Critique Express : Le syndrome des amours passées
Malgré sa grande inventivité, "Une vie démente", le premier film du duo belge Ann Sirot, aux origines américaines, et Raphaël Balboni, aux origines italiennes, avait peiné pour atteindre 20 000 spectateurs dans les salles de l'hexagone. Qualifiés pour un second tour, qu'allaient-ils "inventer" pour réjouir à nouveau les spectateurs ?
Critique : The Brutalist
The Brutalist
UK - 2025Réalisateur: Brady CorbetScénariste: Brady Corbet ; Mona FastvoldCasting: Adrian Brody ; Felicity Jones ; Guy PearceDistributeur: Universal Pictures International FranceGenre :...
Moolaadé
Quatre petites filles fuient l’excision, demandent le "moolaadé” - droit d’asile - et tout un pan de la vie sociale africaine bascule et bouscule les traditions. Mais comment s’opposer à cet héritage sacré ?
Test DVD : Quand on a 17 ans
Pourquoi donc ces deux lycéens de 17 ans sont ils régulièrement en train de se tabasser ? Pourquoi Tom, enfant adopté par un couple d'éleveurs de bétail et qui vit dans la montagne, au dessus de Bagnères-de-Luchon, fait-il, en plein cours, un croche-pied à Damien ? Pourquoi ce dernier, fils d'une doctoresse et d'un capitaine pilote d'hélicoptère absent pour cause de participation à des opérations extérieures, réplique-t-il avec autant de hargne à la violence de Tom alors qu'on a très vite compris qu'il en est amoureux ?
Critique : Blue Giant
Quelle surprise, quelle proposition intéressante que ce “Blue Giant”, s’inscrivant dans le genre du “Seinen” (animé japonais destiné aux jeunes adultes) pour faire du spectacle de jazz, l’invocation mythique d’une puissance sublime et accessible à tous.tes.
Critique Express : Je m’abandonne à toi
On peut ne pas partager la foi de la réalisatrice et de son personnage principal, on peut ne pas partager l'admiration sans faille que Cheyenne Carron porte à l'armée en général et à la Légion étrangère en particulier et se montrer quand même sensible à la force tranquille du padre Paul, même si on a souvent la sensation qu'elle trouve sa naissance dans une certaine naïveté.
Les Arcs 2017 : The Charmer
Le thème à la mode des réfugiés, presque encore plus présent sur le grand écran que dans les actualités télévisées, est traité sous un angle passablement original dans ce premier film danois, présenté en compétition au Festival des Arcs. Il y est certes question de la précarité étouffante, virant parfois au misérabilisme, qui pèse sur le quotidien de ces hommes et de ces femmes, qui tentent par tous les moyens d'atteindre la terre promise européenne et d'y rester.
Critique : Neds
Neds est le troisième long-métrage de Peter Mullan (Orphans, The Magdalene Sisters). Le réalisateur aborde le sujet des Non Educated Delinquents à travers l’adolescence d’un jeune garçon dans l’Angleterre des années 70.
Critique : Walk with me
Dans "Walk with me", Lisa Ohlin arrive habilement à faire naître une véritable émotion en faisant cohabiter l'eau et le feu, le monde de la danse et celui des militaires.
Berlinale 2018 : La enfermedad del domingo
Quand on fait des choses qu'on aime, le temps a tendance à filer à toute vitesse. Alors que notre séjour annuel au Festival de Berlin est désormais sur la dernière ligne droite avant le retour à Paris et que nous ressentons bien la fatigue, compensée par la tête remplie d'images en mouvement, l'heure était venue pour faire une pause, afin de reposer la rétine après tant d'heures passées dans les fuseaux lumineux des projecteurs.
Critique : Mexico 86
Présenté sous la forme d'un passionnant thriller d'espionnage et bénéficiant de l'interprétation XXL de Bérénice Béjo, ce drame sur les choix cornéliens que doit faire une mère engagée dans la résistance contre une dictature a tous les atouts pour plaire à un très vaste public.
Wake Wood
Wake Wood est un film d'horreur produit par la légendaire compagnie Hammer Film Productions qui semble renaitre de ses cendres. Un film qui fait forcément penser à Simetierre avec cette histoire de cadavre ressuscité, même si ici l'aspect dramatique est davantage mis en avant. Alors est-ce que la Hammer va retrouver sa gloire d'antan et proposer des films d'horreur de haut niveau ?