Critique : Chorus
François Delisle nous fait partager, sans aucun pathos, le quotidien d'un couple qui se retrouve après plusieurs années, face à l'épilogue du drame qui avait causé leur séparation.
Cannes 2017 : Napalm
"Mes films ne sont ni documentaires ni fictions, mais des entre-deux" explique Lanzmann avant la séance. En tout cas, Napalm n'est ni un bon documentaire, ni un bon long-métrage de fiction comme nous allons le voir, même s'il n'est pas totalement inintéressant.
L’homme de Rio
Le deuxième classe Adrien Dufourquet est témoin de l'enlèvement de sa fiancée Agnès, fille d'un célèbre ethnologue. Il part à sa recherche, qui le mène au Brésil, et met au jour un trafic de statuettes indiennes.
Numéro quatre
Numéro quatre est le nouveau film de D.J. Caruso à qui l'on doit les pas si mauvais Paranoiak et L' Œil du mal. Il revient avec un film plus ambitieux au budget conséquent, tiré d'un roman à succès de Jobie Hughes et James Frey. Un film fantastique pour adolescents adapté d'un roman, en voilà une idée originale... (Harry Potter, Twilight, Le Monde de Narnia, Eragon, Percy Jackson...).
Berlinale 2024 : A Different Man
On pourrait croire que tout a déjà été dit au cinéma sur la monstruosité de certaines déformations faciales. En fait, il aura suffi d'un seul film pour faire le tour de cette question pour le moins délicate. Sans vouloir rien enlever au génie de Elephant Man de David Lynch, nous devons toutefois reconnaître que A Different Man, présenté en compétition au Festival de Berlin, a pu faire sienne cette thématique d'une façon globalement ingénieuse.
Critique : Un jour de chance
Réalisateur azimuté, Álex de la Iglesia a connu des hauts et des bas. Mais depuis le jubilatoire Le crime farpait et l'époustouflant Balada Triste, c'est avec une certaine impatience que l'on attendait son dernier film, intitulé Un jour de chance.
Test DVD : Je ne suis pas un salaud
Un homme qui, lors de la parade d'identification organisée par la police, désigne un innocent comme étant l'agresseur qui l'a presque laissé pour mort, cet homme est-il un salaud ? Ou bien un pauvre type, un homme dont le comportement tourmenté s'explique avant tout par son mal de vivre ?
Critique : Les Trolls
Aujourd’hui est un grand jour pour les Burgans, ils vous invitent à célébrer avec eux la fête la plus joyeuse de tous les temps : le Trollstice ! Durant cette cérémonie, un Burgan a le bonheur d’être choisi pour manger un Troll et ainsi devenir une personne heureuse. Si c’est un jour d’allégresse pour les Burgans, il est particulièrement redouté des Trolls même si cela ne les empêche pas d’être un peuple joyeux et de « chanter, danser, faire des câlins » tout au long de l’année. Et vous ? Que préférez-vous : vous éclater avec les Burgans ou avec les Trolls ? Le choix vous appartient ! Le mercredi 19 octobre 2016 sera festif et placé sous le signe de la bonne humeur puisque cupcakes, arc-en-ciel, paillettes et musique ont été spécialement préparés à votre intention !
The Sacrament – Festival de Gérardmer 2014
En quelques films, Ti West est devenu un réalisateur incontournable dans le genre horreur – indépendant. Ce dernier s’est imposé avec des films comme House of The Devil ou plus récemment The Inkeepers, des œuvres qui démontrent un talent formel aussi bien que la volonté de tourner le dos aux productions actuelles formatées et anonymes tout en assumant un héritage 80’s pleinement assumé . Avec The Sacrament, Ti West signe son retour au long métrage après s’être un peu perdu dans des films à sketchs gentils.
Critique : La Féline (Paul Schrader)
La Féline, version Schrader, est bel et bien le fruit de son temps. Tandis que la prémisse passablement grotesque des humains plus qu'attirés par le règne animal pouvait encore faire illusion dans le cadre du film noir des années 1940 et donc paraître sensiblement plus suggestive chez Jacques Tourneur, ici, elle fournit le prétexte souvent bancal pour un mélange malgré tout pas complètement dépourvu d'intérêt d'érotisme et d'ésotérisme.
Critique : A la vie
Il est certain que, le plus souvent, on se montre particulièrement sévère lorsqu'on est déçu par un film dont le synopsis vous avait particulièrement attiré. C'est ce qui se passe avec A la vie, un film présenté au Festival de Locarno et qui ne s'avère que très honorable alors qu'on anticipait un véritable choc.
Critique Express : Le tourbillon de la vie
C'est le premier long métrage d'Olivier Treiner en tant que réalisateur et il se montre aussi inventif dans son scénario que brillant dans sa réalisation.