Test Blu-ray : Bianco Apache

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Bianco Apache est un western spaghetti sorti sur les écrans français à l’été 1987, deux mois avant Scalps, qui fut à priori tourné en même temps. Il s’agit d’un spagh’ extrêmement tardif...

Test Blu-ray : Une bible et un fusil

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Même s’il s'agit d'une suite de l'excellent Cent dollars pour un shérif (1969), Une bible et un fusil vaut surtout pour le fait qu’il réunisse à l’écran John Wayne et Katharine Hepburn.

Critique : Brimstone

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Dans un cinéma contemporain de plus en plus uniformisé, où les propositions de cinéma un peu à contre courant de ce qui fonctionne auprès du grand public, ou du moins de ce que les distributeurs pensent que le grand public veut voir, ont de plus en plus de mal à exister en dans les salles, se retrouvant la plupart du temps reléguées à la VOD ou au Direct to DVD, voir débarquer un Western sans énorme tête d’affiche, qui plus est une co-production essentiellement européenne, réalisée par un Hollandais dont aucun film n’était jusque là arrivé jusque chez nous, et où l’action n’est pas vraiment la préoccupation principale de ses instigateurs, relève de l’exception qui confirme la règle. On ne va bien évidemment pas s’en plaindre, surtout que le résultat, surprenant à plus d’un titre, a plus d’un atout à faire valoir.

Critique : Atomik Circus, le retour de James Bataille

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Skotlett City est toujours traumatisée par la catastrophique grande fête de la tarte à vache. James Bataille a d'ailleurs fini en prison et cette fois-ci il s'en échappe, bien décidé à retrouver Concia, sa fiancée qui veut devenir chanteuse de country. Mais malheureusement, tout ne se passe pas comme il l'aurait souhaité...

Critique : Les 7 Mercenaires (Fuqua)

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Remake du classique de John Sturges de 1960 (déjà adapté d'un autre classique, Les Sept Samouraïs d'Akira Kurosawa), cette nouvelle version des 7 Mercenaires, réalisé par Antoine Fuqua à qui l’on doit le récent Equalizer, réunit un casting impressionnant composé de Denzel Washington (Man on Fire), Chris Pratt (Jurassic World), Ethan Hawke (American Nightmare) et Vincent D’Onofrio (le Kingpin de la série Daredevil). Reprenant le synopsis du classique porté, entre autres, par Yul Brynner et Steve McQueen, Antoine Fuqua dépoussière le mythe et offre un remake plutôt plaisant et efficace.

Critique : Les Huit salopards

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La deuxième incursion de Quentin Tarantino dans l'univers du Western est beaucoup plus réussie que la première. Même si on peut tiquer face à quelques scènes de violence trop appuyées, il est probable que la majorité des spectateurs arrivera à les digérer et que seront encore plus nombreux celles et ceux qui se régaleront à l'écoute des dialogues savoureux que nous distille le réalisateur tout au long du film. Quant à savoir s'ils se régaleront de la musique de Morricone, à eux de décider !

Albert à l’ouest

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Seth Mac Farlane quitte l'univers contemporain de Ted pour un retour décalé et hilarant dans l'Ouest très sauvage de la fin du XIXème siècle.

Test Blu-ray : Calamity – Une enfance de Martha Jane Cannary

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Avec Calamity - Une enfance de Martha Jane Cannary, Rémi Chayé semble bien déterminé à faire oublier au spectateur la Calamity Jane issue des cases de Lucky Luke.

Critique : La Poursuite des tuniques bleues

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Vers la fin des années 1960, le western dans sa forme classique subissait une mort aussi lente qu’inéluctable. Il existait certes, à cette époque-là, un nouveau vent de violence, de crasse et de dégénérescence, mais il soufflait sur le genre loin de sa terre d’origine, dans des productions européennes et plus spécifiquement italiennes.

Test Blu-ray : Les pionniers de la Western Union

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Après Le retour de Frank James, Fritz Lang continuait en 1941 son exploration des vastes étendues du Far West avec un deuxième western américain : Les pionniers de la Western Union. Comme son titre l’indique, le film entreprend de faire revivre au spectateur la grande épopée de la première ligne télégraphique traversant les États-Unis.

Critique : Colorado

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Les effets de style pop sont abondants dans le générique au début de ce western italien. Finalement beaucoup plus sobre en termes formels que ne pouvait le laisser croire cette introduction criarde, Colorado est avant tout fidèle aux préoccupations de son époque à travers le traitement nullement manichéen d’une chasse à l’homme aux multiples rebondissements. Le réalisateur Sergio Sollima suit en effet d’une façon remarquablement exhaustive la voie ouverte par le maître Sergio Leone, en nous concoctant un western moderne tout à fait efficace.

Critique : Jane got a gun

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Par les temps qui courent, chaque western serait bon à prendre. Le genre américain par excellence est en effet délaissé à tel point depuis une quarantaine d’années, que toute nouvelle tentative de le ranimer ponctuellement se voit confrontée à des attentes démesurées.

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Les sorties du 24 avril 2024

Après le programme cinéma globalement déprimant de la semaine dernière, les choses s'arrangent doucement, mais sûrement cette semaine-ci. Une fois de plus, il y a amplement de quoi occuper votre emploi du temps en cette fin avril, en attendant les ponts du mois de mai. Il y en a pour tous les goûts ou presque.

Locarno 2024 : Jane Campion Léopard d’or d’honneur

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Jane Campion n'est certainement pas la plus prolifique des cinéastes. Avec seulement huit longs-métrages en désormais trente-cinq ans de carrière depuis ses débuts avec Sweetie en 1989, sa filmographie est aussi reconnue que clairsemée. Toutefois, en tant que personnalité présente sur la scène du cinéma international, la réalisatrice néo-zélandaise cherche encore son égal.

Test Blu-ray : Complètement cramé

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Écrit et réalisé par Gilles Legardinier à partir de son propre roman, Complètement cramé n'aura réuni qu'un peu plus de 210.000 spectateurs sur 342 copies lors de sa sortie dans les salles en novembre dernier.

Critique : Première affaire

Une belle réussite pour un premier long métrage.

Critique : Ici et là-bas (Ludovic Bernard)

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D'un point de vue politique, la Françafrique peut être considérée comme moribonde. A moins que cette construction post-coloniale n'existe plus que dans la tête de politiciens et autres décideurs français, atteints du syndrome pernicieux de la nostalgie d'une époque clairement révolue. Au cinéma, elle risque d'avoir encore de beaux jours devant elle, si l'on se réfère à des films en apparence aussi inoffensifs que Ici et là-bas.