Critique : Le Mépris
Dans l'absolu, un film parfait existe-t-il ? Pour en avoir vu sans doute des milliers au cours d'une passion cinéphile plus ou moins marquée au fil des ans, nous devons admettre qu'il n'y en a pas énormément, sous réserve des aléas toujours très subjectifs du goût personnel et de la réceptivité pour certains styles ou thématiques à tel ou tel moment de notre vie.
Chronique d’un scandale
C'est Richard Eyre qui imagina que cette amitié devait être portée par ces deux actrices dont l'alchimie se trouve payante. Les critiques ont été extrêmement positives et Chronique d'un scandale a été nommé dans plusieurs catégories aux Oscars de 2007 comme meilleure actrice pour Judi Dench, meilleure actrice dans un second rôle pour Cate Blanchett, meilleur scénario adapté et meilleure musique, ce qui montre la qualité du film ! À découvrir !
Critique : Sublime
Mariano Biasin vient grossir l'impressionnant cohorte de réalisateurs et de réalisatrices argentin.e.s dont on attend le prochain film avec une certaine impatience.
Berlinale 2016 : Genius
Au secours, ce film nous a complètement bloqués dans notre élan d’écriture ! Est-ce que nos textes sont trop longs ou trop courts ? Faisons-nous trop attention aux tournures de phrase fleuries ou bien rabâchons-nous sans verve des évidences sans aucun intérêt pour le lecteur ?
Trishna
Le Britannique Michael Winterbottom est un metteur en scène de type prolifique : de 1990 à 2011, soit donc en 21 ans, ce jeune quinquagénaire aura réalisé…. 22 longs métrages pour le cinéma, à thématiques variées (sans compter d’assez nombreuses contributions pour la télévision). Il est aussi le monteur de 3 de ses films, producteur (plutôt pour d’autres), et il a « scénarisé » à 2 reprises (« 9 Songs » en 2004, et « Trishna », dernier film en date – 2011). Entre « romance » et « drame », « Trishna » est situé dans l’Inde contemporaine, mais est revendiqué par Winterbottom comme transposition d’un classique de la littérature anglaise, « Tess of The D’Urbervilles », publié en 1891, d’abord sous forme de feuilleton.
Sarlat 2024 : Je suis toujours là
Comme tous les pays latinoaméricains ou presque, le Brésil a dû passer par une dictature militaire à un moment assez récent de sa longue histoire mouvementée. Ce fut pendant plus de vingt ans, entre 1964 et 1985. Une période qui a certainement laissé des traces, mais qui aura également permis aux Brésiliens contemporains d'être particulièrement attachés aux bienfaits de leur jeune démocratie.
Critique : El Club
Charge anti-cléricale, film cynique, "El Club" est un sacré pavé dans la mare de l'Eglise catholique, d'autant plus qu'il vient d'une région du monde dans laquelle cette Eglise représente une force très importante, parfois pour le pire, parfois pour le meilleur.
Critique : Sonate pour Roos
Un film qui parle avec beaucoup de dignité d'un sujet difficile.
Jack et Julie
Jack, un père de famille bien tranquille, voit sa vie bouleversée lorsque sa soeur jumelle débarque chez lui pour Thanksgiving avec l'intention de passer quelques temps chez son frère...
Revu sur MUBI : Bob le flambeur
Jean-Pierre Melville était en avance sur son temps. De quelques années par rapport à la Nouvelle Vague dont il était une sorte de parrain et à laquelle il avait déjà appris tant de choses à travers Bob le flambeur.
Critique : Mezzanotte
Les films qui ont fondé le désir de cinéma de Sebastiano Riso sont, d'après lui, "Les 400 Coups" de François Truffaut et "Allemagne Année zéro" de Roberto Rossellini : le gouffre entre ces modèles et Mezzanotte, sa première réalisation, est profond, très profond.
Critique : Thor Ragnarok
Après deux premiers opus relativement décevants, respectivement mis en scène par Kenneth Branagh et Alan Taylor, Thor Ragnarok est réalisé par Taika Waititi. Ce jeune néozélandais est déjà réputé pour avoir un univers coloré et décalé...


















