Berlinale 2024 : Berlin Été 42

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En Allemagne, il existe une sorte d'obligation collective du souvenir. Au vu du passé très trouble de nos voisins germaniques, rien d'étonnant à cela. Il serait même souhaitable que la France, nullement exempte d'atrocités historiques, en fasse pareil.

Berlinale 2024 : A Different Man

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On pourrait croire que tout a déjà été dit au cinéma sur la monstruosité de certaines déformations faciales. En fait, il aura suffi d'un seul film pour faire le tour de cette question pour le moins délicate. Sans vouloir rien enlever au génie de Elephant Man de David Lynch, nous devons toutefois reconnaître que A Different Man, présenté en compétition au Festival de Berlin, a pu faire sienne cette thématique d'une façon globalement ingénieuse.

Berlinale 2024 : Tu ne mentiras point

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Chaque année, nous commençons notre couverture du Festival de Berlin avec un sentiment diffus d'attente. Ce n'est pas tellement de l'appréhension, mais plutôt une certaine méfiance par rapport au film d'ouverture retenu pour lancer les festivités cinématographiques, qui se déroulent pendant une dizaine de jours dans la capitale allemande au mois de février.

Critique Express : Double foyer

Pas sûre à 100% de pouvoir réaliser un ou plusieurs autres films, Claire Vissé n'a pas pu s'empêcher de raconter toutes les histoires qui lui tenaient le plus à cœur avec le résultat qu'aucune de ces histoires n'est vraiment traitée en profondeur.

Critique Express : Nuit noire en Anatolie

Voilà un film qui permet à Özcan Alper, son réalisateur, de prendre place parmi les grands réalisateurs turcs du 21ème siècle, aux côtés de  Nuri Bilge Ceylan et de Semih Kaplanoğlu

Critique : Sans jamais nous connaître

Sans jamais nous connaître fais partie de ces films dont il serait dommage de trop dévoiler les contours, tant ils jouent avec nos habitudes dans des territoires de fiction où l’on avait pourtant juré qu’on ne nous y reprendrait plus...

Critique Express : 20 000 espèces d’abeilles

A l'issue de ce film, on ne peut s'empêcher de se demander pourquoi Estibaliz Urresola Solaguren, la réalisatrice, a attendu que se soient écoulées 95 minutes pour aborder "pour de bon" ce qui semble pourtant être le véritable sujet du film, l'histoire d'une petite fille de 8 ans née dans le corps d'un garçon.

Critique : Le Bonheur est pour demain (Brigitte Sy)

Dans les années 1990, une fasciantion différente émanait-elle du monde des gangsters, ce mythe qui n'avait pas encore été sacrifié sur l'autel de toutes sortes de luttes idéologiques ? Par conséquent, est-ce qu'un hommage nostalgique à ces hors-la-loi fait sens trente ans plus tard, sans pour autant en tirer quelque conclusion rétrospective que ce soit ?

Critique : Un coup de dés

Quand on établit la liste des meilleurs réalisateurs français, ce n'est très probabalement pas à Yvan Attal qu'on pense le premier. Et pourtant, toutes proportions gardées, il accomplit depuis le début du siècle un parcours derrière la caméra des plus respectables. En désormais huit longs-métrages, il se pose sans la moindre fanfaronnade en observateur de la société française.

Critique : Iron Claw

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Le catch est souvent une histoire de famille. Des Anoa’i en passant par les Hart, de nombreux clans ont marqué l’histoire de la discipline. Mais aucuns n’est aussi tristement célèbre que les Von Erich.

Critique : Argylle

En matière de films d'espionnage, le haut du panier est constitué soit de spectacles à l'élégance luxurieuse et à la capacité d'adaptation bluffante en fonction des époques, bref de l'univers James Bond, soit de plongées moins étincelantes dans la grisaille quotidienne d'un métier sans gloire, croisées ces dernières années chez Tomas Alfredson (La Taupe) et Steven Spielberg (Le Pont des espions).

Critique : La Salle des profs

Les Oscars du meilleur film international sont souvent l’occasion de découvrir des formes efficaces venues du monde entier. La surprise est d'autant plus grande quand le film est aussi original que cette “Salle des profs”, représentant l’Allemagne cette année.

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Jarhead, la fin de l’innocence n’est pas un film de guerre classique, mais un film sur l’attente, sur le vide qui ronge plus sûrement que les balles. Sam Mendes y transforme le désert saoudien en salle d’attente géante, où les Marines se consument dans l’ennui et la frustration, comme s'ils étaient les figurants d’un blockbuster qui ne démarre jamais.

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Barbarella est un objet cinématographique non identifié - un délire SF érotomane et psychédélique absolument typique de son époque de tournage (1968), livré dans des décors pleins de plumes, de globes et de moumoute.