Critique : L’ange ivre (1948) / Chien enragé (1949)

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Souvent cité pour ses films de sabres japonais, Kurosawa aura pourtant marqué le début de sa collaboration légendaire avec Mifune au détour du film noir. Libéré des contraintes étatiques et de la censure gouvernementale, le polar servira d’écrin à la frontalité de son discours servi par le jeu naturel d’un Mifune transcendant d’authenticité. Il considère à juste titre L’ange ivre comme son véritable premier film personnel, et ce même si La légende du grand judo est considéré comme son premier coup de maître. On rappellera que le contexte politique de l’époque ne permettait quasiment aucune latitude discursive pour les réalisateurs qui se devaient de proposer des films avant tout nationalistes.. Cette aisance générique se confirmera par la réalisation quasi-successive de Chien enragé

Critique : Les météorites

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Il se dégage beaucoup de fraîcheur et de justesse dans cette peinture d'une jeunesse pleine de doutes quant à son avenir.

Critique : Petra

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Un film déroutant et passionnant, mêlant la recherche de soi et la rédemption ainsi que la lutte entre le bien et le mal.

Critique : Alice T.

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Une première partie intense, nerveuse, superbe, une seconde partie beaucoup moins vive, à la limite de la mièvrerie.

Critique : Working Woman

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C'est (malheureusement !) un sujet universel que Michal Aviad a choisi de traiter dans son deuxième long métrage de fiction : le harcèlement que subissent de nombreuses femmes dans le cadre de leur travail, que ce soit de la part de leurs employeurs, de leurs supérieurs hiérarchiques ou de simples collègues.

Critique : La familia

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"La familia" se situe quelque part entre le néoréalisme italien, le cinéma des frères Dardenne et celui de Ken Loach.

Critique : Les oiseaux de passage

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Arriver à faire cohabiter dans un même film une approche ethnologique concernant un peuple autochtone d'Amérique du Sud et les schémas d'un film de gangsters "à la Scorsese" n'avait rien d'évident au départ. On peut considérer que la réussite est presque totale.

Critique : Un Américain bien tranquille (Joseph L. Mankiewicz)

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L'écrivain Graham Greene, grand moralisateur de la littérature anglo-saxonne du 20ème siècle, n'a pas eu beaucoup de chance avec les adaptations au cinéma de son drame à l'exotisme poisseux. Ni cette version-ci de Un Américain bien tranquille, ni celle entreprise par Phillip Noyce en 2002 n'a en effet réellement su nous convaincre.

Critique : La Meilleure façon de marcher

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N'est-ce pas un malheureux signe de l'époque contemporaine que la référence filmique à nous venir immédiatement à l'esprit par rapport aux colonies de vacances est Grâce à Dieu de François Ozon avec ses séquences, certes pas trop réussies d'un point de vue cinématographique, sur les abus sexuels que des enfants y subissent de la part d'un prêtre pédophile ?

Critique : C’est ça l’amour

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Avec ce film très sensible, à la mise en scène tout à la fois discrète et efficace, Claire Burger, bien aidée par la prestation de Bouli Lanners et de la brochette de comédiennes qui l'entoure, vient confirmer les qualités que "Party girl" laissait entrevoir.

Critique : L’homme qui a surpris tout le monde

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"L'homme qui surpris tout le monde" entre dans la catégorie finalement assez rare des films où le fond, c'est à dire la grande qualité des thèmes abordés, le dispute à l'excellence de la forme, mise en scène, montage, photographie, interprétation;

Critique : Entre les roseaux

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Face à un scénario qui donne une impression de déjà vu, mais avec des éléments "tout neufs" et fort intéressants, on ne peut que regretter la mollesse de la réalisation et le côté complaisant de certaines scènes.

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