Critique : Prisoners
Dans la banlieue de Boston, deux fillettes de 6 ans, Anna et Joy, ont disparu. Le détective Loki privilégie la thèse du kidnapping suite au témoignage de Keller, le père d’Anna. Le suspect numéro 1 est rapidement arrêté mais est relâché quelques jours plus tard faute de preuve, entrainant la fureur de Keller. Aveuglé par sa douleur, le père dévasté se lance alors dans une course contre la montre pour retrouver les enfants disparus. De son côté, Loki essaie de trouver des indices pour arrêter le coupable avant que Keller ne commette l’irréparable… Les jours passent et les chances de retrouver les fillettes s’amenuisent…
Critique : The East
Ancien agent du FBI, Sarah Moss travaille désormais pour une agence de renseignement privée qui protège les intérêts de puissants hommes d’affaires. Elle reçoit pour mission d’infiltrer The East, un mystérieux groupuscule éco-terroriste qui s’attaque aux multinationales coupables de dissimuler leurs agissements criminels. Déterminée, ultra entraînée, Sarah parvient à s’intégrer au groupe malgré leur méfiance, et doit même participer à leur prochaine action. Mais plus elle vit avec les membres passionnés de The East, en particulier Benji, l’anarchiste, plus elle se sent écartelée entre les deux mondes et s’interroge sur elle-même…
Revu sur OCS : A Bittersweet Life
Vous souvenez-vous à quand remonte exactement la grande renaissance du cinéma sud-coréen en France et dans le monde, qui a atteint son apothéose le mois dernier avec le sacre de Parasite de Bong Joon-ho aux Oscars, avant que les cartes du cinéma international ne soient définitivement redistribuées par la crise sanitaire ?
Chained
Une femme et son jeune fils sont kidnappés par un chauffeur de taxi, qui s’avère être un tueur en série. Durant plusieurs années, il séquestre le jeune garçon…
Critique : Jack Reacher
Cinq personnes sont abattues au hasard et en plein jour par un tireur embusqué, armé d’un fusil sniper. La police le retrouve facilement et tout converge à le déclarer coupable. Lors de l’interrogatoire, l’homme ne dit rien et se contente d’écrire « Trouvez Jack Reacher ». Lorsque celui-ci arrive et se plonge dans l’affaire aux côtés de l’avocate du tueur, il comprend rapidement que l’enquête est loin d’être résolue.
Arras 2017 : Une part d’ombre
Il l'a fait ou pas ? Cette question basique de culpabilité n'est pas la seule à animer ce premier film belge, présenté en compétition à l'Arras Film Festival. Car Une part d'ombre s'intéresse avant tout aux facteurs environnants, qui engendrent une mise sur le banc des accusés du suspect bien en amont des procédures judiciaires.
Critique : Un couteau dans le cœur
Vite vu, vite écrit : il n'y a vraiment rien à sauver dans "Un couteau dans le cœur".
Sans identité
Jaume Collet-Serra sait très bien filmer et le prouve. Cette adaptation du roman français Hors de moi de Didier van Cauwelaert, publié en 2003, a offert à Liam Neeson l’opportunité de rejouer un rôle digne de celui qu’il a tenu dans Taken dans ce film rebaptisé « Sans identité »
Critique : J’ai rencontré le Diable
J'ai rencontré le Diable est un film sud coréen réalisé par Kim Jee-Woon (Le Bon, la Brute et le Cinglé) en 2010. Le film a remporté le prix du public et de la critique au 18ème festival international du film fantastique de Gérardmer.
Vu sur OCS : Refroidis
Puisque l'hiver commence doucement à arriver en France, quoi de mieux que de se réchauffer avec quelques pépites du cinéma nordique ? Malgré son titre à double entente et son décor abondamment enneigé, Refroidis se distingue par son efficacité chaud bouillante, saupoudrée de surcroît d'une couche conséquente d'ironie macabre.
Critique(s) : Drive
Nicolas Winding Refn revient sur le devant de la scène avec Drive, un film d'action qui fait figure d'ovni dans la Sélection du Festival de Cannes 2011 tant il ne correspond pas aux critères rigoureux des films en compétition.
Critique : Pentagon Papers
Spielberg a beau avoir 71 ans, il continue de tourner des films à un rythme effréné : deux vont sortir en moins de deux mois ! Ces deux long-métrages d'ailleurs soulignent deux facettes de sa filmographie: d'un côté, le cinéaste sérieux qui explore le passé de son pays, de l'autre le metteur en scène de divertissements plus grand public, mais tout aussi intéressants - deux faces complémentaires, et pas forcément opposées. Avec The Post, (nommé Pentagon Papers en France) il est question d'une affaire qui a secoué les États-Unis au début des années 70 ...