Noce d’été de Mokhtar Laajimi : quand le cinéma dévoile une image chic et...
« A Tunis, le ciel qui nous interdit l’image, nous bombarde d’une pluie d’images, tout le monde a la tête ailleurs, ferme les yeux sur les magouilles et le trafic en terre… parabolique (et ses impôts). Nous voilà incapables de voir notre propre image. Elle, fausse ou interdite, elle est condamnée. Elle est à leur image. A-t-on peur à ce point de notre réalité ? Et pourquoi cette fuite ? Tout le monde regarde les autres, tout le monde est voyeur. Ils seront effrayés de voir leur propre visage sur l’écran. »[1] Avec ces phrases, Mokhtar Laajimi résume le sujet de son film, un message qui s’éclaire vers la fin du film.
Les symboles cachés de Drive
La première fois que j’ai vu Drive, j’ai eu une sensation étrange en quittant la salle de projection. Une sensation sur laquelle je n’arrivais pas à mettre des mots. J’étais perplexe mais pris aux tripes en même temps...
Hommage au réalisateur Pierre Schoendoerffer : focus sur les films qu’il a réalisés
Pierre Schoendoerffer s'est éteints le 14 mars 2012 à l'âge de 83 ans. Réalisateur de génie et écrivain engagé, il a bien souvent marqué l'histoire...
Le générique dans Bâb ‘Aziz de Naceur Khemir : une exeption dans le cinéma...
Bâb ‘Aziz est un film légende, très profond, un geste artistique, religieux et philosophique, qui représente la quintessence de la liberté de l’âme et de l’esprit ; l’expression d’un talent où se mêlent professionnalisme, conte et cinéma.
Burton, l’expo monstrueusement fascinante
Ce mercredi 7 mars ouvre l’exposition la plus folle qui soit à la Cinémathèque Française : celle de Tim Burton. Critique-Film.fr est allé se perdre dans ces allées de dessins farfelus et vous livre son sentiment…
Les Français et les Oscars : Une omniprésence très discutable
The Artist vient de triompher à Hollywood. Cela suffit-il pour crier « Cocorico » à s’en faire péter la glotte ? Pas si sûr… Retour sur une love story finalement plutôt pâlichonne entre notre cinéma hexagonal et sa place aux États-Unis.
L’idée de la marginalisation dans les films de Jilani saadi : exemple de Khorma...
Khorma est une comédie dramatique réalisée en 2002 par Jilani Saadi. C’est une production tuniso-belge d’une heure et vingt minutes qui traite d’une simple histoire d’un jeune sans éducation, un adjoint au cheikh, spécialisé dans l’annonce des funérailles et des mariages dans une petite ville de Tunisie.
Le zoom de la semaine : Amour et cinéma
L’amour est un vrai sujet, un beau sujet, avec autant de variantes qu’il y a de couples. L’amour a plusieurs visages mais peut importe la diversité des facettes de ce sentiment, il est central dans la vie des gens et c’est bien pour cela que le cinéma y trouve une si grande inspiration. Qui ne rêve pas de tomber amoureux ? Et qui peut mieux faire rêver que le cinéma ?
L’enjeu des lieux dans le cinéma Tunisien contemporain
Dans le cinéma tunisien contemporain, comme dans le cinéma en général, les lieux qui servent de décor constituent le premier outil cinématographique qui attire...
Duel : Piège de cristal contre L’Arme fatale
Sagas totalement cultes des années 80, L'Arme fatale et Piège de cristal ont marqué toute une génération. On a tous une saga préférée, un épisode que l’on favorise à un autre. Alors entre Piège de cristal et L'Arme fatale, quel est le meilleur film d'action de la fin des années 80 ?
Séries télé : savoir partir avant de lasser
La semaine dernière, la nouvelle tombait : après 8 années à l’antenne, cette saison de Dr House sera la dernière. Triste ? Soulagée, plutôt. Depuis quelques temps, la série s’était transformée en simple caricature d’elle-même entraînant dans sa déchéance le personnage autrefois passionnant de Grégory House. Elle n’est malheureusement pas la seule : How I met your mother, Les Experts : Las Vegas, Desperate Housewives sont autant de séries dans le même cas. Tour d’horizon.
Seul(e) pour la Saint-Valentin ? Notre sélection de films à voir… seul ou entre...
En ce 14 février, tout est prévu pour les amoureux. Programme télé, soirées au restaurant, au cinéma, dans un bar. Mais qu'en est-il de ceux qui vont la passer seuls leur Saint Valentin? Pour contrer ce genre d’évènement qui occupe une place assez importante dans notre société, nous avons décidé de vous proposer un petit medley de films que vous pouvez aisément voir en ce jour romantique, sans aucun partenaire. Et oui les célibataire ont aussi le droit de passer une bonne soirée le 14 février et parfois un paquet de pop-corn et un plaide bien chaud font aussi bien l'affaire.














