Test DVD + Blu-ray : Butterfly Kiss

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Après avoir essayé en vain, en collaboration avec le scénariste Frank Cottrell Boyce, de réaliser un film qui se serait appelé "Delirious", les deux complices ont décidé de se lancer dans l'écriture d'un scénario pouvant déboucher sur un film qui puisse être réalisé rapidement et avec peu d'argent. Ce film, c'est "Butterfly kiss", et il n'a couté que 400 000 livres.

Cannes 2017 : Wonderstruck (Le musée des merveilles)

Le musée des merveilles Etats-Unis, 2017 Titre original : Wonderstruck Réalisateur : Todd Haynes Scénario : Brian Selznick Acteurs : Oakes Fegley, Julianne Moore Distribution : Metropolitan Film Export Durée : 1h57 Genre : Drame Date...

Critique : La plus précieuse des marchandises

Force est de reconnaître que l'animation, parce qu'elle est dans la suggestion, est particulièrement bien adaptée à la représentation d'évènements aussi bouleversants et révoltants que la Shoah

Critique : Oleg

"Oleg" renouvelle la façon d'aborder les phénomènes de migration de populations au cinéma.

Critique : Sieranevada

Ce nouveau long-métrage fut le plus long de la compétition du dernier Festival de Cannes (où la quasi totalité des films semblait durer plus que de raison) avec une durée de 2h52, juste quelques minutes de plus que les plus consistantes 2h42 de Toni Erdmann, vainqueur par k.o. par sa profondeur subtile. Ici, le réalisateur roumain Cristi Puiu («La Mort de Dante Lazarescu») peine à justifier la durée de son film, non pas parce qu’il générerait un quelconque ennui mais ces quelques 180 minutes passées quasiment dans leur intégralité dans un appartement manquent tout de même d'un peu de consistance et de précision dans la représentation d'un pays qui semble bien malade.

Critique : Les Meutes

Des histoires de petites frappes, dépassées par les événements et pas assez intelligentes pour se sortir du bourbier dans lequel elles se sont mises elles-mêmes, on en a déjà vu des dizaines. Pourtant, ce premier long-métrage marocain, présenté au dernier Festival de Cannes dans la section Un certain regard, réussit à rendre à nouveau fascinant ce dispositif éprouvé.

La Roche-sur-Yon 2019 : Reconstructing Utøya

Quel intérêt y a-t-il à reconstruire l'horreur d'un attentat, alors qu'une de ces manifestations sanglantes du terrorisme international en chasse l'autre un peu partout sur la planète ces dernières années ? Il y a bien sûr les exigences de l'appareil juridique de faire son travail, ainsi qu'une propension humaine à l'expiation de ces traumatismes collectifs par voie de fictions haletantes.
Justin Bieber Never Say Never de Jon Chu

Justin Bieber : Never Say Never

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Qui n'a pas entendu parler de Justin Bieber : Never Say Never le film documentaire sur la vie de la superstar Justin Bieber ? Évidemment on en a beaucoup parlé en mal, mais combien l'ont vraiment vu et en on donné un avis objectif ? C'est ce que nous allons essayer de faire dans cet article.

Critique : Brian de Palma

Il en aura parcouru des distances, ce documentaire, avant d'arriver chez nous. Présenté en septembre 2015 à Venise, il aura enchaîné les festivals, des USA à la Corée du Sud, en passant par Tel Aviv, Toronto, Rio de Janeiro ou encore Vienne. Enfin, il a récemment été diffusé sur Arte, et est disponible en VOD sur le site de la chaîne.
Camp Hell photo du film

Camp Hell

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Camp Hell de l’américain Georges Vanbuskirk n’est pas un film d’horreur. Le film à l’origine s’intitule Camp Hole (le camp de l’espoir). Cette amère tromperie résulte d’une volonté marketing délibérée de capter plus largement un public par l’intrusion de rares et brèves scènes horrifiques. Camp Hell doit être requalifié comme un drame de l’adolescence américaine enrôlée dans les croyances religieuses d’extrême-droite.

Critique : La familia

"La familia" se situe quelque part entre le néoréalisme italien, le cinéma des frères Dardenne et celui de Ken Loach.

Cannes 2018 : Les oiseaux de passage

L'ouverture de la Quinzaine des Réalisateurs cuvée 2018 s'est faite avec le retour d'une révélation récente : Ciro Guerra, avec sa productrice et désormais co-réalisatrice Maria Camila Arias, s'étaient faits remarquer en 2015 avec L'étreinte du serpent. Ils nous reviennent cette année avec Les oiseaux de passage, surprenant portrait d'une communauté amérindienne qui se révèle être un efficace film de genre.

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Berlinale 2026 : Wim Wenders président

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En ces premières semaines de la saison des prix de cinéma pour l’année 2025, il était grand temps qu’on sache qui présidera le jury du prochain Festival de Berlin. Fin du suspense vendredi dernier, le 12 décembre, avec l’annonce par la directrice de la Berlinale Tricia Tuttle du nom du réalisateur allemand Wim Wenders.

Critique Express : L’amour qu’il nous reste (Deuxième avis)

Hlynur Pálmason a choisi, pour son 4ème long métrage, de nous faire partager avec beaucoup de tendresse la vie d'une famille, une femme, un homme, 3 enfants, une chienne, qui, d'une façon plutôt paisible, est en train de se décomposer.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : À toute épreuve – Édition Collector Limitée

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Pour son arrivée au format Blu-ray 4K Ultra HD, À toute épreuve s’offre une édition collector limitée absolument magnifique, sous les couleurs de HK Vidéo. Le packaging du coffret impressionne : un Digipack élégant avec étui rigide, accompagné d’un livret de 20 pages, de cinq photos et d’une affiche.

Test Blu-ray : Les Bad Guys 2

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Dans Les Bad Guys 2, les personnages, à la croisée des chemins entre animaux et caricatures sociales, se débattent avec leurs propres contradictions. Le loup, figure centrale, incarne cette lutte intérieure : héros malgré lui, il se retrouve coincé entre la tentation du frisson criminel et l’appel d’une vie rangée.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Arrête-moi si tu peux

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Il est rare qu’un film parvienne à transformer la cavale d’un adolescent en véritable ballet existentiel, mais Arrête-moi si tu peux réussit ce tour de passe-passe avec une élégance qui ferait rougir un escroc de bas étage.