Critique : Divertimento
Marie-Castille Mention-Schaar, qui aime tout particulièrement les histoires positives, "celles qui donnent de l’espoir, celles qui sont inspirantes", ne pouvait que s'enthousiasmer à l'idée de raconter l'histoire de ces 2 jeunes filles de 17 ans qui sont arrivées à surmonter tous les obstacles pour atteindre le but qu'elles poursuivaient.
Sortie VOD : Dark waters
Dark waters
Etats-Unis : 2019
Titre original : -
Réalisation : Todd Haynes
Scénario : Matthew Carnahan, Mario Correa, d'après un article de Nathaniel Rich dans le New-York...
Arras 2017 : Marie Curie
Marie Curie était une femme d'exception : la première à prouver que la science n'était pas le domaine exclusif des hommes, ce qui lui a valu de nombreux honneurs, parfois attribués tardivement, comme cette inclusion dans le Panthéon national, des décennies après sa disparition, alors que ses contemporains masculins y reposaient depuis longtemps.
Critique : American Sniper
Alors qu'on pensait finie la vague de films post 11 septembre, Clint Eastwood s'attaque à nouveau au sujet à travers le parcours du «plus grand sniper de l'histoire (américaine)». Entendez par-là, le plus efficace.
Critique Express : Enquête sur un scandale d’état
Pour réalisé "Enquête sur un scandale d'état", Thierry de Peretti s'est librement inspiré du livre "L'infiltré", écrit par un véritable infiltré et un journaliste de Libération.
Critique Express : Frantz Fanon
Alors que le cinéma s'était peu intéressé à Frantz Fanon jusqu'à cette année, voici que 3 mois après "Fanon", réalisé par Jean-Claude Barny, sort sur les écrans français "Frantz Fanon", un film du réalisateur algérien Abdenour Zahza
Critique : Main basse sur la ville
Au pied du Vésuve trônent les châteaux de la grande époque, la Galleria Umberto I, les offrandes au dieu Maradona sans oublier les ruines figées de l'antique cité de Pompéi... Une carte postale altérée par la misère, spectaculaire, qui ronge la cité phare du Mezzogiorno. Lion d'Or à la Mostra en 1963, le film de Francesco Rosi est une chronique de cette misère. Il nous en montre les causes, les exposent et les dénoncent. Un long-métrage coup de poing, de seulement 1h30, qui fait figure de monument sur l'Italie démocrate-chrétienne.
Critique Express : Corsage
Malgré la liberté prise par rapport à la stricte vérité historique, malgré les anachronismes parfaitement assumés, ou, peut-être, à cause de la liberté qui découle de ces choix, "Corsage" est un film d'un intérêt certain, ne serait-ce que par ce qu'il amène comme féminisme dans une société très éloignée de ce type de préoccupation
Critique : Bloody Mama (Roger Corman)
On a parfois tendance à résumer Roger Corman à une simple casquette de producteur débrouillard et un brin cynique. C’est un tort : on oublie trop souvent le grand cinéaste qu’il fut avant de prendre sa retraite de réalisateur au début des années 70...
Mandela : Un long chemin vers la liberté
Né et élevé à la campagne, dans la famille royale des Thembus, Nelson Mandela gagne Johannesburg où il va ouvrir le premier cabinet d’avocats noirs et devenir un des leaders de l’ANC.
Son arrestation le sépare de Winnie, l’amour de sa vie qui le soutiendra pendant ses longues années de captivité et deviendra à son tour une des figures actives de l’ANC.
À travers la clandestinité, la lutte armée, la prison, sa vie se confond plus que jamais avec son combat pour la liberté, lui conférant peu à peu une dimension mythique, faisant de lui l’homme clef pour sortir son pays, l’Afrique du Sud, de l’impasse où l’ont enfermé quarante ans d’apartheid. Il sera le premier Président de la République d’Afrique du Sud élu démocratiquement.
Critique : Khibula
Dans "Khibula", George Ovashvili cherche à explorer de l'intérieur les doutes d'un leader en phase de déchéance tout en décrivant la manière dont il se situe et se comporte alors par rapport aux autres.
Cannes 2014 : Saint Laurent (un peu contre)
Après le très réussi Yves Saint Laurent de Jalil Lespert sorti en salle début d’année (8 janvier 2014), la presse découvrait ce matin lors du 67e Festival de Cannes le second biopic sur la vie du célèbre couturier. Nommé sobrement Saint Laurent et en sélection officiel du prestigieux festival, la version de Bertrand Bonello arrivera t-elle à faire oublier la formidable prestation de Pierre Niney ?


















