Test Blu-ray : Cache cash
Il n’est finalement pas si étonnant de retrouver le nom de Claude Pinoteau au générique de Cache cash, récit de coming of age teinté de comédie et d’aventures, sorti sur les écrans début 1994.
Test Blu-ray : Kinjite – Sujet tabou
Pour leur dernière collaboration, Charles Bronson et J. Lee Thompson y vont franco avec Kinjite : Sujet tabou, qui s’impose clairement comme le film le plus réac, le plus taré, le plus raciste et le plus homophobe qu’ils n’aient jamais tournés ensemble.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Looper
Looper est un vrai film de science-fiction unique et audacieux, porté par des acteurs excellents - un des meilleurs films de l’année 2012, enfin disponible au format Blu-ray 4K Ultra HD.
Test Blu-ray : La Poursuite implacable
On ne se lassera jamais de répéter à quel point le cinéma de Sergio Sollima, quasiment inconnu en France, mériterait d'être apprécié / réévalué à sa véritable valeur : celle d'un fier et intelligent artisan du cinéma populaire italien des années 60 / 70.
Test Blu-ray : Trois fois rien
Prenant le contrepied de la comédie française contemporaine, Trois fois rien permet à Nadège Loiseau de jouer la carte d’un certain réalisme social, par le biais de son trio de personnages centraux, qui se trouvent être des sans-abris.
Test Blu-ray : Le Roi et quatre reines
Le Roi et quatre Reines, c’est 1 Clark Gable + 4 actrices, pour 4 images de la femme. Elles sont caractérisées de la façon très différente : on a la jeune blonde écervelée, la brune mexicaine sulfureuse, la sensible aux grands yeux bleus et celle à l’esprit vif.
Test Blu-ray : Le Dernier chasseur de sorcières
Le visage de Vin Diesel ne semble réellement à sa place que dans des films dont l’action se déroule dans le présent ou le futur. Le voir apparaître barbu lors du prologue médiéval de ce film-ci nous laisse en effet craindre le pire...
Test Blu-ray : Comment réussir… quand on est con et pleurnichard
Co-écrit par Jean-Marie Poiré et Michel Audiard, qui en assurait bien évidemment les dialogues, Comment réussir quand on est con et pleurnichard est un des films les plus « mal aimés » de la carrière de Michel Audiard.
Test Blu-ray : Aline
Émue par sa première apparition publique après le décès de son mari en 2016, Valérie Lemercier a évoqué l’idée, sur un coup de tête, de réaliser une biographie de Céline Dion. Avec Aline, la blague est devenue réalité…
Test Blu-ray : Ma
C'est bien connu : quand on est une femme à Hollywood, si l'on veut être prise au sérieux en tant qu’actrice et que l'on vise, à plus ou moins long terme, les premiers rôles de la « A List » des gros studios, rien ne vaut un bon rôle de chtarbée. Depuis Glenn Close et Liaison fatale, la déséquilibrée a en effet le vent en poupe, et hurler comme une hystérique en roulant des yeux et brandissant une hache peut finalement ouvrir pas mal de portes, professionnellement parlant. Attendez madame, posez cette hache, si la méthode semble fonctionner à Hollywood, pas sûr que ça marche vraiment en dehors de l'usine à rêves. D'ailleurs, ça ne fonctionne pas à tous les coups non plus sur les plateaux de cinéma, mais pensez à Jennifer Jason Leigh, à Charlize Theron, à Kathy Bates ou encore à Rebecca de Mornay… Le fait est que le rôle de la psychopathe de service peut aisément relancer pour quelques années une carrière en perte de vitesse, surtout quand on approche de la quarantaine.
Test Blu-ray : Projet Wolf Hunting
Véritable OVNI déjanté en provenance de Corée du Sud, Projet Wolf Hunting pourrait sérieusement concourir au titre de film le plus brutal et le plus sanglant n’ayant jamais vu le jour au pays du matin calme.
Test Blu-ray : Captive State
Captive State est un film déroutant. Au contraire de nombreux films Hollywoodiens évoluant dans le genre de la science-fiction (et du film « d'invasion »), le scénario de Erica Beeney et Rupert Wyatt s'avère suffisamment ambitieux pour développer des personnages complexes, aux motivations troubles – sinon floues – et dont on ne parvient pas réellement à déterminer de quel « côté », dans quel camp ils se situent. Le personnage de John Goodman est à ce titre – et encore plus que celui du héros incarné par Ashton Sanders – particulièrement tordu dans sa façon de raisonner et d'envisager ses relations aux autres, au point que l'on pourrait même se mettre à penser un temps que sa psychologie est « complexifiée » jusqu'à l'absurde. Un temps seulement, car les choses prendront tout leur sens au second visionnage, qui éclairera d'une façon assez lumineuse le cheminement machiavélique de sa pensée, déconstruisant son existence à la façon d'un joueur d'échecs ayant toujours un ou deux coups d'avance sur ses adversaires.