Critique Express : Captives

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Arnaud des Pallières s'est vu proposer la réalisation d'un film ayant pour sujet ces "Bals des folles" un peu avant la sortie du roman "Le bal des folles" écrit par Victoria Mas, roman dont Mélanie Laurent a fait l'adaptation pour le film du même titre diffusé sur Amazon Prime vidéo

Critique Express : La tête froide

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Bien que tourné dans le même environnement que "Les engagés" et "Les survivants", "La tête froide" donne une approche différente de l'aide aux migrants puisqu'il s'agit là d'une aide rémunérée

Critique : Primadonna

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"Primadonna" est un premier long métrage particulièrement réussi, et la finesse et la délicatesse dont fait preuve la réalisatrice n'empêche pas ce film de dégager une grande force, du début jusqu'à la fin. 

Critique : Moi Capitaine

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Voilà un film, "Moi Capitaine", qui réussit l'exploit d'être à la fois important et décevant.

Critique : La fille de son père

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Après la très grande réussite qu'était "Perdrix", Erwan Le Duc est parvenu haut la main à ne pas nous décevoir en signant avec "La fille de son père" un deuxième long métrage conservant les qualités de drôlerie et de poésie du premier tout en élargissant sa palette vers davantage de profondeur et d'émotion.

Critique : Winter Break

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"Winter Break" montre à nouveau tout le talent dont sait faire preuve Alexander Payne, bien aidé par ses interprètes, pour raconter une histoire dans laquelle une certaine nostalgie le dispute à l'émotion.

Critique Express : Légua

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"Légua" fait partie de ces films au rythme lent qui donnent la fausse impression d'être dénués d'action, mais qui s'avère d'une grande richesse lorsqu'on prend soin de les regarder avec attention.

Critique : Fremont

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Dans un film qui parle des difficultés d'intégration d'une jeune afghane immigrée aux Etats-Unis, Babak Jalali fait preuve d'un humour très fin qui excelle à apporter de la légèreté à des situations délicates.

Critique express : Perfect days

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Ces "Perfect days", ce sont ces journées que vit Hirayama, un homme âgé qui travaille avec une grande méticulosité au nettoyage des toilettes publiques du quartier de Shibuya. Ce que recherche et qu'apprécie Hirayama dans ces journées, c'est la modestie, la simplicité et le côté routinier de leur déroulement,..

Critique Express : Un hiver à Yanji

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Le réalisateur affirme qu'il a voulu très vite réaliser un film après la pandémie et, malheureusement, cela se voit : le "très vite" est devenu "trop vite".

Critique Express : Rien à perdre

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Ce premier long métrage de fiction est une belle réussite cinématographique, avec de bonnes idées de mise en scène et un ensemble de comédiens et de comédiennes très convaincant.

Critique Express : How to have sex

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"How to have sex", grâce au beau personnage qu'est Tara, grâce au talent de Mia McKenna-Bruce, son interprète, et malgré ses excès et ses maladresses, s'avère au final "moins pire que si c'était pire". 

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Test Blu-ray : The Last of Us – Saison 2

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The Last of Us – Saison 2 ne fait pas dans la dentelle narrative. Après une première saison saluée comme le messie sériel post-apocalyptique, cette suite prend un virage à 180° dès le deuxième épisode...

Test Blu-ray : I Love Peru

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I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

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A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

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Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.