Critique : Tuer un homme
Après la globalisation dans Huacho ou la maladie dans Près du feu, c’est la mort qui s’insinue cette fois dans le quotidien pour le troisième film d’Alejandro Fernandez Almendras inspiré d’un fait divers.
Arsenic et Vieilles Dentelles
Deux exquises vieilles dames font disparaître de vieux messieurs. Mortimer, leur neveu découvre l'affaire. Mais, l'affaire se corse pour lui quand il découvre que ses cousins, l'un gentil, l'autre méchant, sont également mêlés à l'histoire et que les cadavres s'amoncellent dans la cave.
Critique : Lost River
Le premier long métrage de Ryan Gosling, acteur canadien aux choix cinématographiques surprenant, est, à l’image de sa filmographie, pour le moins ambivalent. Si il a réussi à embarquer des acteurs et des techniciens de talent dans cette aventure, la magie se fait attendre
Critique : Conspiracy
Le hasard du calendrier n'a vraiment pas fait de cadeau à ce thriller américain. De sortie sur les écrans français à peine une semaine après l'attaque terroriste de Manchester, Conspiracy laissera sans doute un arrière-goût quelque peu amer aux spectateurs, même si le cycle inlassable de l'attention médiatique a déjà trouvé d'autres points d'intérêt depuis. Avec l'emploi du temps des projections encore moins en notre faveur, nous l'avions découvert au lendemain de l'attentat, c'est-à-dire dans un état d'esprit général qui nous a rendu le cœur lourd face à ce divertissement.
Vu sur MUBI : Guilty Bystander
On est face à un sérieux dilemme par rapport à MUBI, la plateforme de vidéo par abonnement britannique qui propose chaque jour et pendant un mois un nouveau film soigneusement sélectionné. Car en ces temps de confinement mondial et d'offre spéciale d'un euro symbolique pour les trois premiers mois d'accès à son catalogue mensuel, renouvelé à un rythme journalier, le site semble être tombé victime de son succès.
Critique : Get Out
Premier long métrage de Jordan Peele, Get Out, porté par Daniel Kaluuya, qui s’est illustré dans le dernier épisode de la première saison de Black Miror, raconte l’histoire d’un homme afro-américain qui rencontre la famille blanche de sa copine. Une rencontre sous pression qui va partir dans les tours.
Sécurité rapprochée
Tobin Frost est le traître le plus haï et le plus redouté de la CIA. Après avoir échappé au contre-espionnage pendant près de dix ans, il refait surface en Afrique du Sud. Lorsque sa cachette d’un faubourg du Cap est attaquée par un mystérieux commando, un jeune "bleu", Matt Weston, est obligé d’assurer seul sa fuite et de le conduire dans une nouvelle résidence sécurisée. "Ange gardien" malgré lui, Matt voit dans cette mission une chance inespérée de faire ses preuves aux yeux de l’Agence. Une relation précaire s’établit entre le débutant et le renégat endurci. Mais Frost, manipulateur né, réserve quelques surprises à son candide protecteur…
Critique : Stone
Stone est un thriller signé John Curran qui réunit Robert De Niro et Edward Norton pour la seconde fois après The Score. Le film est annoncé comme un thriller psychologique, mais attention, les spectateurs pourraient être surpris de ce qu'ils découvrent en regardant Stone...
Critique : The Voices
Après le film d'animation Persepolis et les fictions Poulet aux prunes et La Bande des Jotas, Marjane Satrapi signe The Voices, sa première expérience américaine, une excellente comédie absurde, criminelle et horrifique...
Critique : Captives
Malgré la froidure qui se dégage des images, cela fait chaud au cœur, de retrouver, de nouveau fidèle à lui-même, un réalisateur dont on a beaucoup apprécié des œuvres antérieures et qu'on avait un peu perdu de vie. Totalement passé inaperçu au dernier Festival de Cannes, Captives est un film … captivant qui vient prendre une place importance dans la filmographie d'Atom Egoyan.
Critique : L’Homme irrationnel
Le professeur de philosophie Abe Lucas est muté dans le verdoyant Braylin College. Son arrivée suscite un bruissement de commérages au sujet de sa réputation de Don Juan alcoolique mais non moins brillant. Frustré par une vie qu’il perçoit comme vide et insignifiante, Abe peine à publier ses recherches et ne ressent aucun attrait pour l’enseignement. Fantasmé par une de ses collègues du nom de Rita Richards et vénéré par sa plus pétillante étudiante Jill Pollard, il entame alors une liaison avec les deux femmes. Loin d’y trouver l’extase psychique et corporelle, il entreprend alors un projet de meurtre qui, il l’espère, lui permettra de renouer avec les joies de l’existence…
Vu sur Ciné + : Gentlemen cambrioleurs
Michael Caine avait vu juste lors de son discours mémorable de remerciements à la cérémonie des Oscars en l'an 2000. Il y disait que ce qui le distinguait de sa concurrence dans la catégorie du Meilleur acteur dans un second rôle, c'était sa qualité de survivant dans un métier hautement compétitif.


















