Intégrale Claude Berri #04 : Le cinéma de Papa (1971)
Pour son quatrième film en tant que réalisateur, Claude Berri persévère sur la voie de l’autobiographie filmée avec Le cinéma de Papa, qui nous propose un retour sur quelques épisodes de sa vie, disséminés entre 1946 et 1962. Mais comme le titre du film l’indique, l’aspirant cinéaste et ses déconvenues sentimentales et professionnelles ne seront pas cette fois réellement au centre du film et de son patchwork de séquences à la narration volontiers décousue : le dénominateur commun y est en effet avant tout la figure paternelle.
Berlinale 2020 : Mon année à New York
New York – Berlin : pour la deuxième année de suite, le film d'ouverture du Festival de Berlin met en avant la fascination du public allemand en particulier et de celui d'Europe en général pour la métropole culturelle de la côte Est américaine.
Vu sur OCS : Le Baron de l’écluse
On ne peut que regretter amèrement que le cinéma français contemporain ne dispose plus d'un grand acteur populaire de la carrure de Jean Gabin ! Alors que sa filmographie d'après-guerre ne comporte quasiment plus de chefs-d'œuvre de l'avant-garde du cinéma français, elle est riche en rôles taillés sur mesure pour ce comédien hors normes.
Critique Express : Mascarade
Nicolas Bedos prouve de nouveau qu'il est un très bon directeur d'acteurs et, mieux encore, un excellent directeur d'actrices
Vu sur OCS : Campus
A quel moment, précisément, ça a dérapé pour la comédie universitaire ? A partir de quand, le reflet cinématographique de la vie à la fac a abandonné quelque militantisme que ce soit pour devenir exclusivement un prétexte aux beuveries et à d'autres manifestations d'un hédonisme encore beaucoup moins studieux ?
Sarlat 2025 : Animal totem
Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.
Dinard 2019 : Denmark
Changement de régime, enfin, dans notre programme personnel du Festival de Dinard, grâce à cette comédie douce-amère sur un perdant par excellence, qui, contre toute attente, finit par retrouver goût à la vie.
Critique : Septembre sans attendre
Septembre sans attendre
ESP ; FR 2024Réalisateur: Jonas TruebaScénariste: Jonas Trueba ; Itsaso Arana ; Vito SanzCasting: Itsaso Arana ; Vito SanzDistributeur: Arizona DistributionGenre :...
Critique Express : Le tourbillon de la vie
C'est le premier long métrage d'Olivier Treiner en tant que réalisateur et il se montre aussi inventif dans son scénario que brillant dans sa réalisation.
Critique : En fanfare (Deuxième avis)
Non, il n'y a pas eu d'applaudissements spontanés à l'issue de notre séance matinale d'En fanfare ! Néanmoins, pour un film qui est désormais à l'affiche depuis cinq semaines, la salle du multiplexe était tout de même remplie d'une vingtaine de spectateurs, dont certains étaient visiblement émus aux larmes par la fin de ce succès populaire indéniable.
Critique : Intégrale Jean-François Stévenin
Un mot suffit à qualifier le cinéma de Jean-François Stévenin : liberté. Pour certain.e.s, cela peut s'avérer déroutant. Pour les autres, il sera surtout question de fraîcheur.
Critique : Le Dernier des juifs
Avec un titre pareil, le premier long-métrage de Noé Debré s'est d'emblée mis dans une position provocatrice. Car peu importe le contexte de l'actualité géopolitique, le fait d'aborder la communauté juive en France et ailleurs s'accompagne toujours de son lot de polémiques rarement constructives.



















