Critique : Les Intranquilles
S’il y a bien une chose difficile à aborder au cinéma sans tomber dans des pièges rédhibitoires, c’est la maladie, quelle que soit sa forme.
Critique : Halte
Cette année, "Halte", le dernier film de Lav Diaz, faisait partie de la sélection Un Certain Regard du Festival de Cannes et, malgré sa longueur, un distributeur courageux a décidé de le sortir en salles. Espérons le même courage de la part de nombreux programmateurs. Espérons aussi que nombreux soient les spectateurs pour aller vérifier par eux-mêmes l'exceptionnelle qualité de ce réalisateur. Après tout, Halte ne dure que 4 h 39 !
Critique Express : Le test
Un film scénarisé par 2 hommes et réalisé par un homme qui, grâce à l'éclatante prestation d'Alexandra Lamy dans le rôle d'Annie, nous adresse un portrait très juste d'une femme d'aujourd'hui proche de la cinquantaine.
Critique : Wild
Après une vie d’excès qui ne lui convient plus, Cheryl décide d’entamer un périple de 1700 kilomètres le long de la côte ouest des États-Unis, avec un sac à dos et les souvenirs de sa mère disparue. Elle va devoir se battre contre les conditions extérieures et le spectre de son ancienne vie, pour parvenir à se reconstruire au terme du long voyage.
Star Wars 7 : on connaît la distribution
Le tournage le plus attendu de ces dernières années commence bientôt et la distribution a été officiellement annoncée ce lundi 28 avril. Tout le...
Easy A
Easy A est une petite comédie américaine réalisée en 2010. Le film s'inspire du roman La Lettre écarlate de Nathaniel Hawthorne. Il raconte les méfaits que peuvent avoir une rumeur sur les adolescents. Le titre Easy A vient du fait que dans le roman et dans le film, l'héroïne porte la lettre A sur la poitrine, un A qui signifie l'adultère.
Let My People Go !
Pour son premier long-métrage, Mikael Buch s'est entouré de Christophe Honoré (Les chansons d'amour, Les bien-aimés) et d'une flopée d'acteurs de qualité pour nous offrir une comédie presque musicale qui va secouer vos habitudes, et vous prouvera que les tabous...ça se brise facilement quand on veut.
Perfect Mothers
Inséparables depuis le premier âge, Lil et Roz vivent en parfaite osmose avec leurs deux enfants, deux jeunes garçons à la grâce singulière et qui semblent des prolongements d’elles-mêmes. Les maris sont absents. Inexplicablement, et pourtant comme à l’évidence, chaque femme se rapproche du fils de l’autre, nouant avec lui une relation passionnelle. A l’abri des regards, dans un Eden balnéaire presque surnaturel, le quatuor va vivre une histoire hors norme jusqu’à ce que l’âge vienne mettre un terme au désordre. En apparence, du moins...
Critique : L’Abri
C’est l’hiver. Il fait un peu froid sur la région parisienne, mais pas non plus assez pour que l’on se fasse des soucis, outre mesure, pour les personnes qui vivent dehors. De toute façon, ces dernières se sont fait voler la vedette, en termes de couverture médiatique, par les événements récents, plus dangereux pour notre ressenti immédiat de sécurité et de confort que la peur diffuse de dégringoler un jour l’échelle sociale jusqu’à devenir un sans-abri. Nous sommes tout à fait conscients de la laideur de ce constat, aussi implacable et objectif soit-il. Heureusement, des documentaires coup-de-poing comme celui-ci existent, qui nous arrachent à notre torpeur et notre indifférence !
Berlinale 2024 : Berlin Été 42
En Allemagne, il existe une sorte d'obligation collective du souvenir. Au vu du passé très trouble de nos voisins germaniques, rien d'étonnant à cela. Il serait même souhaitable que la France, nullement exempte d'atrocités historiques, en fasse pareil.
Critique Express : Sorry Baby
Une entrée remarquée et remarquable dans la réalisation cinématographique.
Les Arcs 2018 : In Fabric
Même avant que la France n'ait adopté ces dernières années la coutume anglo-saxonne du « Black Friday », on pouvait légitimement avoir l'impression que c'était tous les jours les soldes. Promotions ininterrompues sur cette catégorie-ci d'articles ou sur celle-là, rabais monstres et autres astuces commerciales pour toujours nous faire consommer plus : il y a de quoi perdre la tête dans cet engrenage capitaliste parfaitement huilé.


















