5 films qui traitent de la présidentielle
Une page se ferme et une autre s'ouvre. En ce lendemain de passation de pouvoir, qui marquera à jamais les moments politiques de notre...
Cannes 2017 : Napalm
"Mes films ne sont ni documentaires ni fictions, mais des entre-deux" explique Lanzmann avant la séance. En tout cas, Napalm n'est ni un bon documentaire, ni un bon long-métrage de fiction comme nous allons le voir, même s'il n'est pas totalement inintéressant.
Critique : Avengers L’Ere d’Ultron, la critique négative
Avec un grand pouvoir vient une grande responsabilité. Avant que les puristes des univers de bande-dessinée fantastique ne crient au scandale, oui, nous sommes bien sûr conscients que cette citation plus ou moins approximative ne provient pas de celui des Avengers. Elle peut s’appliquer cependant assez tristement aux deuxièmes aventures filmiques de la bande de super-héros.
Critique : Au-delà des montagnes
On ne peut que se féliciter de voir Jia Zhang Ke abandonner les effets d'hyper violence empruntés à Takeshi Kitano et Quentin Tarantino, effets qui n'ont pas leur place dans son cinéma et qui avaient plombé "A Touch of Sin". En mariant cette fois ci son cinéma social à la romance et au mélodrame, Jia Zhang Ke se rapproche de Zhang Yimou dans le style tout en continuant son observation critique de la Chine contemporaine.
Critique : Le char et l’olivier une autre histoire de la Palestine
Dans "Le char et l'oilivier", un palestinien nous dit qu'il faut aller en Palestine, qu'il faut aller voir le mur, qu'il faut aller rencontrer les nombreux blessés du fait des exactions israéliennes, qu'il faut aller se rendre compte par soi-même de la situation d'apartheid que vivent les populations palestiniennes, que ce soit en Israël même, dans les territoires occupés ou, pire encore, à Gaza. Il a raison ! Toutefois, pour commencer, il faut aller voir ce film !
Critique : Ouvert la nuit
La personnalité publique de Edouard Baer a beau être polarisante, elle a au moins l’immense avantage d’être consistante au fil des années. L’image que l’acteur donne de lui-même est celle d’un homme loufoque et narcissique, trop imbu de sa propre aura pour proférer autre chose que des pointes puériles.
Critique : Les Espions
Les Espions n'est certes pas le film le plus connu de Henri-Georges Clouzot. Arrivé dans la continuité directe du Salaire de la peur et des Diaboliques, il a rétrospectivement été éclipsé par ces deux œuvres phares de la filmographie du réalisateur. Et pourtant, il s'agit d'un thriller par excellence, d'un malicieux jeu du chat et de la souris ouvrant beaucoup de portes sans jamais indiquer la sortie.
Critique : Amy d’Asif Kapadia
Présenté en séance de minuit au Festival de Cannes 2015, Amy a rassemblé un large public composé de fans de l'artiste, mais également de curieux. Réalisé par Asif Kapadia a qui l'on doit également le documentaire très réussi, Senna, on attendait beaucoup d'un film signé par le nouveau spécialiste du biopic et centré sur l'une des stars les plus incroyables de la décennie 2000.
Syngué sabour – Pierre de patience
Au pied des montagnes de Kaboul, un héros de guerre gît dans le coma ; sa jeune femme à son chevet prie pour le ramener à la vie. La guerre fratricide déchire la ville ; les combattants sont à leur porte. La femme doit fuir avec ses deux enfants, abandonner son mari et se réfugier à l'autre bout de la ville, dans une maison close tenue par sa tante. De retour auprès de son époux, elle est forcée à l'amour par un jeune combattant. Contre toute attente, elle se révèle, prend conscience de son corps, libère sa parole pour confier à son mari ses souvenirs, ses désirs les plus intimes... Jusqu'à ses secrets inavouables. L'homme gisant devient alors, malgré lui, sa "syngué sabour", sa pierre de patience - cette pierre magique que l'on pose devant soi pour lui souffler tous ses secrets, ses malheurs, ses souffrances... Jusqu'à ce qu'elle éclate !
Critique : Belleville Tokyo
Après La Reine des Pommes et deux courts-métrages (Manù et Madeleine et le Facteur) et avant La Guerre est déclarée, Jérémie Elkaïm et Valérie Donzelli étaient dirigés dans l'un des rares films dont ils sont les interprètes sans en être ni les auteurs ni les réalisateurs.
Critique : Mi Gran Noche (My Big Night)
Mi Gran Noche, la dernière œuvre d’Alex de la Iglesia, un des plus originaux et inventifs metteurs en scène européens actuels est reléguée à Netflix. Coup de projecteur sur l’un des films les plus drôles que vous devriez ne pas manquer en cet automne 2016.
Mamá
Deux petites filles ont disparu dans les bois le jour où leur parents ont été tués. Des années plus tard, celles-ci sont retrouvées et adoptées. Mais une certaine Mama continue de leur rendre visite...


















