Cannes 2019 : la Palme pour Bong Joon-ho

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Première Palme d'or pour la Corée du sud avec Parasite, le septième long-métrage de Bong Joon-ho et deuxième en compétition après Okja en 2017....

Cannes 2019 : l’heure du bilan

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Retrouvez tous nos articles sur le Festival de Cannes en cliquant ici Dernier jour à Cannes : l'heure du bilan, donc. A l'heure où nous...

Cannes 2019 à Paris, demandez le programme

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De ce vendredi 24 mai jusqu'au dimanche 26, nouvelle édition de ce programme de reprises des films de Cannes destiné à démocratiser l'accès...

Cannes 2019 : palmarès de la Semaine de la Critique

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Grande première à Cannes, toutes sections confondues : un film d'animation reçoit un premier prix sur la Croisette. Comme l'indique le titre, dans J'ai...

Cannes 2019 : Once upon a time … in Hollywood

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Le film commence : après un faux reportage sur le plateau d'une série western, on se retrouve plongé en plein dans le Hollywood de 1969. Léonardo DiCaprio, Brad Pitt, Margot Robbie, et dans des plus petits rôles, Al Pacino et Kurt Russell. On s'attendait à une fresque flamboyante sur le monde du cinéma, au tournant d'une époque ; c'est dire si nous avons été surpris.

Cannes 2019 : Parasite (compétition)

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Parasite est avant tout une histoire de famille(s) : celle des protagonistes, qui doivent vivre dans un entre-sol et celle des Park, socialement à l'opposé des précédents. Comme d'habitude chez Bong Joon-ho, quelques plans suffisent pour nous faire ressentir une empathie immense envers les personnages. Ici, tous sont attachants, même (et surtout) lorsque les évènements prennent un tournant inattendu. Car s'il y a une chose dont le cinéaste semble s'être fait la spécialité, c'est le changement de ton.

Test Blu-ray : Amour et mort dans le jardin des dieux

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Étant donné qu’Amour et mort dans le jardin des dieux développe, dans son intrigue, une trouble relation incestueuse entre un frère et une sœur, il est amusant de noter que l’idée de « famille » et de fraternité se retrouve également derrière la caméra, du côté de ceux qui ont mis en boite cet étrange giallo inédit, que nous découvrons aujourd’hui grâce au Chat qui fume. Le film est donc écrit et réalisé par un certain Sauro Scavolini : ce dernier compte par ailleurs à son palmarès plusieurs scénarios de films très connus des amateurs de cinéma d’exploitation italien des années 70, puisqu’il a entre autres signé ou cosigné les scripts de La cité de la violence (Sergio Sollima, 1970), de La queue du scorpion (Sergio Martino, 1971), de Ton Vice est une chambre close dont moi seul ai la clé (Sergio Martino, 1972), de Toutes les couleurs du vice (Sergio Martino), de Le cynique, l'infâme et le violent (Umberto Lenzi, 1977) ou de Mannaja, l’homme à la hache (Sergio Martino, 1977)… et même – plus surprenant – de La femme infidèle de Claude Chabrol !

Test Blu-ray : La poupée de Satan

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Malgré ce que pouvaient laisser augurer son affiche ainsi que le visuel du Combo Blu-ray + DVD édité par Le chat qui fume, La poupée de Satan n’est pas un giallo au sens strict du terme. Il contient certes des éléments visuels et thématiques que l’on peut rattacher au genre, mais ce n’est pas un giallo. Dans quel genre alors navigue cet unique film de Ferruccio Casapinta ? C’est un peu difficile de trancher. Il s’agit d’un film d’horreur, ça c’est sûr et certain, mais se situant à la croisée des chemins entre plusieurs tendances du cinéma fantastique de l’époque – tourné en 1969, le film mange un peu à tous les râteliers du spectre horrifique.

Cannes 2019 : Le Daim (Quinzaine – ouverture)

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Film d’ouverture de la 51e édition de la Quinzaine des réalisateurs de Cannes, Le Daim, septième long-métrage de Quentin Dupieux, a conquis le public cannois qui a pu, neuf ans après la projection de Rubber lors de la Semaine de la Critique, apprécier une fois de plus le génie de ce cinéaste à part.our vocation première, voire exclusive, de rapporter beaucoup d’argent, peu importe l’appauvrissement de la diversité du cinéma sous toutes ses formes qu’il accepte volontairement en guise de dommage collatéral

Cannes 2019 : l’agenda des séances

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La 72e édition du Festival de Cannes s'est ouverte hier avec la présentation en compétition de The Dead don't die de Jim Jarmusch...

Test Blu-ray : Le cirque de la peur

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Avec les années qui nous séparent de sa sortie dans les salles obscures, une espèce d’immense méprise s’est créée autour du Cirque de la peur. Peut-être parce qu’il fut longtemps invisible en France...

Test Blu-ray : Le moulin des supplices

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Sous l’impulsion des petits trésors tournés par la Hammer à la fin des années 50, d’autres pays ont commencé à explorer les arcanes du cinéma d’épouvante à tendance « gothique ». On pense bien sûr aux Etats-Unis, avec la superbe série de films de Roger Corman adaptés d’Edgar Poe notamment, mais également à l’Italie, toujours très friande en termes de divertissement populaire, qui s’est peu à peu mise, au tournant des années 60, à verser dans le cinéma fantastique. Et si beaucoup de cinéphiles parlent encore régulièrement de cinéma « bis » à l’évocation des films transalpins tournés à l’époque, on est pourtant en présence d’un véritable « âge d'or » du fantastique italien, dont les fers de lance seront bien sûr les films de Mario Bava et Riccardo Freda, dont les films ont traversé le temps de la façon la plus classe qui soit. Mais on n’oubliera pas les fiers artisans du genre, tels qu’Antonio Margheriti (La vierge de Nuremberg, La sorcière sanglante), Massimo Pupillo (La vengeance de Lady Morgan, Cimetière pour morts-vivants) ou encore Giorgi Ferroni, qui signait avec Le moulin des supplices un véritable petit classique de l’épouvante gothique all'italiana, en plus d’être une œuvre clairement fondatrice dans le sens où elle fut sans doute tournée parallèlement au Masque du démon de Mario Bava.

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Thunderbolts* vient donc tout juste de sortir au format Blu-ray 4K Ultra HD sous les couleurs de Marvel Studios, nanti de son sous-titre *Les Nouveaux Avengers. Comme on pouvait s’y attendre de la part de l’éditeur, le transfert Katka du film de Jake Schreier s’impose une fois de plus comme un véritable sommet technique exceptionnel.

Top 10 des films qui ont marqué par leur esthétique visuelle

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Test Blu-ray : Accident domestique

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Soutenu par un bel éloge de Stephen King qui parle d’un film « Horrible et terriblement drôle », Accident domestique débarque aujourd’hui en Blu-ray, sous les couleurs d'ESC Éditions.

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Quand Erin Brockovich, seule contre tous est sorti dans les salles en 2000, le film s’est imposé comme un joli succès commercial, engrangeant plus de 250 millions de dollars de recettes au box-office international (pour un budget de 52 millions) et dépassant les 2,5 millions de spectateurs en France.