Critique : Mourir peut attendre

Est-ce que l'anticipation maintes fois repoussée d'un film peut influer sur notre perception subjective ? Dans le cas du nouveau James Bond, dont la sortie mondiale a été décalée plusieurs fois à cause de la pandémie du coronavirus, une chose est sûre : c'est une histoire du monde d'avant qui nous y est contée, avec tout ce que cela implique en termes de valeur nostalgique ajoutée.
La belle au bois dormant, Walt Disney

La belle au bois dormant

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La Belle au bois dormant est probablement le dessin animé de Disney le plus célèbre au monde. Un succès incroyable qui n'est pas dû au hasard. En effet, le film a coûté plus de 6 millions de dollars, une sommes colossale pour l'époque, et a nécessité plus de 8 années de travail. Rien n'a été laissé au hasard et on comprend mieux pourquoi ce film a autant perduré dans le temps et reste toujours aussi beau plus de 50 ans après sa sortie.

Critique : Compagnons

Un beau film qui, à sa façon, entre dans la catégorie des "Feel good movies" sans être pour autant un film ne mettant en avant que des bons sentiments pleins de mièvrerie.

Critique : New York 1997 & Los Angeles 2013

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Parmi les collaborations cinématographiques les plus fructueuses, difficile de ne pas avoir en tête l’entente quasi-fusionnelle unissant John Carpenter et Kurt Russell et qui aura donné des films désormais étiquetées comme œuvres cultes.

Critique : La fracture

Avec "La fracture", les spectateurs ne peuvent que se réjouir en retrouvant dans un seul et même film intelligence, profondeur, émotion, prestation d'acteurs et d'actrices et formidable drôlerie.

I Spit on Your Grave

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I Spit on Your Grave est le remake du film du même nom sorti en 1978. Un classique du Rape'n revenge plutôt hardcore dans la lignée de Massacre à la tronçonneuse et La Dernière maison sur la gauche. Attention âme sensible s'abstenir.

Intégrale Claude Berri #08 : Un moment d’égarement (1977)

Un moment d’égarement débarque sur les écrans à l’hiver 1977. Une date importante pour Claude Berri : on est pile dix ans après la sortie de son premier long-métrage, Le vieil homme et l’enfant. Et comme s’il avait pris conscience que cet « anniversaire » devait marquer un cap dans sa carrière, il signe à cette occasion ce qui s’impose, peut-être, comme le meilleur film de toute sa filmographie. En tous cas, il est certain que Claude Berri, visiblement réconcilié avec les années 70, a clairement trouvé ici la recette miracle, entre justesse d’écriture, alchimie des acteurs et profondeur des thématiques…
FourmiZ d'Eric Darnell l'affiche

FourmiZ

Deuxième film d’animation entièrement réalisé en images de synthèse et premier d’une longue liste produit par DreamWorks, FourmiZ possède ce que l’on attendait depuis des lustres dans le genre : de l’intelligence. Une œuvre majeure encore aujourd’hui référentielle.
Spirit, l'étalon des plaines Kelly Asbury, Lorna Cook

Spirit, l’étalon des plaines

Avant-dernier dessin animé en 2D pour DreamWorks qui produit ici un film certes touchant et magnifique mais qui n’a pas su captiver son public, sûrement à cause de son histoire peu accessible… Spirit n’en demeure pas moins un joli long-métrage d’animation que tout bon fan des films DreamWorks se doit de voir.
alice au pays des merveilles

Critique : Alice au Pays des Merveilles – Tim Burton

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En tant que fan inconditionnel de M. Tim Burton, je peux dire que je l’ai attendu celui la. Annoncé 2 ans avant sa sortie avec un budget considérable et un tournage discret et des informations bien filtrées, j'attendais Alice aux pays des Merveilles avec impatience.

L’Ex de ma vie

Un voyage de noces à Paris pour un couple qui va divorcer : Géraldine Nakache et Kim Rossi Stuart vont se laisser prendre par leurs sentiments contradictoires dans une bien agréable comédie romantique.

Critique Express : Le tourbillon de la vie

C'est le premier long métrage d'Olivier Treiner en tant que réalisateur et il se montre aussi inventif dans son scénario que brillant dans sa réalisation.

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Test Blu-ray : I Love Peru

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I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

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Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.

Sarlat 2025 : Promis le ciel

En règle générale, le parcours d’immigration n’est linéaire pour personne. A plus forte raison lorsqu’il se faufile dans la clandestinité, à l’écart des canaux officiels, sursaturés depuis longtemps. Ainsi, il y a des moments de précipitation au risque de sa propre vie d’un côté et des pauses lénifiantes de l’autre, qui coïncident avec une situation bloquée dont on peine à percevoir une issue favorable.