Test Blu-ray 4K Ultra HD : Terminator – Renaissance
Terminator : Renaissance était le premier film de la saga Terminator à n'afficher au générique ni la star Arnold Schwarzenegger, ni même la productrice / coscénariste du film original Gale Ann Hurd.
Critique : Sexe entre Amis
Avec Sexe entre Amis, Will Gluck (Scénariste de The Loop) s'attaque à ce qui semble être un des tout derniers tabous de notre société : le sexe sans sentiments. Si l'idée a déjà plu avec Sex Friends, le risque de tomber dans une comédie niaise à la sauce américaine est toujours présent, et peut en inquiéter beaucoup.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : La traque
L'influence de Claude Chabrol sur l'intrigue de La traque se ressent dans la description, minutieuse et extrêmement réaliste, d'une certaine petite bourgeoisie de province, soudée dans l'abjection et prête à couvrir un meurtre afin de préserver ses avantages.
Jeu concours Blu-ray : SISSI – SAISON 1
A l'occasion de la sortie de Sissi - Saison 1, actuellement disponible en coffrets Blu-ray et DVD, critique-film.fr et L'Atelier d'Images vous proposent de participer à un grand jeu concours qui vous permettra de gagner des coffrets Blu-ray de la série !
Test Blu-ray : Le justicier de New York (Un justicier dans la ville 3)
Dans les années 80 aux États-Unis, après l'élection de Ronald Reagan, les républicains se sentent pousser des ailes : comme pour appuyer la politique ultra-sécuritaire prônée par le gouvernement, la mode est alors aux films mettant en scène des vigilantes moustachus
Wayne’s World
Wayne's World est un film tout droit venu des États-Unis et réalisé par Penelope Spheeris en 1992. Etant à l'origine une séquence de Saturday Night Live, une émission de divertissement et de sketchs hebdomadaires aux Etats-Unis, Wayne's World a été adapté pour la France par deux membres des Nuls, Alain Chabat et Dominique Farrugia qui se sont chargés des dialogues français destinés au doublage. Un humour absurde dans la folie des années 90.
Critique : Blanche-Neige et le chasseur
La gentille et malicieuse princesse Blanche-Neige est orpheline de mère. Son père, le roi Magnus, séduit par la plastique irréprochable de Ravenna, une vénéneuse captive délivrée après une bataille, l’épouse sur le champ pour son malheur. La belle a tôt fait de l’assassiner et de prendre le pouvoir après une épuration en règle – seuls le duc Hammond et son jeune fils William arrivent avec une poignée de fidèles à échapper au massacre et à se replier sur leurs terres. La marâtre abominable retient pendant 10 ans Blanche-Neige dans un cachot du château royal on ne sait trop dans quel dessein, jusqu’à ce que son miroir-sorcier lui indique que cette dernière est la clé ultime devant lui assurer la beauté éternelle. Cependant la jeune fille réussit à s’échapper, et dès lors s’engage une traque impitoyable menée par l’homme-lige et frère de la reine, lequel s’est assuré les services d’un chasseur stipendié à la promesse que la souveraine aux talents redoutés de magicienne fera revenir son épouse chérie d’entre les morts. Mais le chasseur comprend vite qu’il a été berné et s’allie avec la princesse pour la reconquête du royaume en ruines.
Le Loup de Wall Street
Du rêve américain à l’avidité sans scrupule du monde des affaires, Jordan Belfort, courtier en Bourse à New York à la fin des années 80, va passer des portefeuilles d’actions modestes et de la droiture morale aux spectaculaires introductions en Bourse et à une vie de corruption et d’excès. En tant que fondateur de la firme de courtage Stratton Oakmont, son incroyable succès et sa fortune colossale alors qu’il avait à peine plus de vingt ans ont valu à Belfort le surnom de « Loup de Wall Street ». L’argent. Le pouvoir. Les femmes. La drogue. Les tentations étaient là, à portée de main, et les autorités n’avaient aucune prise. Aux yeux de Jordan et de sa meute, la modestie était devenue complètement inutile. Trop n’était jamais assez...
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Gwendoline
Car si bien sûr l’érotisme soft fait indéniablement partie de l’ADN du film, Gwendoline est bien plus que cela : il s’agit d’un mélange improbable de sérial et de nichons, auquel le temps qui passe a finalement conféré une aura étrange, presque farfelue, notamment à cause de (ou grâce à) ses décors en carton-pâte
Critique : L’Amour ouf
L'Amour ouf, film très ambitieux, s'affiche fièrement, sans hésitation, dans deux registres très différents : la comédie romantique et le thriller par moment particulièrement violent.
À voir sur Netflix : Hubie Halloween / Des bonbons ou un sort pour...
Sous contrat avec la plateforme de SVOD Netflix depuis 2015, Sandler revient avec Hubie Halloween au genre de personnages qui a fait sa gloire : celui de l’idiot du village, du brave niais plein de bonne volonté – un inadapté dont on pouvait déjà voir les prémisses dans Billy Madison (1995) ou Waterboy (1998)
Livre : Tony et Ridley Scott, frères d’armes
Contrairement à de nombreuses fratries de réalisateurs (Coen, Dardenne ou même Russo), Tony et Ridley Scott, eux, ne travaillent pas ensemble. Mais, comme le démontre cet essai de Marc Moquin (cofondateur de Revus et corrigés que l'on avait d'ailleurs interviewé ici), les filmographies des deux frères se répondent entre elles, tout en étant singulières. Il ne s'agit peut être pas de deux faces d'une même pièce, mais de deux échos qui ne cessent de se répondre - et ce même après le décès prématuré de Tony Scott.



















