Critique : Cold War

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"Cold War" nous plonge dans les tourments d'une histoire d'amour épisodique tout en offrant une belle reconstitution de l'après guerre dans trois pays, sur une durée d'une quinzaine d'années : la Pologne, la France et la Yougoslavie

Critique : Une valse dans les allées

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"Une valse dans les allées" s'avère être une émouvante valse à 3 temps autour de 3 personnages, Christian, Marion et Bruno. Une valse à laquelle participent également des transpalettes et des chariots élévateurs et les collègues de travail du trio. Un film qui s'attache à traiter les sentiments et les rapports sociaux de façon à la fois réaliste et poétique. De l'excellent cinéma !

Critique : Mario

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Film courageux sur un sujet sensible, "Mario" présente en plus l'intérêt de donner une peinture très réaliste du milieu du football professionnel.

Critique : Bajirao Mastani

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Bajirao Mastani Inde : 2015 Titre original : - Réalisation : Sanjay Leela Bhansali Scénario : Prakash R. Kapadia, inspiré de Raau, de Nagnath S. Inamdar Interprètes : Ranveer...

Cannes 2018 : Plaire aimer et courir vite

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Vous souvenez-vous d'une histoire d'amour gay au cinéma qui se termine bien ? Plus encore que leur pendant hétéro, les aventures romantiques entre deux hommes ou deux femmes ont la fâcheuse habitude de se conclure au mieux avec un départ vers de nouveaux horizons en solitaire. Notre repère d'identification aura alors été amèrement déçu, quoique au moins vigoureusement confirmé dans son orientation sexuelle.

Critique : Bienvenue en Sicile

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Digne de la comédie italienne de la grande époque, "Bienvenue en Sicile" est une comédie douce-amère savoureuse, à la drôlerie souvent acide qui vient se greffer sur un fond historique bien documenté.

Cinélatino 2018 : Severina

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Est-ce que les librairies traditionnelles ont encore un avenir aujourd'hui ? Et le cinéma, peut-il encore aménager une place de choix à ces comédies romantiques désormais un peu démodées, aussi sophistiquées que divertissantes ? Ce film brésilien, tourné en espagnol en Uruguay et présenté en compétition au Festival Cinélatino, tente de donner une réponse doucement mélancolique à ces questions, qui ne préoccupent hélas plus grand monde.

Critique : Vers la lumière

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Un très beau film, oublié par le Jury du Festival de Cannes 2017 mais couronné à juste titre par le Jury Œcuménique.

Critique : Seule la terre

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Dans "Seule la terre", Francis Lee mélange avec justesse deux volets différents : la description particulièrement bien rendue du travail quotidien dans une ferme du Yorkshire et celle d'une relation homosexuelle qui s'établit entre deux jeunes hommes, représentant une forme de rédemption pour au moins l'un d'entre eux.

Critique : La promesse

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Malgré les nombreux défauts de ce film, il est difficile de ne pas marcher un minimum à la vision de ce mélange de mélodrame et de fresque historique.

Critique : Walk with me

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Dans "Walk with me", Lisa Ohlin arrive habilement à faire naître une véritable émotion en faisant cohabiter l'eau et le feu, le monde de la danse et celui des militaires.

Critique : suntan

Grâce à un scénario solide et intelligent, grâce à un bon travail de mise en scène et de mise en image, grâce à un duo de comédiens dont le naturel permet de s'attacher à leurs personnages, "Suntan" arrive à dégager un charme auquel on se laisse facilement prendre.

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Test Blu-ray : I Love Peru

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I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

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Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.

Sarlat 2025 : Promis le ciel

En règle générale, le parcours d’immigration n’est linéaire pour personne. A plus forte raison lorsqu’il se faufile dans la clandestinité, à l’écart des canaux officiels, sursaturés depuis longtemps. Ainsi, il y a des moments de précipitation au risque de sa propre vie d’un côté et des pauses lénifiantes de l’autre, qui coïncident avec une situation bloquée dont on peine à percevoir une issue favorable.