Critique : Les 7 Mercenaires (Fuqua)
Remake du classique de John Sturges de 1960 (déjà adapté d'un autre classique, Les Sept Samouraïs d'Akira Kurosawa), cette nouvelle version des 7 Mercenaires, réalisé par Antoine Fuqua à qui l’on doit le récent Equalizer, réunit un casting impressionnant composé de Denzel Washington (Man on Fire), Chris Pratt (Jurassic World), Ethan Hawke (American Nightmare) et Vincent D’Onofrio (le Kingpin de la série Daredevil). Reprenant le synopsis du classique porté, entre autres, par Yul Brynner et Steve McQueen, Antoine Fuqua dépoussière le mythe et offre un remake plutôt plaisant et efficace.
Test Blu-ray : Le relais de l’or maudit
Loué soit donc Sidonis Calysta, qui nous permet aujourd’hui de (re)découvrir Le relais de l’or maudit en Blu-ray et DVD, et ainsi de constater que Randolph Scott a aussi tourné un grand western sous la direction de Roy Huggins, un scénariste / réalisateur ô combien talentueux
Test Blu-ray : La poursuite impitoyable
La poursuite impitoyable se base sur un postulat de départ très simple : nous avons d’un côté Bobby Reeves, un taulard évadé de prison (Robert Redford), et de l’autre Barrett Calder, un shérif un rien désabusé (Marlon Brando) dont la mission est forcément de le retrouver et de l’arrêter.
Albert à l’ouest
Seth Mac Farlane quitte l'univers contemporain de Ted pour un retour décalé et hilarant dans l'Ouest très sauvage de la fin du XIXème siècle.
Critique : Atomik Circus, le retour de James Bataille
Skotlett City est toujours traumatisée par la catastrophique grande fête de la tarte à vache. James Bataille a d'ailleurs fini en prison et cette fois-ci il s'en échappe, bien décidé à retrouver Concia, sa fiancée qui veut devenir chanteuse de country. Mais malheureusement, tout ne se passe pas comme il l'aurait souhaité...
Test Blu-ray : Une bible et un fusil
Même s’il s'agit d'une suite de l'excellent Cent dollars pour un shérif (1969), Une bible et un fusil vaut surtout pour le fait qu’il réunisse à l’écran John Wayne et Katharine Hepburn.
Test Blu-ray : Calamity – Une enfance de Martha Jane Cannary
Avec Calamity - Une enfance de Martha Jane Cannary, Rémi Chayé semble bien déterminé à faire oublier au spectateur la Calamity Jane issue des cases de Lucky Luke.
Critique : Les Huit salopards
La deuxième incursion de Quentin Tarantino dans l'univers du Western est beaucoup plus réussie que la première. Même si on peut tiquer face à quelques scènes de violence trop appuyées, il est probable que la majorité des spectateurs arrivera à les digérer et que seront encore plus nombreux celles et ceux qui se régaleront à l'écoute des dialogues savoureux que nous distille le réalisateur tout au long du film. Quant à savoir s'ils se régaleront de la musique de Morricone, à eux de décider !
Critique : Jane got a gun
Par les temps qui courent, chaque western serait bon à prendre. Le genre américain par excellence est en effet délaissé à tel point depuis une quarantaine d’années, que toute nouvelle tentative de le ranimer ponctuellement se voit confrontée à des attentes démesurées.
Critique : Colorado
Les effets de style pop sont abondants dans le générique au début de ce western italien. Finalement beaucoup plus sobre en termes formels que ne pouvait le laisser croire cette introduction criarde, Colorado est avant tout fidèle aux préoccupations de son époque à travers le traitement nullement manichéen d’une chasse à l’homme aux multiples rebondissements. Le réalisateur Sergio Sollima suit en effet d’une façon remarquablement exhaustive la voie ouverte par le maître Sergio Leone, en nous concoctant un western moderne tout à fait efficace.
Critique : La Poursuite des tuniques bleues
Vers la fin des années 1960, le western dans sa forme classique subissait une mort aussi lente qu’inéluctable. Il existait certes, à cette époque-là, un nouveau vent de violence, de crasse et de dégénérescence, mais il soufflait sur le genre loin de sa terre d’origine, dans des productions européennes et plus spécifiquement italiennes.
Test Blu-ray : Les pionniers de la Western Union
Après Le retour de Frank James, Fritz Lang continuait en 1941 son exploration des vastes étendues du Far West avec un deuxième western américain : Les pionniers de la Western Union. Comme son titre l’indique, le film entreprend de faire revivre au spectateur la grande épopée de la première ligne télégraphique traversant les États-Unis.