The Veteran
La star grimpante Toby Kebell devient un héros placé au cœur d’une machination gouvernementale où mensonges, coups bas et délinquances vont lui mener la vie dure… Ne vous attendez pas à un film d’action explosif, vous serez déçus. En revanche, attendez-vous à un bon petit thriller plus ou moins bien ficelé.
The Sword Identity
Sous la dynastie Ming, au XVIe siècle, deux sabreurs débarquent sur la côte chinoise. Décidés à faire accepter leur philosophie des arts martiaux par les 4 grands maîtres locaux, ils vont devoir rivaliser d’adresse et de persévérance.
True Grit
Un film des frères Coen est toujours un évènement. En effet, le duo de réalisateurs composé d'Ethan et Joel enchaîne les succès aussi bien presse que public (Ladykiller, No Country for Old Men, O'Brother, The Big Lebowski et, plus récemment, Burn After Reading). Lorsqu'en plus leur film possède une distribution composée de Jeff Bridges, Josh Brolin, Matt Damon et que le producteur n'est autre que Steven Spielberg, on ne peut que courir au cinéma.
Critique : Le braquage du siècle
Une fois de plus, le cinéma argentin prouve sa capacité à apporter du neuf dans un genre déjà largement pratiqué et ce, quel que soit le genre.
Critique : Divergente
On appelle ça la littérature 'Young Adult' ou jeune adulte. Les romans à l'origine des sagas Twilight, Hunger Games, Le Labyrinthe ou de ce Divergente sont pourtant de qualité pour le moins enfantine et n'ont pas grand chose d'adulte. L'adaptation ne va guère améliorer le matériau d'origine.
Critique : L’Infernale Poursuite
L’indispensable séance du cinéma bis ce vendredi 26 juillet 2015 à partir de 20h propose deux films a priori énormes réunis sous le petit nom bien trouvé de Curiosités : ce film policier dont le méchant est un cul de jatte raciste et karatéka et Le Pouvoir des plantes avec une plante qui est le seul témoin d’un meurtre. Sacré programme !
Critique : Hulk
Ang Lee (Le Secret de Brokeback Mountain) aux commandes d’une adaptation de Comics ? Surprenant vu la filmographie du réalisateur, l’exercice se révélant être un défi pour lui. Malheureusement, de bonnes idées et de bonnes intentions ne font pas un grand film et l’absence de passion pour le personnage original de Bruce Banner va plonger le film dans les abysses des productions Marvel… bien malgré lui.
Jason Bourne: l’Héritage
On croyait tout connaître de l'histoire de Jason Bourne et de son passé d’agent tueur malgré lui. Mais l’essentiel restait à découvrir. Le programme Treadstone dont Jason était le cobaye n’était que la partie émergée d’une conspiration plus ténébreuse…De Treadstone est né "Outcome", dont Aaron Cross est un des six agents. Sa finalité n’est plus de fabriquer des tueurs, mais des hommes capables d’assurer isolément des missions à haut risque. En dévoilant une partie de cette organisation, Jason laissait derrière lui un "héritage" explosif : compromis, les agents "Outcome" sont désormais promis à une liquidation brutale. Effacés à jamais pour que le "père" du programme, le Colonel Byer puisse poursuivre ses sinistres activités. Une gigantesque chasse à l’homme commence, et Cross, devenue sa première cible, n’a d’autre recours que de retrouver et gagner la confiance de la biochimiste d’"Outcome", Marta Shearing, elle-même menacée de mort…
Sucker Punch
Après 300, Watchmen et L'Armée des morts, Zack Snyder revient avec Sucker Punch, un film qui a créé la controverse aux USA puisque la critique a pris en grippe le réalisateur, traitant son film de navet dédié à la violence gratuite (voir notre article). Sucker Punch arrive en France avec une réputation déjà faite, mais comme pour les précédents films de Snyder, la critique française verra peut-être autre chose derrière cet ovni visuel.
Critique : Terminator – Renaissance
Terminator - Renaissance est le premier film d’une nouvelle trilogie se déroulant après Terminator 2 - le jugement dernier (1991).
Critique : Le Territoire des loups
Avec Le Territoire des loups, survival racé, maîtrisé et métaphysique, Carnahan est de retour et revient aux sources.
Critique : Wonder Woman 1984
Malgré ses imperfections, on serait bien tentés de considérer Wonder Woman 1984 comme supérieur à son modèle, qui se contentait d’enfiler les clichés sans autre valeur ajoutée que son solide production design et le charisme de son actrice principale.



















