Test Bluray : Niko le petit renne 2
Tandis que son père est toujours absent à sillonner le ciel dans la brigade du Père Noël, Niko le petit renne voudrait que ses parents se retrouvent et qu’ils forment enfin une vraie famille. Mais sa mère a une surprise pour Niko : elle a rencontré quelqu’un, Lenni, un renne qui a un fils nommé Jonni. Le rêve de Niko est alors brisé. Dans cette famille recomposée, Niko doit s’occuper de Jonni, son nouveau petit frère. Mais un jour, celui-ci est kidnappé par le loup blanc et sa horde de vautours ! Accompagné de son fidèle ami Julius l’écureuil volant, Niko démarre alors une grande aventure à la recherche de Jonni, avec à la clef, l’acceptation d’une nouvelle famille…
Test Blu-ray : Colossal
Révélé en 2007 par le sublime Timecrimes (Los cronocrímenes) qui nous indiquait clairement qu’il était un cinéaste dont la carrière à venir serait à suivre de très près, Nacho Vigalondo n’a malheureusement pas connu par la suite la reconnaissance (voire la gloire) qu’il aurait mérité. Pire encore, en France, aucun de ses films n’est à ce jour sorti dans les salles obscures : Timecrimes est sorti en DVD en 2009, son deuxième film Extraterrestre est toujours inédit en vidéo (mais régulièrement dispo en VOD sur Canalsat), son troisième film Open windows (le premier réalisé aux États-Unis) est directement sorti en Blu-ray / DVD chez Wild Side, tandis que son quatrième long-métrage, le Colossal qui nous intéresse aujourd’hui, n’a eu droit qu’à une sortie en e-cinema, format relativement nouveau censé être une espèce de VOD améliorée, proposant des films inédits en avant-première quelques mois avant leur sortie en vidéo domestique.
Test DVD : Petites casseroles + Monstres pas si monstrueux
Les vacances scolaires approchent à grands pas, et les équipes de Arte Éditions ont pensé aux petits et grands avec non pas une, mais...
Test DVD : Upstream color
Découvert avec le film de science-fiction Primer en 2009, Shane Carruth avait mis quelques années à écrire, financer et réaliser son deuxième projet, Upstream Color, qui commencerait à sillonner les festivals à travers le monde dès le début de l'année 2013 : Sundance, Berlin, Sydney, Deauville, Athènes, Sitges… Et beaucoup d'autres. Les nominations pleuvent au fur et à mesure que le film traverse le monde, les prix tombent également régulièrement, Carruth l'homme à tout faire étant parfois cité dans plusieurs catégories : il faut dire aussi qu'en plus du scénario et de la réalisation de son film, il en signait également la musique, le montage et la photo tout en portant également les casquettes de cameraman et d'acteur.
Test DVD : Un vent de liberté
il n'est pas interdit de penser que "Un vent de liberté" est tout simplement le plus beau film sorti en 2017, en tout cas pour certain.e.s parmi celles et ceux qui préfèrent la subtilité de situations réelles ou proches de la réalité à des épopées improbables à base d'effets spéciaux.
Test Blu-ray : Steve Jobs
Trois ans après Jobs, le premier biopic sur le gourou d’Apple (décédé en 2011) interprété par Ashton Kutcher, le film Steve Jobs sort le 3 février 2016. Une chose est certaine, Steve Jobs dispose de sérieux atouts avec un réalisateur talentueux, Danny Boyle (Trainspotting, Slumdog Millionaire), un scénario écrit par le génie Aaron Sorkin (Le stratège, The social network) et disposant d’un casting bien supérieur à son concurrent (Michael Fassbender, Kate Winslet, Seth Rogen).
Test Blu-ray : Les nouveaux héros
Si les puristes et autres aficionados du comic-book Big hero 6 risquent de pousser des cris d'orfraie au visionnage des Nouveaux Héros, son adaptation animée made in Disney, force est de reconnaître que le film de Don Hall et Chris Williams aura de quoi conquérir tous les autres de façon presque sûre et certaine. En effet, et même s'il s'avère nettement plus convaincant dans sa première partie que lorsqu'il aborde l'aspect « super-héros » proprement dit, Les nouveaux héros s'avère un petit trésor d'animation moderne et inspirée, aussi amusant que visuellement et techniquement époustouflant.
Test DVD : Love is Strange
"Love is Strange" est avant tout un film sur le couple homosexuel que forment George et Ben, mais il ne se prive pas de s'intéresser plus généralement à ce que peut être la vie en couple dans une immense métropole comme New-York. Ira Sachs aborde de façon très fine des sujets qui viennent se greffer sur le sujet principal : la société catholique qui continue de s'opposer au mariage homosexuel, le prix des logements à New-York, le combat des homosexuels pour se faire servir dans des bars lorsqu'ils arrivent en couple, l'évolution d'un adolescent, son amitié ambiguë avec un condisciple et son premier flirt avec une fille de son âge.
Revue de presse cinéma – Janvier 2017
Nouvelle rubrique sur le site pour cette nouvelle année ! Désormais, retrouvez tous les mois un tour d'horizon des différentes revues sur le cinéma.
La...
Test Blu-ray : Ouvert la nuit
Ouvert la nuit s’apparente à une course de montagnes russes extrêmement jubilatoire, qui nous plonge sans ménagement dans la nuit folle d’un artiste de la vie, un homme fragile pris au piège d’un interminable mouvement de fuite.
Test DVD : Le jeune Ahmed
On suit avec grand intérêt le cheminement psychologique de la radicalisation d'un gamin et ce qui est fait, en face, par la société pour essayer d'inverser ce cheminement !
Test Blu-ray: Le Plus Dignement + Un Merveilleux Dimanche
Deux films d’Akira Kurosawa inédits en vidéo qui n’ont pas encore connu de sortie sur les écrans français. Le plus dignement, tourné durant la guerre et Un merveilleux dimanche réalisé juste après, de quoi découvrir les débuts du cinéaste, des débuts intimement liés avec le conflit. D’un côté donc un film de propagande au message clair, celui du sacrifice de soi pour l’intérêt de la nation, de l’autre le portrait d’un couple dans la misère qui essaye malgré tout d’affronter les difficultés. Deux films très différents également d’un point de vue formel. Le plus dignement est tourné de manière documentaire, en décor réel et en extérieurs là où Un merveilleux dimanche est largement filmé en studio. Le premier traite du collectif comme but à atteindre, le second se concentre sur l’intimité du couple. Cette dichotomie est bien entendu le résultat d’un contexte. Akira Kurosawa a participé à sa façon à l’effort de guerre dans un premier temps avant de satisfaire les considérations de l’occupant américain dans un second temps.



















