Sur La Route
Au lendemain de la mort de son père, Sal Paradise, apprenti écrivain new-yorkais, rencontre Dean Moriarty, jeune ex-taulard au charme ravageur, marié à la très libre et très séduisante Marylou. Entre Sal et Dean, l’entente est immédiate et fusionnelle. Décidés à ne pas se laisser enfermer dans une vie trop étriquée, les deux amis rompent leurs attaches et prennent la route avec Marylou. Assoiffés de liberté, les trois jeunes gens partent à la rencontre du monde, des autres et d’eux-mêmes
Critique : Tótem
C’est à l’occasion de sa nomination aux oscars du meilleur film étranger que l’on a réussi à agripper Totem en salles alors que le film était malheureusement passé un peu sous les radars.
Critique : Arthur Rambo
En réalisant "Arthur Rambo", Laurent Cantet avait pour objectif de percer le mystère de Mehdi Meklat, le mystère d'un jeune homme au double visage, une face brillante, une face odieuse. Dire qu'il y parvient totalement serait mentir.
Les Voies du destin
Dans Le Pont de la Rivière Kwaï, David Lean évoquait le sort de prisonniers de guerre anglais internés dans un camp de prisonniers en Birmanie et affectés a la construction d'un pont en pleine jungle. S'il s'agissait d'une fiction adaptée d'un roman de Pierre Boulle, des milliers de soldats britanniques et écossais ont bien été victimes des exactions de l'armée japonaises, responsable de nombreux morts et causant des traumatismes indélébiles.
Critique : L’envol
Film féministe, film féminin sur l'émancipation d'une jeune femme, L'envol présente deux volets très différents l'un de l'autre.
Arras 2018 : L’Interprète (Martin Sulik)
Combien de façons différentes existe-t-il pour tenir compte des atrocités commises pendant la Deuxième Guerre mondiale par les Allemands ? Autant ce sujet relève d'une importance historique et morale majeure, ne serait-ce que pour mettre en garde les générations futures et leur éviter ainsi de commettre les mêmes erreurs, autant le cinéma et la fiction au sens large l'ont traité sous toutes les facettes imaginables.
Critique : No nos moverán
Film de vengeance, "No nos moverán" a ceci de particulier qu'il ne fait pas partie d'un genre particulier, se permettant au contraire de relever de plusieurs genres, les principaux étant le drame, le thriller et, surtout, la comédie noire.
Critique : Un Français
« La France aux Français. » On n’entend plus tellement cette provocation haineuse dans le paysage politique actuel. C’est parce qu’elle a été remplacée par une forme encore plus préoccupante de l’adoption de l’idéologie de l’extrême droite. Grâce au travail inlassable de la part de Marine Le Pen afin de transformer son parti en une formation en apparence respectable, le Front National occupe désormais le devant de la scène politique. C’est lui qui impose ses thématiques dans le débat politique.
Critique : Revenir
Après "Petit paysan" et "Au nom de la terre", voici un 3ème film de fiction français qui nous parle des problèmes du monde paysan. Même s'il s'agit là d'un sujet parmi d'autres, c'est, des trois, celui qui en parle le mieux.
Berlinale 2017 : L’Autre côté de l’espoir
Par les temps mouvementés qui courent, où la problématique des réfugiés provoque souvent de l’indignation bien intentionnée, mais rarement des actions concrètes pour en venir à bout, est-il convenable d’avoir un grand sourire aux lèvres en regardant un film qui traite frontalement le sujet ?
Critique : Les Femmes du Bus 678
Fayza (rôle tenu par Bushra Rozza, chanteuse très populaire et vraie star dans son pays) est une trentenaire voilée mère de deux jeunes enfants qui doit prendre le bus pour aller travailler (emploi de clerc aux écritures, salaire minuscule, souvent amputé qui plus est arbitrairement par un petit chef au titre d’un rendement prétendument insuffisant). Seba, « en cheveux », à peu près le même âge, vit séparée de son mari médecin depuis un drame personnel - elle est issue de la haute bourgeoisie et tient une boutique d’artisanat d’art par agrément plus que pour en tirer un vrai revenu. Quant à Nelly, sans voile non plus, elle n’a que 22 ans et habite chez ses parents plutôt aisés ; en attendant d’épouser Omar, elle travaille dans un « call-center » où ses « prospects » pratiquent volontiers une lourde drague à distance, et partage avec son fiancé la passion du stand-up. Ces trois-là n’avaient a priori aucune raison de se rencontrer et de se lier – sauf qu’elles ont toutes été agressées sexuellement, et que leurs destins vont se conjuguer autour de cette épreuve commune. C’est la victime « ordinaire », à chaque fois qu’elle ne peut éviter de prendre le bus (le taxi qui la met hors d’atteinte est rarement dans ses moyens), Fayza, qui va à sa façon (et violemment) faire la première bouger les choses.
El Estudiante ou Récit d’une jeunesse révoltée
Roque, jeune provincial, commence des études à l’Université de Buenos Aires. Peu motivé, il passe son temps à séduire les filles et errer dans la fac. C’est en tombant amoureux de Paula, une jeune enseignante engagée, qu’il va rencontrer le militantisme et devenir proche du syndicat étudiant. Avec Alberto, ancien politique, il va apprendre les codes et devenir un leader pour enfin trouver sa voie…


















