Critique : Un havre de paix
En racontant des événements d'un passé déjà lointain, Yona Rozenkier montre comment cette situation de guerre quasi permanente que connait Israël depuis sa création induit un effet délétère chez ses habitants et tout particulièrement chez les hommes chez qui, souvent, s'exacerbe le culte de la virilité.
Vu sur OCS : Churchill
Le plus illustre des hommes politiques britanniques, Winston Churchill a été doublement honoré sur grand écran en 2017. Dans les salles à peine quelques mois avant Les Heures sombres de Joe Wright, Churchill s'intéresse à la fin du règne de ce chef d'état hors pair.
Critique Express : La Passagère
Le problème, c'est que ce qui est quand même le cœur de La Passagère ne dispense aucune surprise notable et préfère se cantonner durant de très longues, trop longues minutes, dans la photographie d'étreintes à caractère sexuel.
Le Chaperon Rouge
Le Chaperon Rouge est un long-métrage de Catherine Hardwicke, également à l'origine de Twilight, sorti en avril 2011 au cinéma. La réalisatrice nous propose ici une adaptation du conte de Perrault Le Petit Chaperon Rouge (sans blague) en y apportant sa propre patte, un style que l'on reconnaît immédiatement.
Critique : Le père de Nafi
On salue l'apparition d'un nouveau réalisateur sénégalais dont le premier long métrage, "Le père de Nafi", est tout à la fois esthétiquement très beau, bien interprété et, surtout, fort intéressant dans le contexte actuel.
Critique : Bajirao Mastani
Bajirao Mastani
Inde : 2015
Titre original : -
Réalisation : Sanjay Leela Bhansali
Scénario : Prakash R. Kapadia, inspiré de Raau, de Nagnath S. Inamdar
Interprètes : Ranveer...
Critique : Le Mépris
Dans l'absolu, un film parfait existe-t-il ? Pour en avoir vu sans doute des milliers au cours d'une passion cinéphile plus ou moins marquée au fil des ans, nous devons admettre qu'il n'y en a pas énormément, sous réserve des aléas toujours très subjectifs du goût personnel et de la réceptivité pour certains styles ou thématiques à tel ou tel moment de notre vie.
Critique : Louxor
Est-ce bien grave qu'à l'évocation du nom Louxor, on pense d'abord au cinéma municipal à Paris et seulement ensuite à la cité égyptienne avec ses trésors archéologiques à la valeur inestimable ? Un sevrage aussi sévère qu'involontaire de séances de cinéma ces derniers mois est passé par là.
Critique express : Mi iubita mon amour
Sur l'idée de départ de parler d'une histoire d'amitié et de l'histoire d'amour entre Noémie et Gimi, le "scénario" du film a été pratiquement improvisé au jour le jour. A la vision de "Mi iubita mon amour", les qualités et les faiblesses inhérentes à ce type d'élaboration sont flagrantes, points forts et points faibles se succédant tout au long du film.
Critique : Et il y eut un matin
Un des films les plus marquants de ce début d'année.
Detachment
Tony Kaye, le papa d'American History X nous assène un nouveau coup de poing en pleine tête avec son Detachment. Pourtant beaucoup moins violent que le premier, Tony Kaye réinvente le film d'éducation à mille lieux d'Esprit Rebelle.
Critique express : Une jeune fille qui va bien
On l'aime bien Sandrine Kiberlain, cette comédienne au jeu toujours juste, mais pas au point d'hésiter à affirmer que son premier long métrage en tant que réalisatrice, quand bien même il a été présenté à Cannes 2021 dans le cadre de la Semaine de la Critique, n'est pas à la hauteur des espérances qu'a priori, on pouvait avoir. Non que le film soit mauvais, ni même médiocre, on peut même dire qu'il se voit avec un certain plaisir, MAIS ... il est simplement à côté de la plaque !