Critique : Les Espiègles

La première chose qui me vient à l’esprit lorsque j’évoque ce style de courts métrages, c’est une forme de soulagement… J’ai, en effet, souvent peur que l’horizon cinématographique de nos jeunes spectateurs se réduise uniquement à des superproductions numériques gorgées de couleurs criardes et d’une dérision flirtant trop souvent avec des clichés rebattus. Bien sûr, se produit parfois un petit miracle, mais pour un Zootopie, combien de déceptions !! Alors, lorsque arrive sur nos écrans un film utilisant des techniques d’animation plus artisanales,

Critique : Dredd

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Dans un avenir proche, les États-Unis ne sont plus qu'un immense désert irradié. Mega City One est une métropole tentaculaire rongée par le vice...

Dossier : La saga Poltergeist 4/4

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Dossier Poltergeist quatrième partie : Poltergeist le remake 2015 ...

Donnie Darko

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En 1988, dans une banlieue américaine paisible, le jeune Donnie Darko vient perturber la tranquillité de son entourage. Intelligent mais atteint de « troubles émotionnels », il échappe de peu à la mort alors qu’une nuit un réacteur d’avion s’écrase sur sa chambre ; somnambule, il avait suivi un homme déguisé en lapin macabre lui annonçant la fin du monde 28 jours plus tard… De cette étrange nuit vont découler des événements de plus en plus troublants…

Critique : Les survivants

La détresse d'une migrante réveille l'humanité d'un homme, veuf depuis peu, et l'amène à se mettre en danger pour sauver une vie humaine.

ici et là-bas

Après avoir travaillé aux États Unis, Pedro revient dans son petit village dans les montagnes du Guerrero, au Mexique. Il y retrouve sa femme et ses filles. Avec ses économies accumulées, il aspire enfin à mener une vie meilleure avec les siens, et même à réaliser son rêve : former un petit groupe de musique, les Copa Kings. Mais les opportunités de travail sont rares et la frontière entre ici et là-bas ne cesse d’occuper l’esprit et le quotidien de Pedro et de ceux qui l’entourent. Ici et là-bas porte sur le bonheur de vivre parmi les siens, la perte et les souvenirs de ceux que nous laissons derrière nous.

Critique Express : EO

"EO", c'est l'histoire d'un âne sur laquelle viennent se greffer quelques petites histoires "humaines".

César 2015 : présélection des courts d’animation en salle

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Suite de la présentation en salle à Paris des courts-métrages en présélection aux César 2015 afin de permettre au public et aux votants de...

Critique : Le vent se lève

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L’histoire de l'ingénieur japonais Jiro Horikoshi, connu pour avoir créé l'avion de chasse Mitsubishi A6M, surnommé chasseur Zero et devenu le symbole de la lutte aérienne du Japon durant la Seconde Guerre mondiale.
Millenium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes

Critique : Millenium – Les hommes qui n’aimaient pas les femmes

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Adaptation américaine par le golden boy hollywoodien David Fincher, du premier volet du best-seller de Stieg Larsson, Millenium.

Critique : True story

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Les deux institutions de leur civilisation dont les Américains se montrent particulièrement fiers sont la justice et la presse. L’indépendance supposée de ces piliers de l’idéal américain, basé sur la liberté d’entreprendre et de penser, est un point d’honneur incontournable pour quiconque réclame son appartenance au peuple de l’Oncle Sam.

Critique : 78/52, Les derniers secrets de Psychose – Festival de Gérardmer 2018

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En 78 plans et 52 coupes, la scène culte du meurtre sous la douche de Marion Crane (Janet Leigh) par Norman Bates (Anthony Perkins) dans Psychose , chef-d'œuvre de montage, est une scène légendaire qui a bouleversé à jamais les codes du cinéma mondial. Profanant avec délice le sanctuaire blanc de la salle de bains, le maître du suspense Alfred Hitchcocklibérait dans cette scène une libido et une agressivité refoulées sous le carcan victorien. Sentant l'époque changer, à l'aube d'une décennie 1960 marquée par les violences raciales et les émeutes, il envoyait aussi un message à une Amérique jugée trop candide : même sous la douche, on n'est plus en sécurité !  Après les très remarqués Doc of the Dead et The People vs George Lucas, le réalisateur Alexandre Philippe explore à nouveau les racines et le fondement d’une certaine cinéphilie : De Peter Bogdanovich à Guillermo del Toro, les cinéastes et analystes les plus prestigieux s’expriment devant la caméra du documentariste et décortiquent avec bonheur et plan par plan cette séquence célébrissime, mille fois citée et pastichée, qui a profondément modifié la réalisation et le montage des films.

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Test DVD : Anges & Cie

Avec Anges & Cie, le nouveau venu Vladimir Rodionov nous propose une sympathique comédie fantastique, qui ne cherche en aucun cas à révolutionner le genre, mais plutôt à le caresser dans le sens du plumage céleste.

Critique Express : The cord of life

A mesure que le film avance, on retient la nostalgie qu'il dégage avec bonheur, donnant naissance à des moments où on se met à réfléchir aux liens qu'on a pu avoir ou qu'on a toujours avec ses parents, aux souvenirs qu'on peut avoir des endroits où on a vécu.

Critique Express : The great departure

"The great departure" est un savoureux et très réussi mélange de "love story" et de "L'Inde pour les nuls".

Test Blu-ray 4K Ultra HD : The Phoenician Scheme

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Avec The Phoenician Scheme, Wes Anderson pousse son obsession du cadre symétrique et du casting improbable jusqu’à un point de non-retour qui ferait passer The Grand Budapest Hotel pour un documentaire sur les ascenseurs.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Aeon Flux

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Dans Æon Flux, le futur est propre, lisse, et vaguement fasciste. La ville de Bregna ressemble à une clinique suisse sponsorisée par Apple, où les gens vivent sous la coupe d’un gouvernement scientifique qui ferait passer Elon Musk pour un hippie.