Critique express : un autre monde
Dans ce film absolument remarquable, les interprètes sont, eux aussi, remarquables.
Critique : Fais de beaux rêves
Dans un film non exempt de qualités, on est quand même surpris que, malgré sa longue expérience, Marco Bellochio puisse délivrer certaines scènes aussi lourdes et d'autres qui ne sont que maladroites !
Critique : Les Dossiers secrets du Vatican
Le Pape Jean-Paul II défilait-il en nuisette ? Jean-Paul 1er fut-il assassiné par la mafia italienne dans une lutte de pouvoir au sein de la famille Corleone ? Le Pape François est-il un dangereux anarchiste ? Rien d'aussi original dans ces dossiers secrets, des affaires troubles qui opposent les forces du clergé aux forces démoniaques mais heureusement le porte-parole du Vatican (Djimon Hounsou) se penche sur le sujet dans ce film qui pourrait être le premier jalon d'une nouvelle franchise, les dossiers Warren de l'exorcisme en somme. C'est en tout cas la première idée qui nous vient jusqu'à l'explication finale de l'identité de l'entité qui s'en prend à la pauvre Angela Holmes (aucun rapport avec Conan Doyle).
Bel Ami
Ses 5 ans de conscription achevés, Georges Duroy, fils de paysan normand, s’installe à Paris à son retour de garnison en Algérie, où il avait fini sous-officier. Modeste employé aux Chemins de Fer du Nord, il reconnaît un soir aux Folies-Bergère Charles Forestier, un ancien camarade de son temps d’armée. Cette rencontre providentielle va lui donner une chance de sortir de son existence misérable, car le voilà rapidement propulsé dans le « Grand monde », celui de la presse et de la finance, toutes deux en accointance étroite avec la classe politique. Arriviste et dénué de scrupules, Georges Duroy, devenu Du Roy de Cantel, se fraye aisément un chemin dans cette société viciée, profitant de l’intérêt que lui portent les femmes : de maîtresse en épouse, d’épouse en maîtresse, il mène sa barque d’ambitieux jusqu’au sommet.
Critique : Le Buron – court métrage
Le Buron est un court-métrage mis en scène par un jeune réalisateur cantalien, Léo Pons. Difficile de ranger ce film dans une catégorie tant il mélange les genres...
Critique : En attendant les hirondelles
Après avoir dominé l'actualité du monde maghrébin depuis le point de vue français au cours des années 1990, ponctuées par une poussée inquiétante du terrorisme islamiste, l'Algérie s'est depuis en quelque sorte fait voler la vedette médiatique par ses voisins, davantage investis dans le printemps arabe et tout ce qu'il implique en termes d'évolutions politiques et sociales à vitesses multiples.
Le Dahlia noir
Le Dahlia Noir est un polar réalisé par Brian de Palma en 2005. Il s'agit de l'adaptation d'un roman lui-même basé sur une histoire vraie, celle d'une jeune femme retrouvée morte et atrocement mutilée en 1947 dans la région d'Hollywood. Un film qui devait d'abord être tourné par David Fincher, mais le metteur en scène s'est désisté et c'est finalement Brian de Palma qui l'a remplacé.
Le Dernier Exorcisme
Le Dernier exorcisme est un film d’épouvante produit par Eli Roth (Cabin Fever, Hostel 1 et 2) et réalisé par l’allemand Daniel Stamm. Un faux documentaire surfant sur la vague du Projet Blair Witch, de Rec, de Cloverfield, de Phénomènes paranormaux ou encore de Paranormal activity. Un film présenté comme le film d’horreur de l’année et très attendu par les fans du genre. Alors frissons ou déception ???
Critique : Les Meilleures intentions (Ana Garcia Blaya)
En règle générale, quand un film s'ouvre sur une dédicace « à ma mère » ou « à mon père », il trimbale avec lui un considérable bagage personnel. C'est encore plus vrai, si l'ensemble du couple parental est mis en exergue de la sorte. L'enjeu du récit consiste alors à dépasser ce lien affectif fort entre le réalisateur et ses géniteurs, afin de le rendre universel et donc accessible aux spectateurs.
Critique : Barry Seal : American Traffic
Doug Liman, le réalisateur de La Mémoire dans la Peau et du récent Edge of Tomorrow refait appel à Tom Cruise pour les besoins de son nouveau film, un biopic qui raconte l’histoire d’un pilote de ligne, Barry Seal, contraint de travailler pour la CIA. Exploité par les instances américaines, il va se faire de l’argent avec le trafic de drogue de Pablo Escobar. Arnaqueur de génie, Barry Seal s'est bien moqué de son gouvernement... sous son nez.
Dans la maison
Un garçon de 16 ans s'immisce dans la maison d'un élève de sa classe, et en fait le récit dans ses rédactions à son professeur de français. Ce dernier, face à cet élève doué et différent, reprend goût à l'enseignement, mais cette intrusion va déclencher une série d'événements incontrôlables.
Critique : La Grande bouffe
La Grande bouffe est le 15ème film de Marco Ferreri, réalisateur qui a marqué le cinéma par son coté provoc'. L'accueil du long-métrage par le public et la critique est très mitigé à l'époque et l'est encore aujourd'hui. On aime ou on déteste ce huis-clos complètement fou qui, sorti à notre époque, aurait probablement encore plus de mal à passer qu'en 1973. Ce film mérite-t-il la censure ?


















