Critique : Le rire de ma mère
Ce film, dans lequel rode pourtant la mort, est un véritable hymne à la vie, plein de chaleur et de justesse.
Critique : L’Empire
Depuis Petit Quinquin, une dimension comique dans les situations se dégage du cinéma de Bruno Dumont. Cette dérision trouve un formidable terrain de jeu dans L'Empire, relecture baroque de Star Wars dans le Nord-Pas-de-Calais.
Critique : Sur la branche
Du décalage manifeste entre la rigidité de la loi et les lubies loufoques des troubles psychiques naissent quelques situations joliment cocasses dans Sur la branche. Que les choses soient bien claires, dans son deuxième long-métrage, cinq ans après La Fête est finie, la réalisatrice Marie Garel-Weiss ne cherche nullement à se moquer des tics et des tocs de son personnage principal.
Vu sur OCS : Bob et Carol et Ted et Alice
Peu de films peuvent prétendre refléter la révolution des mœurs dans le monde occidental à la fin des années 1960 avec la même légitimité que Bob et Carol et Ted et Alice. On ne parle pas ici du mouvement des jeunes, hippies et pacifistes aux cheveux longs.
Cannes 2019 : Alice et le maire (Quinzaine)
Quatre ans après Le Grand Jeu, Nicolas Pariser renoue avec le monde politique en signant Alice et le maire, une réflexion sur la pratique du pouvoir.
Critique : Une robe pour Mrs. Harris
Ils forment l'armée cachée qui fait tourner notre pays : ces hommes et ces femmes de l'ombre, constamment à l'œuvre pour que notre drôle de civilisation ne sombre pas dans la saleté et le désordre. Cette « France qui se lève tôt », selon l'expression pleine de dédain social de la part d'un ancien président de la République, on préfère ne pas la voir et encore moins la côtoyer de près.
Vu sur OCS : La Gifle
« Arrêtez de vous embrasser » qu'ils disent dans les annonces de mise en garde publique contre la propagation du coronavirus. Au train où vont les choses, on est en droit de se demander, si cette stratégie de la distanciation sociale maximale finira par nous rendre tout contact physique au moins un peu suspect …
La Roche-sur-Yon 2025 : Blue Moon
Quelle ironie que le film que nous attendions le plus pendant notre séjour au 16ème Festival de La Roche-sur-Yon a finalement été notre plus grosse déception ! Nous nous étions précipités sur les réservations en ligne, afin d’être sûrs d’avoir une place pour la seule séance compatible avec notre emploi du temps.
Intégrale Claude Berri #18 : L’un reste, l’autre part (2005)
L’un reste, l’autre part est le dernier film s’inscrivant dans la veine « autobiographique » de l’œuvre de Claude Berri : pour écrire cette comédie sentimentale, le cinéaste s’inspirera en effet à nouveau de sa propre vie, se servant de l’Art comme d’une catharsis pour exorciser ses propres démons. Ainsi, au cœur même du film, le vaudeville côtoiera volontiers le tragique, pour un résultat au final assez étrange et, il faut bien l’admettre, un peu déstabilisant.
Critique Express : Mon gâteau préféré (Deuxième avis)
Commencé par un gag, "Mon gâteau préféré" se termine par un événement tragique.
Critique : Fremont (Deuxième avis)
Frémont, c’est l’histoire de Donya, d’origine afghane, ancienne traductrice immigrée aux États-Unis et travaillant dans une usine de gâteaux porte-bonheur. Pour raconter son errance, Babak Jalali choisit un ton humoristique “sec”, rafraîchissant et sans complaisance.
Critique Express : Falcon Lake
un film sur un beau sujet qui, in fine, se révèle profondément ennuyeux.


















