Vu sur Ciné + : Pinot simple flic

A première vue, Gérard Jugnot est le maître incontesté de la ringardise dans le cinéma français. Dès son premier film en tant que réalisateur, Pinot simple flic, il s'est en effet employé à cultiver l'image d'un bonhomme bien franchouillard comme il faut.

Critique : Les leçons persanes

Vadim Perelman décortique avec talent l'évolution des rapports entre deux hommes qui n'auraient jamais dû se rencontrer.

Critique : La place d’une autre

Ce mélange de film d'époque, de film social et de thriller, interprété par un très bon quatuor de comédien.ne.s, arrive jusqu'au bout à nous intéresser et à nous surprendre.
Les Trois Mousquetaires

Les Trois Mousquetaires

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Après un certain nombre d'adaptation, Les Trois Mousquetaires reviennent au cinéma dans une version moderne, explosive et, à ce qu'on dit, surprenante. Paul W.S. Anderson, connu pour avoir été le scénariste des trois premiers volets de la série Resident Evil, et le réalisateur du 4ème épisode, a-t-il respecté la mémoire d'Alexandre Dumas et de nos quatre fines lames ?

Intégrale Claude Berri #14 : Germinal (1993)

Il est presque impossible de ne pas aborder le sujet d’entrée de jeu : avec son budget titanesque 165 millions de francs en 1993 (qui équivaudraient, si l’on en croit l’INSEE, à environ 33 millions d’euros aujourd’hui), Germinal était, à l’époque de sa sortie, le film le plus cher de l’histoire du cinéma français. Ce budget pharaonique a d’ailleurs énormément contribué à donner à Claude Berri cette image de « dernier Nabab » du cinéma hexagonal, qu’il a trimballé jusqu’à la fin de sa vie. Alors que le film fête cette année ses vingt-cinq ans, que reste-t-il de Germinal aujourd’hui ?
Brian Helgeland Chevalier avec Heath Ledger

Critique : Chevalier

En Europe, au XIVe siècle, William Thatcher est un modeste écuyer qui a un don inné pour l'équitation et les combats de joute, un talent qu'il décide d'exploiter après la mort de son maître Sir Ulrich von Lichtenstein.

Critique : Antigone

Il serait profondément injuste que la frilosité de trop nombreux spectateurs pour réinvestir les salles de cinéma nuise au succès de cet excellent film canadien dont le thème est justement ... l'injustice ! Face à ce qui est pour nous, spectateurs hexagonaux, la découverte d'une réalisatrice de grand talent, on est en droit de questionner les distributeurs : qu'attendez vous pour nous faire connaître les films précédents de Sophie Deraspe ?
The human centipede, mille-pattes humain

The Human Centipede, first sequence, Tom Six

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The human Centipede est un film néerlandais d’horreur/épouvante sorti en août 2009 au cinéma. Le film a fait un énorme scandale car il a été accusé de montrer de la violence purement gratuite tout en étant totalement malsain. Pour les fans du genre, on a crié au renouveau du film d’épouvante extrême. Alors coup marketing ou film dérangeant ?
Black Sheep de Jonathan King

Critique : Black Sheep

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Black Sheep est le premier film de Jonathan King, un réalisateur de film d'horreur Néo-Zélandais. Impossible de ne pas comparer ce film aux classiques du maître incontesté du film trash de la petite île d'Océanie : M. Peter Jackson.

Vu sur OCS : Le Passager de la pluie

Aucun film n'échappe à l'effet de vieillissement, qui le rend dans la plupart des cas de moins en moins accessible, au fur et à mesure que le langage cinématographique contemporain évolue dans le temps par rapport au sien. Cependant, le succès populaire de Le Passager de la pluie, il y a un demi-siècle, nous laisse tout de même perplexes !
Love, et autres drogues

Critique : Love, et autres drogues

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Love, et autres drogues est une comédie américaine réalisée par Edwad Zwick. Le réalisateur plutôt habitué aux films d'action (Le dernier Samouraï, Blood Diamond, Les Insurgés) n'en est pas à son premier essai dans la comédie. En effet, il a déjà mis en scène des films plus romancés tels que Légende d'automne en 1995.

Dinard 2019 : The Keeper

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On n'en est qu'à notre deuxième film pendant notre séjour au Festival de Dinard, mais d'ores et déjà de légères tendances se profilent au sein de la sélection. D'abord, d'un point de vue formel, il s'agit de films grand public, inscrits dans la tradition pas spécifiquement britannique, mais néanmoins travaillée avec passion outre-Manche, de récits épiques, qui tentent de transposer d'une façon largement accessible des destins d'individus isolés dans le cadre d'une nation toute entière qui retient son souffle avec eux.

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Critique Express : Chronique des années de braise

"Chronique des années de braise" est une somptueuse fresque de près de 3 heures, mélange assumé de conte à caractère intimiste avec le côté parfois un peu naïf que cela peut impliquer et de film à grand spectacle digne des plus grandes productions américaines ou soviétiques.

Test Blu-ray : La Queue du scorpion

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Prenant la forme d’un whodunit des plus classiques, La Queue du scorpion fait preuve d’une finesse absolument remarquable, trompant le spectateur en lui offrant des points d'intrigue supposés « importants » qui s'avèrent en réalité être des fausses pistes destinées à détourner son attention du véritable sujet du film.

Test Blu-ray : Le Tueur à l’orchidée

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Le premier sentiment nous étant venu à l’esprit à la revoyure de ce Tueur à l’orchidée réside dans le sérieux avec lequel Umberto Lenzi y avait fait le choix d’aborder le genre. Le cinéaste prend ici très au sérieux l’enquête concernant l’identité du tueur...

Critique Express : Last stop : Yuma County

Un film qui n'a pas à rougir de la comparaison avec les films de Quentin Tarantino et ceux des frères Coen.

Test Blu-ray : La Maison au fond du parc

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La Maison au fond du parc a été tourné juste après Cannibal Holocaust : les deux films partagent non seulement le même réalisateur, mais aussi le même producteur (Franco Palaggi) et la même équipe technique (Sergio D'Offizi à la photographie, Vincenzo Tomassi au montage et Riz Ortolani à la bande originale).