Critique : Ulysse & Mona
Sébastien Betbeder a vraiment un monde cinématographique qui lui est propre, fait d'humour très fin et de mélancolie ironique.
Critique Express : Lads
Un film très documenté sur le milieu des courses de chevaux mais qui souffre de la présence d'un certain nombre de scories.
Critique : Fremont (Deuxième avis)
Frémont, c’est l’histoire de Donya, d’origine afghane, ancienne traductrice immigrée aux États-Unis et travaillant dans une usine de gâteaux porte-bonheur. Pour raconter son errance, Babak Jalali choisit un ton humoristique “sec”, rafraîchissant et sans complaisance.
Vu sur OCS : Beginners
C'est sous forme de puzzle que le réalisateur Mike Mills nous convie à une histoire tirée en grande partie de sa propre vie. Or, contrairement au mode opératoire des puzzles, où la difficulté de placer les pièces diminue au fur et à mesure que leur nombre en vrac s'amoindrit et qui permet à l'assembleur patient d'être récompensé pour ses efforts par une merveilleuse vue d'ensemble, Beginners suit sa propre logique, de plus en plus frustrante.
Critique : Intégrale Jean-François Stévenin
Un mot suffit à qualifier le cinéma de Jean-François Stévenin : liberté. Pour certain.e.s, cela peut s'avérer déroutant. Pour les autres, il sera surtout question de fraîcheur.
Berlinale 2023 : Addicted to Romance
A force de subir autant que de découvrir les films d'ouverture du Festival de Berlin, nous sommes devenus presque méfiants lors de nos premières séances de douce folie festivalière dans la capitale allemande au mois de février. Car on ne considère guère être condescendant en affirmant que les chefs-d'œuvre cinématographiques s'y font plutôt rares.
Intégrale Claude Berri #19 : Ensemble, c’est tout (2007)
Gros succès de librairie durant l'année 2004, devenu symbole de l'expression « vivre ensemble » (un néologisme politique très en vogue depuis quelques années), Ensemble, c'est tout était donc à l'origine un roman écrit par Anna Gavalda. Trois ans plus tard, Claude Berri choisit donc d'adapter l'ode à la cohabitation et à la tolérance de la femme de lettres française.
Critique Express : Sick of myself
"Sick of myself", dont on peut penser qu'il lorgne sur le cinéma de Ruben Östlund, est un film qui, malgré une fin moralisante sur l'importance de la vie, arrive à mettre mal à l'aise les spectateurs
Cannes 2019 : Alice et le maire (Quinzaine)
Quatre ans après Le Grand Jeu, Nicolas Pariser renoue avec le monde politique en signant Alice et le maire, une réflexion sur la pratique du pouvoir.
Critique : La vie de ma mère
Emotion, rires, rares sont les films qui, dans ces deux domaines, en donnent autant aux spectateurs !
Critique : Envole-moi (Christophe Barratier)
Les bons sentiments coulent à flots dans cette comédie qu'on pourrait croire directement, quoique tardivement, inspirée du phénomène Intouchables. Or, tout comme le succès mondial, réalisé en 2011 par Eric Tolédano et Olivier Nakache, avait vu des adaptations locales apparaître dans divers pays, Envole-moi est en fait le remake français d'un film allemand.
Critique : L’Empire
Depuis Petit Quinquin, une dimension comique dans les situations se dégage du cinéma de Bruno Dumont. Cette dérision trouve un formidable terrain de jeu dans L'Empire, relecture baroque de Star Wars dans le Nord-Pas-de-Calais.

















