Critique : American Pastoral

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American Pastoral Etats-Unis, 2016 Titre original : - Réalisateur : Ewan McGregor Scénario : John Romano, d'après l'oeuvre de Philip Roth Acteurs : Ewan McGregor, Jennifer Connelly, Dakota Fanning Distribution...

Critique Express : Houria

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Les défauts de réalisation observés dans "Papicha" sont toujours, malheureusement, également présents dans "Houria", voire même amplifiés : presque tout est forcé, les scènes de joie, particulièrement exubérantes, apparaissent comme étant totalement factices, les plans sont trop souvent exagérément dilatés et, au final, le film dégage surtout de l'ennui et, pas du tout, l'émotion qu'on pouvait espérer.

Critique : Effets secondaires

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Jon Banks est un psychiatre ambitieux. Quand une jeune femme, Emilie, le consulte pour dépression, il lui prescrit un nouveau médicament. Lorsque la police trouve Emilie couverte de sang, un couteau à la main, le cadavre de son mari à ses pieds, sans aucun souvenir de ce qui s’est passé, la réputation du docteur Banks est compromise…

Critique Express : Marco l’énigme d’une vie

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L'histoire d'un tel affabulateur compulsif ne peut qu'être passionnante, d'autant plus lorsqu'elle est racontée avec toute la science du montage de Aitor Arregi et Jon Garaño !

Critique : Un métier sérieux

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Pour le fréquenter de manière semi-régulière lors de nos activités associatives, le personnel de l'éducation nationale mérite amplement notre respect, voire notre admiration. Malgré un salaire de misère et le grand écart entre les intérêts divergents des parents et des directives gouvernementales, les profs s'efforcent jour après jour à transmettre un mélange instable de savoir faire et de savoir être aux jeunes générations.

Critique : Ceux qui travaillent

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Plutôt que de s'en prendre systématiquement aux autres et au système, commençons par balayer devant notre porte, nous dit Antoine Russbach.

Critique : Les Nuits d’été

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Si être homosexuel n’a jamais été facile, en dépit d’une récente poussée de tolérance dans certains pays occidentaux, obtenue au bout de longues années de lutte, être un travesti signifie de faire partie d’une minorité au sein d’une autre minorité, tout en étant la cible de railleries de tous bords. Cette envie de faire siens les attributs extérieurs féminins tout en restant un homme renvoie à une iconographie du mépris et de l’exclusion, dont la figure de proue cinématographique reste hélas jusqu’à ce jour La Cage aux folles. Le premier film de Mario Fanfani a le bon goût de ne pas du tout s’engager sur cette voie d’une discrimination plus ou moins larvée. Il va même plus loin en esquissant délicatement une sorte d’état des lieux et des mœurs dans la France profonde de la fin des années ’50, où la guerre d’Algérie préoccupait l’opinion publique au point de mal la préparer au choc moral de ’68.

Critique : Crazy Amy

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La provocation n’est que façade dans le nouveau film de Judd Apatow. Derrière les frasques du personnage principal, une jeune femme qui fait tout son possible pour fuir la routine amoureuse et sexuelle, se cache en effet l’attachement indéfectible du cinéma hollywoodien à une conception romantique de la vie forcément conforme au statu quo.

Test DVD : Fronteras

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Une première histoire d'amour, un scénario très simple, sans aucune esbroufe, un film très riche et très délicat.

Critique : Charlie’s Country (2ème avis)

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Un plan fixe sur le visage de David Gulpilil. Des traits sévères de son ami, Rolf de Heer tire un film lent et malicieux, perdu dans l'immensité du Bush. Ce qui aurait pu être un banal conte mi-rédemption mi-tolérance se révèle au contraire bien plus pugnace dans sa description de l'intervention incessante du gouvernement australien dans les affaires aborigènes. Décryptage de ce film systémique.

Cannes 2018 : Le poirier sauvage

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Nuri Bilge Ceylan fait parti des grands habitués du Festival de Cannes : six de ses films (sur une filmographie qui en compte huit) ont ainsi été sélectionnés, et ont pour la plupart remporté un prix - jusqu'à la Palme d'Or en 2014 pour Winter Sleep. Retrouver Le Poirier sauvage en compétition n'est donc pas étonnant, mais le projeter le dernier jour est une décision regrettable au vu du ratio état des festivaliers / durée du long-métrage. C'est avec la peur de piquer du nez que le rédacteur de cet article s'est rendu à la projection presse de 20h ; c'est fasciné qu'il en est ressorti, trois heures et huit minutes plus tard.

Critique : Le Procès Goldman

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"Le Procès Goldman" se rapproche beaucoup d'une captation en direct du véritable procès avec la volonté de mettre le spectateur dans la position d'un juré.

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D’où vient le cliché vestimentaire des casinos ?

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Depuis le cinéma hollywoodien des années 1950 jusqu’aux productions contemporaines, l’image du casino est associée à un code vestimentaire très codifié. Hommes en smoking...

Livre : A la recherche de la lumière (Oliver Stone)

Même si Oliver Stone n'occupe plus le devant de la scène médiatique depuis de nombreuses années, il fut un temps où le réalisateur de Platoon et JFK avait de quoi remuer les bonnes consciences aux États-Unis et à l'international.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Casper

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Casper s’avère l’exemple-type du film familial réussi, adapté à tous les âges : l’histoire est globalement plutôt solide, les acteurs sont bons et les effets visuels ont bien vieilli.

Deauville 2025 : la compétition

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Depuis la disparition récente et dans la douleur de son concurrent des Champs-Elysées à Paris, le Festival de Deauville reste le seul événement majeur à défendre les couleurs du cinéma américain indépendant en France. Sa 51ème édition, qui s'ouvrira dans un peu plus de trois semaines, le vendredi 5 septembre, a pris forme ce jour à travers la double annonce de la compétition et du jury.

Critique Express : En boucle

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C'est dans ce qu'il nous apprend sur le Japon, sur ses habitants et sur ses traditions que réside l'intérêt majeur de "En boucle" et, à la fin du film, on en arrive à avoir envie de réserver une semaine de vacances dans l'auberge où il a été tourné.