Critique : La Forêt de Quinconces
« Singulier », vous avez dit ? Le premier long-métrage en tant que réalisateur du jeune acteur Grégoire Leprince-Ringuet, qui vient d’être récompensé plus tôt cette semaine justement du prix du Film Singulier par le Syndicat Français de la Critique de Cinéma, l’est sans aucun doute.
La Roche-sur-Yon 2018 : Museo
Même s'il n'en a pas forcément l'air, Gael Garcia Bernal n'est plus qu'à quelques jours de son quarantième anniversaire. Découvert par le public français au début des années 2000 dans des films tels que Amours chiennes de Alejandro Gonzalez Iñarritu et Et ta mère aussi de Alfonso Cuaron, l'acteur endosse donc depuis près de vingt ans la lourde responsabilité d'être l'un des visages internationaux du cinéma mexicain.
Critique : Nos soleils
Chronique familiale, film politique, "Nos soleils" est une belle réussite, dans un domaine comme dans l'autre.
Avant l’hiver
Neurochirurgien de soixante ans, Paul semble couler une vie heureuse aux côtés de sa femme Lucie, dans une maison magnifique. Un matin, il reçoit un bouquet de roses rouges, premier d’une longue série, mais l’envoyeur reste anonyme. Au même moment, il se met à croiser régulièrement le chemin de Lou, jeune étudiante qui va lui faire considérer sa propre vie sous un nouveau jour. Regrets, non-dits, secrets vont refaire surface suite à cette étrange rencontre…
Critique : Anatomy of time
Alors que "Anatomy of time" n'est que son 2ème long métrage de fiction, on est déjà en droit de voir chez Jakrawal Nilthamrong une "patte" très personnelle qui fait de lui, à 45 ans, un réalisateur très prometteur.
Critique : Violette
Violette Leduc, née bâtarde au début du siècle dernier, rencontre Simone de Beauvoir dans les années d’après-guerre à St-Germain-des-Prés. Commence une relation intense entre les deux femmes qui va durer toute leur vie, relation basée sur la quête de la liberté par l’écriture pour Violette et la conviction pour Simone d’avoir entre les mains le destin d’un écrivain hors norme.
American Translation
Mardi 30 mai 2011, Paris. Jean-Marc Barr (oui,oui le mec du Grand Bleu) et son acolyte Pascal Arnold présentent en avant première leur dernier film American Translation. Le duo n'en est pas à son coup d'essai et se retrouve pour réaliser leur cinquième film ensemble. Retrouvailles également avec les jeunes acteurs Lizzie Boucheré et Pierre Perrier qui ont inspiré ce projet et avec qui les deux hommes avaient travaillés sur leur précédent film Chacun sa nuit
Critique : Skunk
Quel uppercut dans la mâchoire que ce Skunk, le nouveau film de Koen Mortier ! Le réalisateur flamand, déjà dans la légende pour le culte “Ex-Drummer”, est décidément capable comme personne de déchaîner une fureur post-punk qu’on aurait cru éteinte.
On the ice
Ce premier film inuit réussit le subtil mélange du polar et du film social en fusionnant une histoire très classique de meurtre et un décor de banquise où le blanc n’a rien de paradisiaque. Joli coup !
Critique : Cancion sin nombre (Deuxième avis)
Le Pérou est ravagé par la crise économique et politique. Georgina Condori, jeune femme d’origine indienne de la région des Andes, accouche, en raison de sa pauvreté, dans une fausse clinique. Son enfant lui est volé à sa naissance. Face à l’indifférence de l’administration, Pedro Campos, un journaliste homosexuel, mène l’enquête. Deux destins se croisent un bref instant.
Critique : Extrêmement fort et incroyablement près
Extrêmement fort et incroyablement près
Etats-Unis, 2014
Titre original : Extremely Loud And Incredibly Close
Réalisateur : Stephen Daldry
Scénario : Eric Roth, d'après l'oeuvre de Jonathan Safran...
Critique : Keep smiling
À Tbilissi, la télévision géorgienne organise un concours pour élire la "Meilleure Mère de l’année". La gagnante recevra un appartement et 25 000 dollars. Dix mères vont alors s’affronter et tout faire pour ne pas laisser passer cette chance d’accéder à une vie meilleure. Tous les coups sont permis. Une seule règle, garder le sourire.



















