Arras 2019 : Docteur ?

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Les rues d'Arras, de Paris et des villes un peu partout en France scintillent d'ores et déjà des mille feux de Noël. Quand Docteur ?, présenté en avant-première à l'Arras Film Festival, sortira en salles d'ici quatre semaines, l'esprit des fêtes de fin d'année aura définitivement pris possession de la conscience collective … à moins que l'heure ne soit au grand gémissement national, causé par la grève des transports.

Critique : Birdman

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Filmé en seulement 30 jours, de façon chronologique et presque intégralement en plan séquence, la création même de « Birdman » est différente, unique et impressionnante. A la hauteur du rendu final, entièrement déroutant, mais indéniablement réussi. Toutefois, « Birdman » n’est pas une œuvre facile d’accès, pas un film pop-corn qu’on va voir pour passer le temps.

Critique : Premières vacances

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Le versant comique du cinéma français fait une fixation pas toujours heureuse sur les vacances. Premières vacances, le premier film de Patrick Cassir, navigue avec une aisance pas sans charme à travers les hauts et les bas de son intrigue assez improbable.

Critique : Moonwalkers

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La théorie du complot sous sa forme actuelle est née dans les années 1960. Il y a eu deux événements si exceptionnels, l’un tragique avec l’assassinat du président Kennedy, l’autre incroyable dans sa capacité de repousser les limites imposées à l’homme qui a marché pour la première fois sur la lune, que des esprits dubitatifs n’ont pas voulu croire en leur véracité.

Critique : Jours d’amour

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Dans les années 1950, il allait de soi de se marier, dès qu'on était tombé amoureux. Aux yeux d'une société encore étroitement tributaire des mœurs judéo-chrétiennes, toute autre issue à une aventure romantique était inconcevable.
Les Boloss avec Simon Bird, Joe Thomas

Les Boloss

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The Inbetweeners (Les boloss), est avant tout une série qui cartonne en Angleterre. Diffusée sur channel 4, elle relate la vie de 4 adolescents paumés de façon ironique et décalée.

Critique : Mon héros (court-métrage)

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Avec Mon héros, Sylvain Desclous change de registre après le plus mélancolique Le Monde à l’envers avec Myriam Boyer et Vincent Macaigne et signe une comédie rafraîchissante et fraternelle.

Critique : The Florida Project

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Les sujets que traite "The Florida project" sont des sujets sérieux, mais le choix qu'a fait le réalisateur de les aborder au travers de la perception qu'en a un enfant de 6 ans l'oblige à rester à la surface des choses et on peut le regretter !

Jusqu’à ce que la fin du monde nous sépare

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Que feriez-vous si la fin du monde arrivait dans 3 semaines ? C’est la question que toute l’humanité est obligée de se poser après la découverte d’un astéroïde se dirigeant tout droit vers notre planète. Certains continuent leur routine quotidienne, d’autres s’autorisent tous les excès, toutes les folies. Dodge est quant à lui nouvellement célibataire, sa femme ayant décidée que finalement, elle préférait encore affronter la fin du monde sans son mari. Il décide alors de partir à la recherche de son amour de jeunesse, qu’il n’a pas vu depuis 25 ans. Mais sa rencontre avec Penny risque de bouleverser tous ses plans.

Critique : Rock the Casbah

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C’est l’été à Tanger. Une famille se réunit sur 3 jours dans la maison familiale suite au décès du père, pour se remémorer les souvenirs et partager sa perte, comme le veut la tradition musulmane. Il faut quitter les plages, les maillots de bain pour se vêtir de djellabas, réunir tout le monde et donner à la maison des allures d’enterrement. L’agitation est à son comble d’autant plus que cet homme n’a laissé derrière lui que des femmes. Tout va basculer avec l’arrivée de Sofia, la dernière des filles, celle qui a fait sa vie ailleurs. Actrice n’interprétant que des rôles de terroristes dans des séries américaines, elle arrive de New York après plusieurs années d’absence. Son retour va être le moyen de régler ses comptes avec ses sœurs et bouleverser l’ordre établi depuis toujours par ce patriarche. Entre rire et larmes, une hystérie collective va mener chacune de ces femmes à se révéler à elle-même...

Critique : Café Society (Cannes 2016)

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Année après année, Woody Allen revient, infatigablement, avec une nouvelle romance dramatique ou comique. Il a ouvert pour la troisième fois cette année le Festival de Cannes avec sa nouvelle production portée par un beau trio : Jesse Eisenberg (The Social Network), Kristen Stewart (Blanche Neige et le Chasseur) et Steve Carell (The Big Short).
Photo du film Oh My God ! Maggie Gyllenhaal sexy

Oh My God !

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Le thème de l'hystérie féminine arrive avec force au cinéma en cette fin d'année avec le dernier Cronenberg A Dangerous Method et Oh My god de Tanya Wexler. L'un très sérieux, l'autre très léger, alors votre choix ?

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Test Blu-ray : Les Cavaliers

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Tourné entre le chef d’œuvre La Prisonnière du désert (1956) et L'Homme qui tua Liberty Valance (1962), Les Cavaliers est généralement considéré, à l’image de films tels que Le Sergent noir ou Les Deux Cavaliers, comme un John Ford « mineur ». Mais qu'est-ce qu'un John Ford mineur ?

Test Blu-ray : Rêves sanglants

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Présenté au Festival d’Avoriaz en 1983, puis distribué dans quelques salles, Rêves sanglants a par la suite bénéficié d’une sortie au format VHS, sous les couleurs de CIC Vidéo, avant de retomber complètement dans l’oubli.

Test DVD : Vermiglio ou la mariée des montagnes

Grand Prix du Jury  à la Mostra de Venise, en septembre 2024, "Vermiglio ou la mariée des montagnes" est un film riche de plein de petits riens, un film à la vision duquel on ne s’ennuie jamais, un film riche en  émotion mais qui ne verse jamais dans le pathos.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Fallout – Saison 1

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Fallout est bien plus qu’une simple série post-apocalyptique : il s’agit d’un élégant mélange de western steampunk, d'humour noir et de survivalisme brutal, le tout enveloppé dans une enveloppe rétro-futuriste rafraîchissante évoquant l’Amérique des années 50/60.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : The Monkey

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Si l’atmosphère de la nouvelle de Stephen King était très sombre, The Monkey s’écarte de la noirceur de ce court récit, qui s’avère certes toujours profondément marqué par la notion de deuil, mais qui développe, tout au long de son récit, un humour assez irrésistible.