Berlinale 2019 : Das schönste Paar
En tant qu'événement cinématographique incontournable, où des milliers de journalistes et de professionnels du cinéma se pressent pour regarder un maximum de films, le Festival de Berlin aurait tort de ne pas profiter de cette exposition maximale pour en faire accessoirement une vitrine de promotion sur mesure pour les productions locales.
Critique : Monkey Man
Si la démarche de Dev Patel, derrière l’écriture du film, la réalisation et jusqu’à la réception de la majorité des grosses tatanes, est résolument touchante ; elle ne changera pas ce qu’est “Monkey Man”: John Wick dans la culture indienne.
Critique : Sons
Nous arrivant du Danemark, Sons vient jouer dans la cour des thrillers carcéraux. Avec son personnage central de matonne secrète et la promesse de rebondissements claustrophobiques, le spectacle m’aura malheureusement déçu.
Critique : Le Serpent aux mille coupures
Eric Valette revient au polar avec Le Serpent aux mille coupures, l’adaptation du roman du même nom de l’écrivain français DOA, publié aux Éditions Gallimard en 2009, dans la collection « Série noire ». L’attente est-elle récompensée ?
Critique : Jackie Brown
Jackie Brown, hôtesse de l'air, arrondit ses fins de mois en convoyant de l'argent liquide pour le compte d'un trafiquant d'armes, Ordell Robbie. Un jour, un agent fédéral et un policier de Los Angeles la cueillent à l'aéroport. Ils comptent sur elle pour faire tomber le trafiquant. Jackie échafaude alors un plan audacieux pour doubler tout le monde lors d'un prochain transfert qui porte sur la modeste somme de cinq cent mille dollars.
Critique Express : Les fantômes
On est ldans un espionnage feutré, avec des espions qui ne sont pas des professionnels mais qui n'en sont pas moins particulièrement motivés dans leur recherche.
Critique : The Place beyond the pines
Cascadeur à moto, Luke est réputé pour son spectaculaire numéro du «globe de la mort». Quand son spectacle itinérant revient à Schenectady, dans l’État de New York, il découvre que Romina, avec qui il avait eu une aventure, vient de donner naissance à son fils… Pour subvenir aux besoins de ceux qui sont désormais sa famille, Luke quitte le spectacle et commet une série de braquages. Chaque fois, ses talents de pilote hors pair lui permettent de s’échapper. Mais Luke va bientôt croiser la route d’un policier ambitieux, Avery Cross, décidé à s’élever rapidement dans sa hiérarchie gangrenée par la corruption. Quinze ans plus tard, le fils de Luke et celui d’Avery se retrouvent face à face, hantés par un passé mystérieux dont ils sont loin de tout savoir…
Critique : Le privé
Qu'ont en commun Elliott Gould, Dick Powell et Humphrey Bogart ? Ils se sont tout trois glissés dans la peau de Philip Marlowe, détective privé crée par Raymond Chandler, dont les romans ont été adaptés une dizaine de fois au cinéma. Si l'action se déroule dans les années 70, Marlowe lui semble pourtant vivre hors du temps. Se levant en pleine nuit acheter du pâté pour son chat, roulant en voiture datant des années 40, il va faire preuve d'une nonchalance à toute épreuve.
Devil
Devil est un film d'épouvante réalisé par John Erick Dowdle en 2010 et présenté en compétition officielle au festival de Gérardmer 2011. Le scénario est signé M. Night Shyamalan qui, pour la première fois, ne réalise pas le film dont il a écrit l'histoire. Shyamalan, très critiqué pour ses derniers films, a vu sa cote énormément baisser avec des métrages qui d'après les critiques ont souvent de bonnes intrigues mais une fin ratée, en bref une montagne qui accouche d'une souris.
Vu sur le Vidéo Club Carlotta : Temps sans pitié
Joseph Losey se distingue une fois de plus comme un observateur impitoyable de la condition humaine dans toute son imperfection avec Temps sans pitié. Ce premier film britannique sorti sous le nom du réalisateur américain, chassé de chez lui en raison de la phobie anticommuniste aux États-Unis dans les années 1950, avait bénéficié en mars dernier d'une ressortie en salles, abrégée soudainement par la fermeture des salles pour cause de confinement.
Critique : Joker – Folie à Deux
Ce n’est peut-être pas si étonnant qu’une proposition aussi radicale que ce Joker : Folie à Deux ne parvienne à convaincre ni la presse, ni le public.
Revu sur MUBI : Bob le flambeur
Jean-Pierre Melville était en avance sur son temps. De quelques années par rapport à la Nouvelle Vague dont il était une sorte de parrain et à laquelle il avait déjà appris tant de choses à travers Bob le flambeur.



















