Critique : Scream

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Woodsboro, quelque part aux États-Unis. Deux adolescents sont retrouvés sauvagement poignardés. La panique s'empare des habitants de cette petite ville tranquille. Obsédé par les films d'horreurs, le meurtrier n'a pas fini son œuvre macabre...
Les affranchis

Critique : Les Affranchis

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Après Taxi Driver et Raging Bull, films cultes par excellence, Martin Scorcese sort en 1990 Les Affranchis, un bon vieux film de gangsters à base de costards-cravates, de magouilles, de meurtres de sang froid et de règlements de comptes. Inspiré du livre The wiseguy de Nicholas Pileggi et basé sur une histoire vraie, ce film marque les retrouvailles de Scorsese avec le milieu de la mafia après Mean streets en 1973.

Revu sur OCS : A Bittersweet Life

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Vous souvenez-vous à quand remonte exactement la grande renaissance du cinéma sud-coréen en France et dans le monde, qui a atteint son apothéose le mois dernier avec le sacre de Parasite de Bong Joon-ho aux Oscars, avant que les cartes du cinéma international ne soient définitivement redistribuées par la crise sanitaire ?

Critique Express : Motel Destino

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Le fait d'avoir appartenu à la sélection concourant à Cannes pour la Palme d'or est-il forcément un gage de qualité ? La réponse est négative et ce nouveau film de Karim Aïnouz en apporte une nouvelle preuve.
Au-delà

Critique : Au-delà

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Au-delà est le 32ème film de Clint Eastwood réalisé en 2010. L'histoire offre une réflexion sur la vie après la mort, ou plus précisément sur toutes les questions que l'on peut se poser à ce sujet.

Critique : La Voie de l’ennemi

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À voir à partir de ce soir sur Canal + à 20h55, ce film noir plutôt réussi a été tourné sur le continent américain par Rachid Bouchareb qui transpose le film de José Giovanni «Deux hommes dans la ville» avec son trio inoubliable (Gabin / Delon / Bouquet) dans le cadre désertique de la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique.

Critique : Le Diable à trois

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Le « Cinéma bis », cycle permanent de la Cinémathèque Française où une semaine sur deux ou trois presque tous les habitués de l’auguste institution se rassemblent pour écouter religieusement leur gourou, le directeur de la programmation Jean-François Rauger, avant de déguster un double programme de films de genre, contient parfois de bonnes surprises. Entre des navets de série Z, qui correspondent parfaitement à l’ambition de cet incontournable rendez-vous du vendredi soir de présenter des films « bizarres, fantastiques, d’horreur ou érotiques », des policiers italiens aux demoiselles dénudées et des aventures basiques qui ont dû bercer l’enfance ou l’adolescence cinéphile des spectateurs présents, pratiquement sans exception d’un certain âge, on y trouve de temps en temps des films soi-disant normaux, qu’on aurait presque tendance à qualifier comme trop sages et conventionnels pour satisfaire le goût pour la démesure et l’éclate jouissive qui y fait appel aux bas instincts du public. Ce fut le cas de ce thriller de la fin des années 1960, malicieux et machiavélique, quoique pas assez vicieux pour transcender une machination scénaristique que de nombreuses variations sur le même thème ont depuis rendu quelque peu transparente.
Dream house pub

Dream House

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Dream House est le 8ème film de Jim Sheridan, sorti en 2011. A 62 ans, le cinéaste spécialiste du drame (In the Name of the Father, Réussir ou mourir) se lance dans le thriller psychologique et signe le film le plus cher de sa carrière (55 millions de dollars). Alors, l'argent fait-il des miracles ?

Critique : Salt and fire

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Le paradoxe du mysticisme naturaliste, d’habitude si cher à Werner Herzog, risque sans cesse de faire capoter son nouveau film de fiction. Principalement actif dans le domaine du documentaire ces dernières années, le réalisateur allemand revient en effet avec Salt and fire à une forme de récit, qui est avant tout vecteur de folie.
Ne te retourne pas, l'affiche du film

Critique : Ne te retourne pas

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Notre chroniqueur Eric Becart n'a pas DU TOUT aimé Ne te retourne pas, le dernier film de Marina De Van... Mais comme il est gentil, il va vous dire pourquoi. Vous avez le droit de ne pas être d'accord.

Time Out

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Après Lord of war, sorti il y a six ans, Andrew Niccol nous revient avec son dernier né, Time Out. L'occasion de voir le beau Justin Timberlake reprendre du service en tant qu'acteur auprès de la charmante Amanda Seyfried dans une histoire futuristico-romanesque où les êtres humains arrêtent de vieillir à 25 ans,mais doivent lutter pour quelques minutes de vie.

Vu sur OCS : Les Doigts croisés

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Rétrospectivement, à un demi-siècle de distance, il est assez étonnant de voir une petite vague de comédies d'espionnage faire leur apparition à la fin des années 1960 et pendant la première moitié de la décennie suivante.

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Le monstre Gamera naît en 1965, et dès le premier film de la saga Gamera produit par la Daiei, il flottait déjà dans l’air la vague impression qu’à l’image de son grand frère Godzilla, la tortue géante n’était pas simplement une créature sortie d’un cauchemar reptilien, mais une métaphore ambulante de la peur nucléaire.

Les sorties du 24 décembre 2025

En ce jour du réveillon de Noël 2025, permettez-nous d’abord de vous souhaiter, à toutes et à tous, de bonnes fêtes de fin d’année ! Même si le cinéma n’est sans doute guère la priorité en ces temps de célébrations, de retrouvailles familiales et d’heures de bilan, les distributeurs français n’ont pas complètement rendu les armes en cette semaine de repos généralisé.

Test Blu-ray : Slocum et moi

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Il y a des films qui se construisent comme des cabanes bancales, et Slocum et moi ressemble à une embarcation bricolée dans un jardin de banlieue, mais qui finit par flotter dans l’imaginaire collectif comme un paquebot de souvenirs.

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