Critique : L’Amant d’un jour
L'Amant d'un jour
France - 2017
Titre original : L'Amant d'un jour
Réalisateur : Philippe Garrel
Scénario : Jean-Claude Carrière
Acteurs : Eric Caravaca, Esther Garrel, Louise Chevillotte
Distribution :...
360
Relecture moderne et dynamique de la pièce La Ronde, d'Arthur Schnitzer. Une histoire d'amour chorale où les destins de personnages d'horizon différent s'entrecroisent.
Dancer in the dark
Selma Jezkova, émigrée tchèque et mère célibataire, travaille dans une usine de l'Amérique profonde des années 60. Elle trouve son salut dans sa passion pour la musique, spécialement les chansons et les danses des grandes comédies musicales hollywoodiennes. Selma garde un lourd secret : elle perd la vue et son fils Gene connaîtra le même sort sauf si elle réussit à mettre assez d'argent de côté pour lui payer une opération. Quand un voisin aux abois accuse a tort Selma d'avoir volé ses économies, le drame de sa vie s'intensifie pour se terminer en final tragique.
Critique : Un cœur en hiver
Il est quand même fort regrettable que le cinéma français du XXIème siècle ait largement abandonné le genre de films dont Claude Sautet détenait le secret ! Vous savez, ces œuvres hautement sophistiquées et aux thèmes adultes qui ont hélas disparu des salles obscures en même temps que leur créateur, au tournant du siècle.
Le cuirassé Potemkine
En janvier 1905, éclate la première révolution russe, suivie le 14 juin de la révolte des marins du "Potemkine". Ce qui au départ s'annonçait comme une petite protestation d'un équipage lassé et furieux de n'avoir à manger que de la viande pourrie a dégénéré en une véritable insurrection dans le port d'Odessa.
Critique : Love, et autres drogues
Love, et autres drogues est une comédie américaine réalisée par Edwad Zwick. Le réalisateur plutôt habitué aux films d'action (Le dernier Samouraï, Blood Diamond, Les Insurgés) n'en est pas à son premier essai dans la comédie. En effet, il a déjà mis en scène des films plus romancés tels que Légende d'automne en 1995.
Critique : Comment tuer son Boss
Tuer n'est pas facile, même lorsque l'on est fan de New-York Police Judiciaire comme vont le prouver le trio maladroit de cette comédie. Ces trois héros improbables sont interprétés par des acteurs relativement inconnus en dehors des Etats-Unis alors que leurs patrons sont des vedettes internationales habituées aux premiers rôles.
Critique : Tristana
Personne n'a autant su dévoiler le côté sombre de l'image publique de la déesse du cinéma français Catherine Deneuve que Luis Buñuel. Et même si le démontage du cliché de la beauté aussi innocente que glaciale n'atteint pas dans Tristana les sommets de la perversion que Belle de jour avait si brillamment côtoyés trois ans plus tôt, il demeure malgré tout un conte moral hautement subversif.
Dinard 2019 : Peterloo
On ne savait pas le cinéma de Mike Leigh si politique. En tout cas pas à une échelle aussi épique et universelle. La politique des mœurs et d'une société prises en étau entre la vérité et le mensonge, oui, bien sûr, cela nous est bien familier, grâce à la plupart de ses films magistraux, des orfèvreries cinématographiques tout en petites touches assassines.
Wassup Rockers
Wassup Rockers est le 6ème film du petit génie du cinéma indépendant américain Larry Clark. Comme à son habitude, il met en scène des adolescents, avec pour ce film une réalisation proche d'un documentaire. Une plongée réaliste dans le monde de ces jeunes latinos qui vivent dans les ghettos de Los Angeles, sur fond de rock et de skate.
Critique : Avengers Infinity War
Ils sont venus, ils sont tous là ! Le troisième film officiel de l'équipe suprême de super-héros – parce qu'il y a eu des drôles de cas de tromperie sur la marchandise dans le passé, n'est-ce pas Captain America … – respecte une fois de plus la règle de la surenchère des personnages, réunis de gré ou de force pour combattre le mal absolu.
Critique : Boulevard
A cause du jeu sans nuance de Robin Williams et malgré les présences efficaces de Kathy Baker, de Roberto Aguire, de Bob Odenkirk et d'Eleonore Hendricks, "Boulevard" laisse le goût un peu amer d'un très bon sujet qui finit, malheureusement, par laisser le spectateur sur sa faim.


















