Critique Express : L’été l’éternité

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Dans "L'été l'éternité", la peinture de la jeunesse est pleine de naturel, elle n'est ni forcée ni maniérée

Critique : Je voulais me cacher

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"Je voulais me cacher est un biopic particulier", le réalisateur ayant beaucoup joué sur la forme pour montrer la personnalité hors normes de son personnage.

Critique : Decision to leave

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C'est avec la façon prétentieuse de raconter une histoire somme toute banale, en la délayant en plus jusqu'à plus soif, que tout s'écroule, quand bien même la distribution fait tout son possible, sans vraiment y arriver, pour faire passer la pilule.

Critique : Le Sang à la tête

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Au plus tard au milieu des années 1950, Jean Gabin était devenu la figure paternelle à la fois par excellence et par défaut du cinéma français. Ses rôles ne variaient alors plus tellement jusqu'à la fin de son illustre carrière, vingt ans plus tard.

Critique : Slalom

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Un film important par son sujet mais dont le déroulé est trop prévisible et dont la mise en scène manque de relief.

Critique : Julie (en 12 chapitres)

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Des chapitres irritants, d'autres émouvants et une comédienne qui se montre à son avantage dans les 12 chapitres.
Jeux de Pouvoir

Critique : Jeux de Pouvoir

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Deux ans après l’excellent Le dernier roi d’Écosse, le réalisateur britannique Kevin Macdonald choisi d’adapter sur grand écran Jeux du Pouvoir. Le film est tiré de la mini-série State of Play créée par Paul Abbott et qui a connu un immense succès sur la BBC.

Critique : Hope

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Le film d'ouverture de l'édition 2013 du Festival du Film Coréen à Paris s'est ouvert le mardi 29 octobre avec un drame bouleversant autour de la pédophilie qui évite tous les pièges dans lesquels il aurait pu tomber. Le résultat est ce bijou qu'il sera difficile de dépasser en qualité.

Critique : First Cow

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Kelly Reichardt poursuit avec bonheur sa déclinaison de l'amitié, cet attachement entre des personnes ne faisant pas partie de la même famille et qu'on retrouve dans tous ses films. S'y ajoutent sa vision personnelle de la conquête de l'ouest et une réflexion sur l'esprit d'entreprise et l'appât du gain, avec les dérives que cela peut entrainer.

La Fureur de Vivre

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"La Fureur de Vivre" est le film qui a fait de James Dean une idole mythique du cinéma, vêtu de son jean et de sa veste en cuir. Ce film met en avant le monde dans lequel vivent les adolescents des années 50, mais surtout la violence juvénile dont ils étaient coupables.

Critique : les huit montagnes

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Aucun doute, "Les huit montagnes" est vraiment un des grands films de l'année !

Critique : Fury

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Brad Pitt commande un équipage de cinq hommes dans un tank Allié nommé Fury dans les derniers jours de la Seconde Guerre Mondiale. David Ayer (End of watch, Sabotage) va-t-il faire oublier les passagers du char de Lebanon de Samuel Maoz ou rate-t-il sa cible ?

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Test Blu-ray : I Love Peru

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I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

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A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

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Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.

Sarlat 2025 : Promis le ciel

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En règle générale, le parcours d’immigration n’est linéaire pour personne. A plus forte raison lorsqu’il se faufile dans la clandestinité, à l’écart des canaux officiels, sursaturés depuis longtemps. Ainsi, il y a des moments de précipitation au risque de sa propre vie d’un côté et des pauses lénifiantes de l’autre, qui coïncident avec une situation bloquée dont on peine à percevoir une issue favorable.