Critique : Lone Ranger
Tonto, guerrier indien, raconte l’histoire méconnue qui a transformé John Reid, un ancien défenseur de la loi, en un justicier légendaire. Ces deux héros à part vont devoir apprendre à faire équipe pour affronter le pire de la cupidité et de la corruption.
Critique : Casier judiciaire
Comme bon nombre de ses contemporains, contraints par la barbarie nazie à quitter leurs pays d'origine en Europe, Fritz Lang était resté assez loin des sommets du microcosme hollywoodien pendant la partie américaine de sa filmographie. Il a certes su y réaliser quelques perles du film de genre, des œuvres à la noirceur inhabituelle dans le contexte de l'optimisme pathologique qui régnait dans les années 1930 et la première moitié de la décennie suivante sur le cinéma américain.
Critique : Mon légionnaire
Il fut un temps, il y a des années, voire des décennies, quand nous nous intéressions de façon suivie au sous-genre du film de légionnaire. C'était au moment de la sortie de Beau travail sur les écrans français, au mois de mai de l'an 2000.
Critique Express : Norah
Malgré la force de son sujet et les bonnes prestations de Maria Bahrawi et de Yagoub Alfarhan, ses deux interprètes principaux, "Norah" est s'avère peu passionnant, la faute au rythme particulièrement lent adopté pour sa réalisation et à une dramaturgie réduite à la portion congrue.
Critique : Strange Darling
S’il y a un film pour lequel il ne faut rien lire, rien savoir et vous laisser avoir, c’est bien celui-là. L’intérêt de Strange darling se veut presque uniquement un jeu de piste ludique avec les règles du survival. Un jeu étonnamment efficace, à défaut d’être finalement bien intéressant tant il réactiver le plaisir bien primitif du “twist”.
Le Roi Scorpion
Personnage mémorable du Retour de la Momie, le Roi Scorpion s’offre moins d’un an après la sortie de ce dernier son propre long-métrage. Et s’il n’y a ni momies ni de soldats à têtes de chacal, l’aventure est tout de même au rendez-vous !
Critique : El bola
On peut se féliciter que Les films du Whippet, distributeur spécialisé dans les films jeunes publics, ressorte en salle ce film bouleversant et qui n'a pas pris une ride, qui plus est dans une version restaurée qui met parfaitement en valeur la très belle photographie en format Scope.
Biarritz 2018 : Dry Martina
Notre séjour au Festival de Biarritz a malheureusement été trop bref pour distinguer une thématique forte à travers la sélection officielle dans son ensemble. Il y a toutefois un point qui nous a interpellés par rapport à la prise de décision des personnages, guidée par les parties intimes de leur corps. Après la confidence sans gêne de l'intervenant principal du documentaire Bixa Travesty, qui disait se fier à son trou de cul pour diriger sa vie, voici donc le pendant féminin, qui attache peut-être un peu trop d'importance au degré d'humidité de son vagin.
L’Âge de glace : La dérive des continents – 3D
La saga glaciaire accouche aujourd'hui d'un quatrième opus, atteignant un âge canonique et montrant une fois de plus l'adage hollywoodien "c'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes". Si le film original était extrêmement drôle et rafraichissant, ses deux suites paraissaient beaucoup plus fades, la faute à un manque d'originalité qui faisait de chaque nouveau film la copie du précédent. Dans ces conditions, un quatrième était-il nécessaire?
Critique : Gabriel et la montagne
Même si le film aurait gagné à être un peu plus court, avec un montage plus vif, on arrive à se laisser gagner par cette évocation d'un jeune homme plein de qualités mais dont le défaut principal était la surestimation de ses capacités, un défaut qui, dans certains cas, peut s'avérer mortel !
Critique : Avengers L’Ere d’Ultron, la critique positive
après l’annihilation quasi complète de la cellule du S.H.I.E.L.D relatée dans Captain America : le Soldat de l’Hiver, Tony Stark aidé de Bruce Banner créent Ultron, une Intelligence Artificielle capable de se régénérer et d’augmenter ses capacités.
Critique : Je ne regrette rien de ma jeunesse (1946)
Après le très théâtral Qui marche sur la queue du tigre, Kurosawa effectue un bon de quelques siècles pour se placer sur la scène historique contemporaine, à savoir les années 30. Allégorie politique pétrie de symboles anti-militaristes, Je ne regrette rien de ma jeunesse se présente comme un film de son temps et sur son temps empli de bonnes intentions. Hélas, il s’avère être néanmoins plombé par un excès d’abstraction laissant peu de place à l’attachement du spectateur pour des personnages politiquement forts mais humainement austères .