Critique : Ulysse & Mona
Sébastien Betbeder a vraiment un monde cinématographique qui lui est propre, fait d'humour très fin et de mélancolie ironique.
Intégrale Claude Berri #18 : L’un reste, l’autre part (2005)
L’un reste, l’autre part est le dernier film s’inscrivant dans la veine « autobiographique » de l’œuvre de Claude Berri : pour écrire cette comédie sentimentale, le cinéaste s’inspirera en effet à nouveau de sa propre vie, se servant de l’Art comme d’une catharsis pour exorciser ses propres démons. Ainsi, au cœur même du film, le vaudeville côtoiera volontiers le tragique, pour un résultat au final assez étrange et, il faut bien l’admettre, un peu déstabilisant.
Berlinale 2023 : Addicted to Romance
A force de subir autant que de découvrir les films d'ouverture du Festival de Berlin, nous sommes devenus presque méfiants lors de nos premières séances de douce folie festivalière dans la capitale allemande au mois de février. Car on ne considère guère être condescendant en affirmant que les chefs-d'œuvre cinématographiques s'y font plutôt rares.
Critique : Nous les coyotes
Pour beaucoup, les Etats-Unis font rêver, Los Angeles fait rêver, Hollywood fait rêver. Et si, après tout, ce n'était que des miroirs aux alouettes. C'est en tout cas ce que montrent Hanna Ladoul et Marco La Via, de façon parfois comique, parfois beaucoup plus sérieuse.
Arras 2024 : L’Attachement
En termes de drames familiaux, le fil est ténu entre notre appréciation à leur égard ou au contraire leur rejet catégorique. Difficile de trouver le ton juste, celui qui nous fait adhérer à ces tranches de vie, tout en aménageant des espaces de singularité qui vibrent à leur propre rythme.
Critique Express : A bicyclette !
"A bicyclette !" est un road-movie, mais c'est aussi un documentaire même si il met en scène 2 comédiens professionnels qui, tout en étant dans l'improvisation, jouent chacun un rôle digne d'une comédie dramatique
Critique : Sur la branche
Du décalage manifeste entre la rigidité de la loi et les lubies loufoques des troubles psychiques naissent quelques situations joliment cocasses dans Sur la branche. Que les choses soient bien claires, dans son deuxième long-métrage, cinq ans après La Fête est finie, la réalisatrice Marie Garel-Weiss ne cherche nullement à se moquer des tics et des tocs de son personnage principal.
Critique Express : Sick of myself
"Sick of myself", dont on peut penser qu'il lorgne sur le cinéma de Ruben Östlund, est un film qui, malgré une fin moralisante sur l'importance de la vie, arrive à mettre mal à l'aise les spectateurs
Critique : Sergio & Sergei
"Sergio et Sergei" montre comment l'amitié est capable de faire fi des frontières, qu'elles soient géographiques, linguistiques ou culturelles.
Critique : Toute ressemblance
Il y aurait tant de choses à dire sur la télévision française, à la fois sur son état actuel, comme sur ses égarements du passé et ses projets d'avenir dans un monde médiatique en pleine évolution. En tant que vieil « animal » du paysage audiovisuel, Michel Denisot, ancien poids lourd de chez Canal +, était sans doute bien placé pour nous dévoiler les coulisses de cet univers particulier.
Critique : Les Estivants (Deuxième avis)
Dans "Les estivants", tous les défauts de la réalisatrice sont présents à 200 % : lourdeur, prétention, narcissisme.
Critique Express : Simple comme Sylvain
Quelle peut être l'existence d'un couple réunissant deux personnes de milieux sociaux très différents et/ou de milieux culturels très différents, quelle peut être la durée de vie d'un tel couple ?