30 scènes des films cultes en gif
Aujourd'hui, nous vous proposons une petite compilation de 30 gifs animant des scènes cultes du cinéma. Retrouver d'autres gifs, du plus bel effet, sur le site...
Braveheart
Braveheart, second film de Mel Gibson, est sorti en 1995. Au départ, l'acteur qui était aussi producteur du film souhaitait confier la réalisation à Terry Gilliam, mais ce dernier refusa l'offre. C'est ainsi que Gibson décida de le réaliser lui-même. Braveheart est devenu un film culte dans l'histoire du cinéma, et a remporté une avalanche d'Oscars bien mérités : meilleur film, réalisateur, photographie, maquillage et montage d'effets sonores.
Critique : Tuer n’est pas jouer
Le James Bond nouveau est arrivé ! A une époque, au rythme bisannuel contrairement au Beaujolais, le public s’attendait avec impatience à la nouvelle épopée de son agent préféré, tout en sachant pertinemment que la formule éprouvée ne permettait qu’une marge de manœuvre réduite en termes d’innovations.
Voyage au centre de la Terre 2 : l’île mystérieuse
Fan de The Rock, de Michael Caine et de Jules Verne, je ne pouvais passer à côté de ce second opus qui avait l’air cent fois mieux foutu que son médiocre prédécesseur… Résultat ? "C’est un bingo !"
Cannes 2014 : Dragons 2
Dragons ou Comment entraîner son dragon (la traduction littérale du long titre original) avait été une belle surprise en 2010. Quatre ans plus tard, cette suite toujours réalisée par Dean DeBlois, sans son coréalisateur d'alors Chris Sanders, se révèle supérieure à ce premier volet.
Critique : Braqueurs
Depuis qu’ils existent, les films de gangster ont dû s’accommoder d’une prise de position plus ou moins trouble à l’égard du crime. Entre les extrêmes de l’apologie de ce dernier et d’une condamnation sans équivoque de toute activité illégale, chacun d’entre eux s’est positionné – qu’il le veuille ou non – sur le spectre des valeurs morales aux variations de gris illimitées.
Critique : Jack Reacher
Cinq personnes sont abattues au hasard et en plein jour par un tireur embusqué, armé d’un fusil sniper. La police le retrouve facilement et tout converge à le déclarer coupable. Lors de l’interrogatoire, l’homme ne dit rien et se contente d’écrire « Trouvez Jack Reacher ». Lorsque celui-ci arrive et se plonge dans l’affaire aux côtés de l’avocate du tueur, il comprend rapidement que l’enquête est loin d’être résolue.
La Légende de Beowulf
Un passage à l’heroic fantasy réussi pour Robert Zemeckis qui, usant à nouveau de la technologie de la motion-capture, parvient avec étonnement à livrer un film plus mâture qu’il n’en a l’air…
Critique : Live by night
La dernière fois que Ben Affleck était passé derrière la caméra, c'était il y a quatre ans, avec Argo qui avait triomphé aux Oscar. Son troisième film en tant que réalisateur n'a été que le début d'un adoubement du tout Hollywood, puisque ont suivi un Terrence Mallick (A la merveille, la même année) et surtout un David Fincher (Gone Girl, 2014) dans lequel sa prestation fut quasi-unanimement saluée. En ce début d'année, il est revenu en tant que réalisateur-scénariste-producteur et acteur principal d'une adaptation de Dennis Lehane, auteur dont il avait adapté Gone baby gone il y a dix ans. Qu'en est-il du film en lui-même ?
Killer Elite
Avec une bien belle affiche et une bande annonce explosive, Killer Elite était un film attendu, qu'on pensait entre le thriller et le film d'action plutôt bagarreur. En s'inspirant du livre anglais The Feather Men, de Ranulph Fiennes, et en s'entourant de stars incontournables, Gary McKendry, réalisateur inconnu, tente une apparition remarquée dans nos cinémas. Pari gagné ?
Critique : La planète des singes – Suprématie
La planète des singes : suprématie est, mine de rien, le neuvième film de la saga initiée en 1968 - année grand cru pour le cinéma. Du livre éponyme de Pierre Boulle, le premier long-métrage choisissait de s'en éloigner avec sa fin inoubliable ; les quatre suites ont elles peu marqué l'Histoire du cinéma, tandis qu'avec le remake de 2001, Tim Burton signait un des pires films de sa carrière. C'est ainsi de plus moins nulle part qu'est sorti en 2011 La planète des singes : les origines. Reboot ou prequel de la saga, peu importe, Rupert Wyatt nous offrait un blockbuster (bien qu'au "petit" budget de 93 millions de dollars) assez introspectif, porté par un James Franco en forme et une motion-capture qui semblait franchir un nouveau cap technologique avec ses singes bluffants de réalisme. D'ailleurs, c'est paradoxalement Andy Serkis qui est le liant entre les trois volets de la nouvelle trilogie. Révélé dans le rôle de Gollum, premier personnage marquant prenant vie grâce à la motion-capture, il est depuis une quinzaine d'année la star de cette technique, et incarne donc César, héros de la trilogie.
Critique : Freeway
Freeway est le premier film de Matthiew Bright réalisé en 1997. Il n'en est pas à ses premiers pas au cinéma, puisqu'il a déjà écrit les scénarios du Démon des armes et de Réducteur de têtes. Il est également le scénariste de Freeway. On y retrouve Reese Witherspoon pour son premier rôle principal dans un film.


















