Critique : Anaïs 2 chapitres
À intervalles réguliers, l'agriculture et l'immigration sont des thématiques qui tiennent en haleine l'attention médiatique et les tensions sociales en France. Tout un chacun se croit autorisé à proférer un avis fertile ou stérile à leur sujet, sans que cette obsession nationale n'aboutisse à quoique ce soit de tenable sur la durée.
Critique Express : Dealer
Johnny, un gamin qui se prend pour un grand et qui ne cesse de vouloir parler d'égal à égal avec les adultes, est surtout un gamin vulnérable dont tout laisse à penser que c'est son environnement qui en a fait ce qu'il est, dans ses actes et dans ses discours.
Critique : Wild
Après une vie d’excès qui ne lui convient plus, Cheryl décide d’entamer un périple de 1700 kilomètres le long de la côte ouest des États-Unis, avec un sac à dos et les souvenirs de sa mère disparue. Elle va devoir se battre contre les conditions extérieures et le spectre de son ancienne vie, pour parvenir à se reconstruire au terme du long voyage.
Critique Express : Retour à Séoul
Alors que cette recherche de ses origines effectuée par Freddie aurait pu, aurait dû donner naissance à un film d'un intérêt constant, force est de reconnaitre que Retour à Séoul est une oeuvre particulièrement inégale.
Submarine
Sélection officielle de l’édition 2011 de Sundance, le célèbre festival du cinéma indépendant, Submarine est l’adaptation du roman éponyme de Joe Dunthorne. Premier long métrage du réalisateur de clip Richard Ayoade, cette comédie britannique décalée, produite par Ben Stiller, savère finalement assez décevante.
Jane Eyre
En adaptant Jane Eyre, Cary Fukunaga doit s’affranchir des précédentes représentations du roman de Charlotte Brontë. Essai relativement bien réussi tant le réalisateur apporte une certaine teneur à l’œuvre et dont les deux comédiens principaux, Mia Wasikowska et Michael Fassbender, offrent une interprétation habitée de Jane Eyre et de Rochester. Sans que le film soit une parfaite réussite, Fukunaga met en scène une adaptation terne mais soignée.
Entrevues Belfort 2017 : La Liberté
Comme le montrent les retombées incessantes de l'affaire Weinstein, les affaires de mœurs touchent un nerf sensible dans la conscience collective. Alors qu'il est question, dans ces histoires sordides qui mettent ces derniers temps les médias en ébullition, de toutes sortes de harcèlements, la plupart du temps envers des personnes adultes, la pédophilie et l'inceste sont logés à une enseigne de l'indignation et du tabou encore moins acceptable.
Critique : J’aurais pu être une pute (court-métrage)
À l'occasion de la sortie de son premier long-métrage en tant que réalisatrice (Je suis à vous tout de suite), retour sur le court-métrage que Baya Kasmi a réalisé en 2010 avec déjà Vimala Pons, au talent comique et sensuel unique.
Critique : Qu’Allah bénisse la France
En 2004, le rappeur Abd Al Malik avait écrit un roman autobiographique ayant pour titre « Qu'Allah bénisse la France ». A cette époque, il n'avait pas en tête d'en faire en film. 10 ans après, Abd Al Malik a pris conscience qu'il pouvait être salutaire de porter ce livre au cinéma, le résultat escompté étant une œuvre qui prendrait la suite de La Haine, le film de Mathieu Kassovitz. Abd Al Malik avait beaucoup apprécié ce film lors de sa sortie en 1995, mais, depuis, la problématique religieuse a pris une importance dans les cités qu'elle n'avait pas à l'époque. C'est Mathieu Kassovitz qui a incité Abd Al Malik à se lancer dans la réalisation de cette adaptation.
Sinbad – la légende des sept mers
Sinbad est de retour en dessin animé avec au programme des monstres, de l’action, de l’humour, de la romance et des décors de rêve… Le cocktail est idéal pour se régaler les mirettes et passer un bon moment !
Critique : Vive les vacances
Dans Bonjour les vacances réalisé par Harold Ramis et écrit par John Hughes (d'après une nouvelle écrite pour le magazine satirique National Lampoon) en 1983, la famille Griswold tentait vainement de profiter de vacances bien méritées mais tout tournait à la catastrophe. Portée par l'humour bien méchant de ces deux vétérans inspirés de la comédie américaine des années 70-80 aujourd’hui disparus et le couple Chevy Chase – Beverly d'Angelo, la comédie est un triomphe aux Etats-Unis au point de lancer une série de films dont le seul le premier est sorti chez nous, dans une relative indifférence. En voici une nouvelle suite-remake...
Bronson
Le réalisateur Nicolas Winding Refn revient avec un nouveau film choc après la trilogie Pusher et Inside Job. Le thème traité est encore une fois la violence avec comme sujet principal la vie de Charlie Bronson, le prisonnier le plus déjanté que l'Angleterre ait jamais connu.


















