Hard Candy – David Slade
Hard Candy est un thriller américain. Il s’agit du premier film réalisé par David Slade, un réalisateur britanique qui a fait ses armes en tournant des clips salués par la critique. Hard Candy est une histoire contemporaine décrivant les dérives des rencontres sur internet.
Critique Express : La conspiration du Caire
C'est en relisant "Le nom de la rose" d'Umberto Eco qu'a germé chez Rarik Saleh l'idée de raconter une histoire similaire se déroulant dans un contexte musulman
Critique Express : Aïcha
Présenté dans la section Horizons lors de la dernière Mostra de Venise, "Aïcha" confirme, après "Un fils", les qualités de son réalisateur.
A Colt Is My Passport
Entre courses-poursuites et fusillade mêlées de trahison et de complots, A Colt is my passport transpose le meilleur du western au pays du soleil levant.
Berlinale 2019 : The Shadow Play
Ça y est, nous avons désormais dépassé le point de non retour de notre couverture du Festival de Berlin. La fatigue s'accumule. Les films se confondent dans notre mémoire cinématographique. Et encore, nous n'en sommes pas aux vingt, trente, voire quarante films consommés en quelques jours à peine par certains confrères.
Le caméléon
Le Caméléon est un drame réalisé par Jean-Paul Salomé en 2010. Il raconte l'histoire incroyable d'un jeune homme qui a usurpé plus de 40 identités d'adolescents disparus en inventant toujours la même histoire : celle d'un enfant kidnappé et maltraité. Une véritable histoire vécue par Frédéric Bourdin.
Critique : Propriété Privée
Depuis l’implantation d’une succursale aux Etats-Unis, Carlotta a initié un travail d’exhumation du cinéma américain indépendant. Dans cette optique de travail de défrichage, Carlotta opte généralement pour des œuvres peu connues du public cinéphilique français. Ainsi, en juin 2016, ils ont été à l’origine de la réédition du documentaire The Endless Summer consacré au surf qui, sous son aspect léger et solaire, ne se départ pas d’une vision légèrement ethnocentriste – un trait que l’on retrouve souvent au sein de la mentalité américaine – dans sa description des mœurs de par le monde. En dépit de cet état de fait, The Endless Summer a ce charme suranné, une forme d’ingénuité qui est surtout la vision fantasmée d’une époque et d’un lieu en particulier : la Californie, à l’orée des années 60. Une humeur désuète et innocente, que l’on peut également ressentir à l’écoute des premiers albums des Beach Boys : soleil, plage, filles en bikini, danse et surf… Dans le cadre de leur nouvelle ressortie, Propriété Privée, le ton est tout autre. Plus sombre, plus vénéneux, le long-métrage de Leslie Stevens préfigure, d’une certaine manière, Charles Manson et la perte d’innocence de l’ère Hippie, lorsque les premières remontées d’acide LSD 25 eurent un effet dévastateur sur certaines psychés fragiles et torturées.
Critique : Nocturama
Si tant est que le cinéma puisse avoir une influence sur la vie réelle, on peut s'interroger sur les répercussions envisageables, suite à la sortie de "Nocturama". Quelle que soit la réponse, on regrette que la réalisation soit aussi maladroite et le résultat aussi ennuyeux.
Cannes 2018 : The Spy Gone North
Corée du Sud, Corée du Nord, même combat ? Le dégel temporaire qui s'est emparé de la péninsule coréenne ces dernières semaines n'est que le dernier épisode d'un long conflit, faisant figure d'ultime vestige direct de la Guerre froide. Vu depuis l'Europe, il n'y a guère plus à comprendre à cet antagonisme ancien que ce que le filtre médiatique occidental, mis en place plus par nombrilisme national que par censure préméditée, veut bien nous en transmettre, de préférence en exacerbant les enfantillages entre le président américain et son homologue nord-coréen.
Critique : Amel & les fauves
L'histoire que raconte "Amel & les fauves" a offert à Mehdi Hmili l'opportunité de parler de quatre sujets qui lui tiennent particulièrement à cœur : la famille, en mettant particulièrement l'accent sur le courage des femmes tunisiennes, la culpabilité, la rédemption et, bien entendu, la corruption.
Gangster Squad
Los Angeles, 1949. Mickey Cohen, originaire de Brooklyn, est un parrain impitoyable de la mafia qui dirige la ville et récolte les biens mal acquis de la drogue, des armes, des prostituées et – s’il arrive à ses fins – de tous les paris à l’ouest de Chicago. Tout ceci est rendu possible par la protection, non seulement des hommes de mains à sa solde, mais également de la police et des hommes politiques qui sont sous sa coupe. Cela suffit à intimider les policiers les plus courageux et les plus endurcis… sauf, peut-être, les membres de la petite brigade officieuse de la LAPD dirigée par les Sergents John O’Mara et Jerry Wooters qui, ensemble, vont tenter de détruire l’empire de Cohen.
Critique : Reportage fatal (Shakedown)
À l'occasion de la sortie de Night Call, critique de ce chef d'oeuvre du film noir avec un personnage de photographe en quête de scoops racoleurs qui n'est pas sans lien avec le sinistre Louis Bloom interprété par Jake Gyllenhaal.



















