Critique : Sur la branche
Du décalage manifeste entre la rigidité de la loi et les lubies loufoques des troubles psychiques naissent quelques situations joliment cocasses dans Sur la branche. Que les choses soient bien claires, dans son deuxième long-métrage, cinq ans après La Fête est finie, la réalisatrice Marie Garel-Weiss ne cherche nullement à se moquer des tics et des tocs de son personnage principal.
Critique : En fanfare
Un film très réussi dans lequel on a parfaitement le droit de passer du rire aux larmes et vice-versa
Critique Express : Stella est amoureuse
Le problème majeur de "Stella est amoureuse", c'est que le film reste en permanence à la surface des choses, aucun des éléments pouvant apporter de l'intérêt n'étant véritablement approfondi.
Critique Express : Robuste
Si l'on regrette le manque de rythme dont fait souvent preuve "Robuste", on ne manque pas de se féliciter d'être confronté de temps à autre à de très belles scènes de cinéma.
Critique : Jane Austen a gâché ma vie (Deuxième avis)
Il n'est pas si fréquent qu'une comédie française dégage avec autant de bonheur un bon parfum britannique. Une belle réussite pour une scénariste se lançant dans la réalisation de son premier long métrage !
Critique : Yao
Face à un certain nombre de qualités indéniables, on ne peut que regretter la réalisation trop souvent amorphe de ce road-movie tourné de façon chronologique.
Intégrale Claude Berri #04 : Le cinéma de Papa (1971)
Pour son quatrième film en tant que réalisateur, Claude Berri persévère sur la voie de l’autobiographie filmée avec Le cinéma de Papa, qui nous propose un retour sur quelques épisodes de sa vie, disséminés entre 1946 et 1962. Mais comme le titre du film l’indique, l’aspirant cinéaste et ses déconvenues sentimentales et professionnelles ne seront pas cette fois réellement au centre du film et de son patchwork de séquences à la narration volontiers décousue : le dénominateur commun y est en effet avant tout la figure paternelle.
Critique : Annie Colère (Deuxième avis)
"Annie Colère" est le premier film de fiction consacré au MLAC à sortir au cinéma. Quand on voit qu'un peu partout dans le monde, les droits des femmes sont en recul et, en particulier, ce droit à l’avortement qui fut si difficile à obtenir, on se dit qu'un tel film est forcément utile. Mais il n'est pas qu'utile, il est aussi bien mis en scène, bien interprété et passionnant à regarder
Critique : Affreux sales et méchants
A peu d'années près un contemporain des géants du cinéma italien que seront pour toujours Federico Fellini et Michelangelo Antonioni, le réalisateur Ettore Scola ne peut guère se prévaloir d'une filmographie aussi touffue que ses illustres confrères. Certes, il a été un chroniqueur hors pair de la société italienne du siècle dernier, quoique sans le regard acéré d'un Elio Petri ou d'un Francesco Rosi.
Critique : Music Hole
Il y a 30 ans, "C'est arrivé près de chez vous", un film noir, belge, parfois malsain, avait rencontré un succès inattendu dans les salles. On ne peut que souhaiter un avenir similaire à "Music Hole". Franchement, ce ne serait pas immérité !
Critique Express : Mascarade
Nicolas Bedos prouve de nouveau qu'il est un très bon directeur d'acteurs et, mieux encore, un excellent directeur d'actrices
Albi 2022 : Ailleurs si j’y suis
Il paraît que l'acteur belge Jérémie Renier – invité d'honneur de la 26ème édition du Festival d'Albi et déjà avec une filmographie imposante à son actif, malgré son jeune âge de bientôt 42 ans – envisage de prendre du recul par rapport à sa carrière devant la caméra, afin de se consacrer à la cause environnementale.