Critique : Deux soeurs pour un roi
Deux sœurs pour un roi est un long-métrage de Justin Chadwick (The Property, The First Grader) sorti en 2008. Il s'agit d'une adaptation du roman de Philippa Gregory, The Other Boleyn Girl, qui retrace la rivalité entre les sœurs Boleyn pour conquérir le roi Henri VIII au XVIème siècle.
Critique : Une vie
Avec "Une vie", Stéphane Brizé réussit haut la main son examen de passage parmi les grands réalisateurs d'adaptations cinématographiques de classiques de la littérature.
Alice au Pays des Merveilles
Alice au Pays des Merveilles est le 17ème long métrage d'animation des studios Disney sorti en 1951. Adapté du roman de Lewis Carroll, Alice est l'un des films les plus critiqués des studios Disney, ayant connu un échec lors de sa sortie et engendré une perte sèche estimée à 1 million de dollars. Walt Disney lui-même a avoué ne pas aimer le dessin animé.
Berlinale 2019 : Synonymes
Il est désormais l'heure pour nous de faire nos adieux à cette 69ème édition du Festival de Berlin, puisque nous reprendrons le chemin du retour à Paris dès demain. Pour être sincère, notre chère ville d'adoption commençait à nous manquer, puisque nous la préférons toujours largement à la métropole allemande, aussi grande que froide.
L’empire des rastelli
Inspiré du scandale de l'affaire Parmalat, L'empire des Rastelli se voit comme un thriller financier très proche de la réalité, mettant en scène une galerie de personnages de la vie de tous les jours.
Critique : Disparue en hiver
En digne successeur de Bourvil, Kad Merad est surtout abonné aux rôles de souffre-douleur comique, qui subit stoïquement les frasques de Dany Boon, inspirées de près ou de loin par celles de Louis De Funès. Ce fond de commerce populaire semble lui être si convenable, qu’il ne sort que très rarement de sa zone de confort. Or, sans pouvoir prétendre au statut d’acteur dramatique de premier plan, Kad Merad avec sa trogne de chien battu véhicule une tristesse profonde, qui sied parfaitement aux personnages tourmentés de l’intérieur et de l’extérieur. Comme celui qu’il interprète avec une sobriété remarquable dans ce thriller très solide.
Critique : Les 2 Alfred
De quoi l'avenir sera-t-il fait ? Nul ne le sait, bien évidemment. Cependant, l'impression peu agréable ne nous quitte plus en ces temps de crise sanitaire qu'on perd de vue les enjeux à long terme, que la parenthèse du coronavirus suspend toutes les autres évolutions, en bien ou en mal, de notre société.
Critique : The Substance
Que les intentions de sa réalisatrice, bourrines à souhait, soient de dénoncer, de dynamiter les représentations du corps féminin ne font aucun doute. Seulement, ce postulat n’aurait pas suffi en lui-même à déployer un film iconique; en particulier quand on est comme moi allergique aux donneurs de leçons.
Critique : Les hirondelles de Kaboul
On ne peut que souscrire à la dénonciation de l'obscurantisme des talibans afghans. On ne peut qu'applaudir au casting de "Les hirondelles de Kaboul". Il est toutefois aussi permis de trouver que la joliesse des images enlève de la vigueur à la dénonciation et que l'utilisation du français dans le contexte du film a du mal à être acceptée dans le cinéma de ce siècle.
Critique Express : Prima la vita
Les films centrés sur la relation entre une fille et son père ne sont pas si fréquents. Celui ci est réussi !
Critique : Suicide Squad
Suicide Squad, c'est le troisième film de l'univers partagé de DC Comics - le DCEU - après Man of Steel en 2013 et Batman V Superman en début d'année. Warner Bros. essaie donc de concurrencer Marvel Studios, qui a conquis des dizaines de millions de spectateurs avec ses héros bariolés. Et alors qu'une ribambelle de films sont déjà planifiés, qu'en est-il de cet "escadron suicide" qui a déboulé sur grand-écran ce mercredi ? Un film raté comme vous pouvez le deviner à la vue de ma note. Explications.
Palo Alto
Dans la famille Coppola, je voudrais... Gia ! Premier film à 27 ans pour la nièce de la talentueuse Sofia, Palo Alto est une oeuvre énigmatique et inquiétante, qui s'appuie sur un traitement esthétique aléatoire et incertain. Accompagnée du duo Franco-Roberts, deux têtes d'affiches aussi douées qu’aguicheuses, quel est le résultat pour la franchise Coppola ?


















