Critique Express : Matria
"Matria" se rapproche des cinémas de Ken Loach et des frères Dardenne et doit beaucoup à la prestation remarquable de María Vázquez, présente dans presque toutes les scènes du film.
Prédators (2010), avec Adrien Brody
Prédators version 2010 est la suite de Prédators et Prédators 2, deux films qui ont connu un grand succès à la fin des années 80. Le film ne tient pas compte des deux opus Alien versus prédator. Il s'agit d'un film à budget moyen produit par Robert Rodriguez, dont la campagne de communication à été plutôt discrète. Le film est passé relativement inaperçu lors de son lancement, en cet été cinématographique morose.
Critique : Fremont (Deuxième avis)
Frémont, c’est l’histoire de Donya, d’origine afghane, ancienne traductrice immigrée aux États-Unis et travaillant dans une usine de gâteaux porte-bonheur. Pour raconter son errance, Babak Jalali choisit un ton humoristique “sec”, rafraîchissant et sans complaisance.
Critique : Murina
Mais n'est-ce pas en elle-même que se trouvent vraiment les forces permettant à la jeune Julija de se dégager, telle une murène, de l'emprise de son père ?
Critique : Femmes femmes
Le réalisateur Paul Vecchiali n’a pas volé son surnom de « franc-tireur du cinéma français », qui sert de titre à une rétrospective en deux parties de ses films pendant ce premier trimestre 2015. Car un film de Vecchiali ne ressemble à rien de connu. C’est à la fois pour le spectateur la découverte incessante de ruptures volontaires de ton et pour l’artiste l’expression inconditionnelle d’une vision personnelle des choses à exprimer par le biais du cinéma. De nombreuses influences filmiques traversent son œuvre. Or, aucune d’entre elles ne résiste à cet état d’esprit frondeur, qui procède à une déformation systématique des canons de la narration et des genres pour aboutir à de curieux objets filmiques. Ceux-ci peuvent parfois déconcerter, mais ils sont invariablement animés par une intransigeance passionnante.
Critique : Slalom
Un film important par son sujet mais dont le déroulé est trop prévisible et dont la mise en scène manque de relief.
Critique : L’ennemi
Même s'il n'a pas la force de "Noces", le film précédent de Stephan Streker, "L'ennemi" est un film important par ce qu'il dit sur les jugements humains, sur la faiblesse des témoignages, sur ce que représente l'intime conviction.
Juste entre nous
Juste entre nous est une comédie dramatique réalisée par Raiko Grlic. Le film traite de l'adultère mais plus que ça, de l'anticonformisme et du besoin de se mettre en danger pour échapper à la routine. Juste entre nous a reçu le Grand Prix du Festival International du Film de Karlovy Vary 2010 et le prix Ciné Femmes du Festival d’Amour de Mons 2011.
Critique : Absolutely anything
Que feriez-vous, si vous disposiez du pouvoir de faire absolument tout ? Pour votre propre bien et celui de l’humanité toute entière, espérons que vous trouveriez un emploi un peu plus utile à ces capacités illimitées que l’usage qu’en fait le personnage principal de cette comédie britannique.
Critique : Les Intranquilles
S’il y a bien une chose difficile à aborder au cinéma sans tomber dans des pièges rédhibitoires, c’est la maladie, quelle que soit sa forme.
Critique : La Terre penche (court-métrage)
Grand Prix à Pantin en 2012 avec La Maladie blanche, revenue en 2014 avec Madeleine et les deux apaches, la réalisatrice Christelle Lheureux remet son titre en jeu avec ce nouveau moyen-métrage, plus narratif que les précédents tout en conservant un goût certain pour le mystère.
Critique Express : La grande magie
Souvent drôle, parfois poétique, parfois émouvant, La grande magie réunit une pléiade de comédiennes et de comédiens, toutes et tous d'autant plus excellent.e.s qu'elles et ils donnent l'impression de s'être beaucoup amusé.e.s.