur la façon dont les nouveaux moyens de communication ont modifié les rapports intimes entre les êtres, qu'ils soient réellement de type amoureux ou pas.

Critique Express : Mon gâteau préféré (Deuxième avis)

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Commencé par un gag, "Mon gâteau préféré" se termine par un événement tragique.

Critique : Méduse

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Pour son premier long métrage, Sophie Levy n'a pas choisi la facilité, mais le résultat lui donne raison. Pour le moins atypique, son voyage dans le monde de la jalousie est traité avec douceur et pousse les spectateurs à s'inviter dans les pensées intimes des trois protagonistes du film, interprétés par trois remarquables comédiens.

Critique : 16 ans

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Ce qu'on aime le plus dans ce film c'est la peinture des liens sentimentaux très forts qui se tissent entre Nora et Léo, malgré les obstacles, malgré les interdits.

À voir en VOD : On sera deux !

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On sera deux ! s'inscrit dans le genre de la "rom-com 2.0". Il est d'ailleurs amusant de constater que Jack Quaid, qui incarne le personnage principal du film, est à la ville le fils de Dennis Quaid et de Meg Ryan...

Critique Express : The summer with Carmen

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Beaucoup d'éléments participent à donner un côté radieux à ce qui aurait pu être plutôt glauque

Critique Express : Jeunesse en sursis

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Pendant 2 heures, la réalisatrice empile une succession de petites scènes, le plus souvent sans aucun rapport les unes avec les autres, sans souci affiché de raconter une histoire.

Berlinale 2023 : Irgendwann werden wir uns alles erzählen

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Les grands sentiments ont d'emblée fait leur entrée en compétition au 73ème Festival de Berlin. Dès notre première journée complète de projections, nous nous trouvons en effet face à ce conte passionnel, situé dans une Allemagne encore en état de choc, quelques mois à peine après la chute du mur de Berlin.

Critique : Entre les roseaux

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Face à un scénario qui donne une impression de déjà vu, mais avec des éléments "tout neufs" et fort intéressants, on ne peut que regretter la mollesse de la réalisation et le côté complaisant de certaines scènes.

Critique : Après la nuit

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Avec ce film, Marius Olteanu vient s'ajouter à la liste des cinéastes roumains de premier plan.

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Test Blu-ray : I Love Peru

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I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

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Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.

Sarlat 2025 : Promis le ciel

En règle générale, le parcours d’immigration n’est linéaire pour personne. A plus forte raison lorsqu’il se faufile dans la clandestinité, à l’écart des canaux officiels, sursaturés depuis longtemps. Ainsi, il y a des moments de précipitation au risque de sa propre vie d’un côté et des pauses lénifiantes de l’autre, qui coïncident avec une situation bloquée dont on peine à percevoir une issue favorable.