Critique : Everest
Un aller-retour sur le toit du monde au prix d’une place de cinéma, ça vous dit ? L’effet d’immersion est indéniable dans le nouveau film américain du réalisateur islandais Baltasar Kormakur. Pendant plus d’une heure, le spectateur est invité à accompagner un groupe d’alpinistes téméraires sur leur chemin d’entraînement vers les plus hauts sommets, avant que la catastrophe ne frappe.
Hansel & Gretel : Witch Hunters
Liés par le sang, Hansel et Gretel ont aujourd’hui soif de vengeance, et ils s’en donnent à cœur joie. Pourtant, sans le savoir, ils sont désormais victimes d’une menace bien plus grande que leurs ennemis : leur passé.
Rendez-vous avec la mort
Que dire sur cette énième adaptation d'Agatha Christie si ce n'est qu'une fois de plus l'écran (cinéma ou télé) peine non seulement à reproduire la petite atmosphère des romans mais à donner une quelconque atmosphère.
Critique : Kick-Ass 2
L'audace insensée de Kick-Ass a inspiré une pléthore de vengeurs masqués autodidactes, le Colonel Stars & Stripes en tête, auxquels notre héros va s'allier pour patrouiller les rues de la ville et assurer la sécurité générale. Mais quand Red Mist, réincarné en Mother F%&*^r, décide de s'attaquer à ces super-héros amateurs, seuls les sabres acérés de Hit Girl sauront les sauver de la destruction.
Assaut sur le central 13
Jean-François Richet a choisi de tenter sa chance aux USA avec un remake de l'Assaut, de John Carpenter, qui le soutient dans cette démarche et avait notamment apprécié Ma 6-T va crack-er, sorti en 1997.
Raging bull
Dans l'histoire du cinéma, il y a ce qu'on appelle des films cultes. Des chefs d'œuvres intouchables qui même si vous ne les avez pas appréciés, ne peuvent se regarder sans se dire « Si personne n'est parfait, ce film est personne »... Raging Bull est un de ces monstres sacrés, réunissant au sommet un Robert de Niro irréprochable et un Martin Scorsese tourmenté qui offre surement là son plus beau film.
Iron Man 3
Tony Stark, l’industriel flamboyant qui est aussi Iron Man, est confronté cette fois à un ennemi qui va attaquer sur tous les fronts. Lorsque son univers personnel est détruit, Stark se lance dans une quête acharnée pour retrouver les coupables. Plus que jamais, son courage va être mis à l’épreuve, à chaque instant. Dos au mur, il ne peut plus compter que sur ses inventions, son ingéniosité, et son instinct pour protéger ses proches. Alors qu’il se jette dans la bataille, Stark va enfin découvrir la réponse à la question qui le hante secrètement depuis si longtemps : est-ce l’homme qui fait le costume ou bien le costume qui fait l’homme ?
L’Aigle de la Neuvième Légion
L'Aigle de la Neuvième Légion est une adaptation d'un roman du même nom paru en 2003. Il s'agit d'un péplum réalisé par le talentueux Kevin Macdonald, un documentariste reconverti au cinéma à qui l'on doit déjà 2 films : Le Dernier roi d'Écosse et Jeux de pouvoir. Mais L'Aigle de la Neuvième Légion se veut être un péplum intelligent où le spectateur se diverti tout en réfléchissant, alors pari gagné ?
Hobo with a Shotgun
Hobo with a Shotgun est la dernière adaptation d'une fausse bande-annonce présentée lors du Grindhouse (voir l'article sur Machete), et non la moindre puisque cette bande-annonce a remporté le concours organisé par Quentin Tarantino et Robert Rodriguez. Le film arrive enfin sur nos écrans pour la plus grande joie des fans de ce style si particulier.
Critique : Avengers L’Ere d’Ultron, la critique positive
après l’annihilation quasi complète de la cellule du S.H.I.E.L.D relatée dans Captain America : le Soldat de l’Hiver, Tony Stark aidé de Bruce Banner créent Ultron, une Intelligence Artificielle capable de se régénérer et d’augmenter ses capacités.
Critique : Les Cinq secrets du désert
Un film tourné en plein conflit armé par l'une des parties adverses et qui a pour arrière-plan cette même guerre revêt forcément une dimension de propagande. Perçu à l'époque par bon nombre de peuples opprimés comme une brillante lueur d'espoir vers laquelle se tourner, le cinéma hollywoodien ne fait pas exception à la règle, puisqu'il a produit d'innombrables pamphlets anti-nazis au cours de la Deuxième Guerre mondiale.
Critique : Le Dernier de la liste
Voilà un agréable petit suspens des années 60 réalisé par John Huston et qui s'inspire vaguement du célèbre Noblesse oblige ((Kirk Douglas, méconnaissable dans 3 des 4 personnages qu'il interprète, assassine les membres d'une mystérieuse liste).