Les Arcs 2017 : La Route sauvage
Les histoires simples étaient jusqu'à présent le garant de la réussite des films de Andrew Haigh. Et encore, il conviendrait davantage de parler de perfection dans le cadre de ses deux réalisations précédentes, Week-end et 45 ans, qui avaient su nous subjuguer profondément. Comme les bonnes choses doivent hélas tôt ou tard avoir une fin, nous sommes restés beaucoup plus dubitatifs face à son quatrième long-métrage, qui a néanmoins raflé le gros des prix attribués au Festival des Arcs.
Critique : Vers la lumière
Un très beau film, oublié par le Jury du Festival de Cannes 2017 mais couronné à juste titre par le Jury Œcuménique.
Critique : Vent du nord
"Vent du nord" : un film politique très ancré dans l'humain.
Les Arcs 2017 : Beyond words
Comme quasiment toutes les métropoles, Berlin a sa propre identité. Ce film polonais, présenté en compétition au Festival des Arcs, la reflète assez fidèlement. Ceci dit, chaque fois que nous évoquons le nom de la capitale allemande dans notre entourage, nous récoltons un florilège d'avis discordants.
Les Arcs 2017 : The Charmer
Le thème à la mode des réfugiés, presque encore plus présent sur le grand écran que dans les actualités télévisées, est traité sous un angle passablement original dans ce premier film danois, présenté en compétition au Festival des Arcs. Il y est certes question de la précarité étouffante, virant parfois au misérabilisme, qui pèse sur le quotidien de ces hommes et de ces femmes, qui tentent par tous les moyens d'atteindre la terre promise européenne et d'y rester.
Critique : The Florida Project
Les sujets que traite "The Florida project" sont des sujets sérieux, mais le choix qu'a fait le réalisateur de les aborder au travers de la perception qu'en a un enfant de 6 ans l'oblige à rester à la surface des choses et on peut le regretter !
Test DVD : Cessez-le-feu
"Cessez-le-feu" est un film de facture très classique, servi par un scénario solide, une mise en scène efficace et sans esbroufe et une très bonne direction d'acteurs.
Critique : L’usine de rien
Malgré sa longueur, "L'usine de rien" est un film libre et créatif, un film d'une grande vitalité, un film utile qui fait du bien.
Critique : Mariana (Los Perros)
Alors qu'elle disposait d'un sujet en or, Marcela Said ne réussit pas vraiment à confirmer les espérances qu'avait fait naître "L'été des poissons volants", son beau premier long métrage de fiction. La faute, pour beaucoup, à Antonia Zegers, interprète peu convaincante du rôle principal et que la caméra ne quitte presque jamais.
Critique : Les bienheureux
Les sujets traités présentent beaucoup d'intérêt, mais il est impossible de ne pas signaler que le côté très brouillon de la conduite du récit dessert la perception qu'on peut avoir de ce film.
Critique : La fiancée du désert
"La fiancée du désert entre par la grande porte dans la catégorie des grands "petits films", ces films tout en retenue, délicats, pleins de charme, dont on sort ému et requinqué en se disant : "eh bien non, le monde n'est peut-être pas aussi sordide qu'on veut bien le dire et le croire".
Critique : Seule la terre
Dans "Seule la terre", Francis Lee mélange avec justesse deux volets différents : la description particulièrement bien rendue du travail quotidien dans une ferme du Yorkshire et celle d'une relation homosexuelle qui s'établit entre deux jeunes hommes, représentant une forme de rédemption pour au moins l'un d'entre eux.



















