Critique : Le braquage du siècle
Une fois de plus, le cinéma argentin prouve sa capacité à apporter du neuf dans un genre déjà largement pratiqué et ce, quel que soit le genre.
Critique : Bends
Avec Bends, La réalisatrice de Hong-Kong Flora Lau propose un film qui fait penser à ce qu'on ressent parfois lorsqu'on se rend au restaurant : un menu prometteur, un cadre magnifique, beaucoup de beauté dans les assiettes, mais, au bout du compte, la déception d'un repas un peu fade, quelques crans en dessous des promesses du menu.
Gatsby le magnifique
Printemps 1922. L'époque est propice au relâchement des mœurs, à l'essor du jazz et à l'enrichissement des contrebandiers d'alcool… Apprenti écrivain, Nick Carraway quitte la région du Middle-West pour s'installer à New York. Voulant sa part du rêve américain, il vit désormais entouré d'un mystérieux millionnaire, Jay Gatsby, qui s'étourdit en fêtes mondaines, et de sa cousine Daisy et de son mari volage, Tom Buchanan, issu de sang noble.
Le Guerrier silencieux, Valhalla Rising
Nicolas Winding Refn est un jeune réalisateur talentueux qui, après la trilogie Pusher et le très barré Bronson, revient pour mettre en scène un projet qui lui tenait à cœur depuis longtemps : un film sur une légende viking. Autant le dire tout de suite Le Guerrier silencieux, Valhalla Rising est un projet très personnel, un trip mystique qui est dès le départ un suicide commercial, mais Nicolas Winding Refn nous livre là un des plus beaux films de l'année 2010. Regardez et voyagez...
Vu sur OCS : K
Alexandre Arcady persiste et signe dans le grand n'importe-quoi avec ce thriller de la fin des années 1990, qui mélange tout, sans pour autant avoir à dire quelque chose de valable sur quoique ce soit. K se voudrait en effet l'équivalent filmique d'une partie d'échecs de haut niveau, où tous les coups sont permis, mais où la stratégie la plus finement agressive l'emporte finalement.
Critique : Eddie The Eagle
1988, la ville de Calgary (Canada) est en pleine effervescence parce qu’elle se prépare à accueillir les quinzième Jeux Olympiques d’hiver. Des athlètes du monde entier débarquent pour partager leur passion et participer à l’évènement le plus emblématique du milieu sportif. Les entrainements sont lancés, les supporters sont gonflés à bloc pour encourager leurs équipes.
Critique : Les Cinq Légendes
L’aventure d’un groupe de héros, tous doués de pouvoirs extraordinaires. Emmenées par Jack Frost, un adolescent rebelle et ingénieux, ces cinq légendes vont devoir, pour la première fois, unir leurs forces pour protéger les espoirs, les rêves et l’imaginaire de tous les enfants.
Hell
Pour son cinquième film, Tim Fehlbaum nous propose sa version de l’apocalypse. Un thème récurent au Festival de Gérardmer 2012. Un survival qui nous vient tout droit d'Allemagne et avec de très bonnes idées.
Critique : Miss Sloane
Dans le marécage de Washington festoient d'innombrables bestioles cupides. Toute tentative de mettre à sec cet environnement malsain, gouverné exclusivement par l'appât du gain, est condamnée à l'échec, surtout quand elle relève de l'hypocrisie suprême, déployée par exemple pendant la campagne de l'actuel occupant de la Maison blanche. Ce n'est pas un seul film, aussi bien intentionné soit-il, qui va y amorcer un changement de philosophie radical.
Critique : Harpoon
Harpoon est un film d'horreur islandais réalisé par Júlíus Kemp en 2009. Il s'agit d'un hommage à Massacre à la tronçonneuse remanié à la sauce nordique, avec en guise d'instrument de torture un harpon et lieu de massacre un baleinier.
On a marché sur Alpha 46 [Yuri Lennon’s Landing on Alpha 46]
Dans le cadre de la 4ème édition du Jour le plus court, découvrez ce court-métrage étonnant et d’une terrible ironie. Un Interstellar en version réduite (ce n’est pas tout à fait exact, mais c’est vendeur…).
Critique : Mon XXe siècle
Lauréat de la Caméra d'or à Cannes en 1989, Mon XXe siècle est un de ces films qu'on avait pu oublier, alors qu'il est considéré par les spécialistes du cinéma hongrois comme un des meilleurs de la cinématographie du pays. La ressortie en salle, version restaurée à l'appui, de ce premier film de Ildikó Enyedi, réalisatrice du récent Corps et âme, est l'occasion de découvrir un long-métrage surprenant, à la fois comédie burlesque et poème visuel empreint de liberté.